T/P T/N est une jeune femme de 13 ans amnésique qui ne se souviens que de son prénom. Elle fut retrouvée à Londres par la reine elle même. Elle fut retrouver les vêtements couverts de sang , un étrange symbole sur le dos de sa main sanglante ,elle é...
Voir cette femme dans cet état me met les larmes aux yeux...
Domestique :Princess ! Venez rentrons !
Je le suis, je déteste qu'on m'appelle comme ça mais là n'est pas le moment pour un caprice. Nous rentrons vite au palais.
Je vais dans ma chambre, m'aillant pas de cours le reste de la journée pour me "remettre des événements précédants" ça va je suis pas une âme sensible j'ai déjà vu un corps inanimé...Je crois ?
Bon du coup je reste sur mon lit à regarder le plafond.
Je fais de mon mieux pour m'occuper toute la journée, et je décide de sortir en fin de journée, je vais jouer dans la neige dans les jardins comme une enfant. Ça fait du bien de revenir en enfance...enfin en quelque sorte vu que je ne me souviens pas de mon enfance.
Je rentre pour le repas , pour une fois il n'y a que la reine et moi : c'est rare.
Le repas est silencieux.
Je vais ensuite dans ma chambre.
La nuit passe longuement et je ne trouves pas le sommeil.
Je m'endort au bout de longues heures.
Je suis réveillée tôt...trop tôt.
Pour rien en plus. On m'a réveillée pour me dire que mes cours de la semaine étaient annulés car tous les instructeurs sont dans le coma...l'épidémie continue de se répandre on dirait...j'espère que Ciel n'a rien...heu enfin que tout le monde va bien.
Je me lève et m'habille pour aller au bureau de sa majesté.
J'entre et me tiens debout face à elle.
Moi :puis je vous poser quelques questions sur les comas ?
Mère : bien sûr.
Moi: savez vous combien il y a de victimes ?
Mère: cent quarante six enfants et quarantes adultes à Londres et aux alentours. Pourquoi cette question ?
J'hésite à demander.
Moi : puis je aider à l'enquête ?
Mère: et bien oui...tu sera escortée par deux gardes. Mais si cela devient dangereux tu rentrera sur le champs au palais.
Elle a accepté ? Sérieux ? Elle est malade ? C'était plutôt facile en fait...
Moi: mmh..Merci, j'ai une autre question, le comte Phantomhive a-t-il été touché par les comas ?
Mère : je ne crois pas non..
Moi: bien merci , permettez moi de me retirer.
Je sort de la pièce et vais en changer pour sortir.(choix)
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Puis sort avec les gardes. Nous allons voir les victimes et faisons des prises de sang et examinations des corps , aucune marque visible sur le corps et nous devons attendre pour les résultats de la prise de sang.
Nous avons remarqué que beaucoup plus d'enfants que d'adultes étaient atteints , nous avons donc cherché quelque chose que les enfants font plus, utilise plus ou des endroits ou ils vont plus que les adultes. Nous avons trouver quatres piste : les jouets , les sucreries, les parcs ou les écoles.
En nous déplaçant vers un autre endroit pour l'enquête, je me prend les pieds dans quelque chose , alors que je m'attend à recevoir le sol en pleine tête , je sent quelque chose me soutenir : un bras , je me retourne vers la personne m'aillant rattrapée, j'ai nommé : Ciel Phantomhive.
Il me lâche vite et je me redresse. Et bien il semble qu'à chaque fois que l'un tombe il se retrouve sur l'autre, quelle étrange destinée.
Moi: Vous ici ?
Ciel: je vous retourne la question, ce n'est pas un endroit pour une Lady et encore moins une princesse.
Moi: Je viens chercher une solution aux comas et leur cause et ne m'appelez pas princesse.
Ciel: laissez les expérimentés faire leur travail et retournez au près de votre mère.
Moi: Je penses être encore libre de faire ce qu'il me chante.
Ciel: faites ce que vous voulez mais ne me gênez pas.
Il est bien plus froid que d'habitude...
Je gonfle les joues et les gardes et moi repartons sans un mot.
La fin de journée approche alors je rentre au palais. En rentrant quelle n'est pas ma mauvaise surprise que de voir Aloïs dans le hall.
Moi: Aloïs Trancy, que vous amène-t-il ici ?
Aloïs : je suis simplement venu aider sa majesté sur l'enquête et voir ma Fiancée.
Moi: Je vous prierai de ne pas m'appeler ainsi.
Aloïs : comme tu voudras.
Il souris , je ne sais pas pourquoi mais je le déteste...Je crois avoir déjà dit ça.
Moi: Je suis désolée mais je ne comptais pas rester ici ce soir.
Aloïs : que comptais tu faire ?
Moi: ça ne vous regarde en rien.
La conversation dure un moment et je monte dans ma chambre, épuisée.
