"Quand le prince se réveilla, la princesse n'était plus à ses côtés. Au lieu de cela, le lit était recouvert de plumes d'un noir de jais.
Dans une profonde tristesse, le prince la chercha partout dans le pays. Mais personne n'avait vu la princesse."
Ses phrases, pourtant inscris dans le livre, résonna à plusieurs reprise dans les rêves de Iota et Hiro. Ils sont, une fois de plus, propulsés chacun de leur côté dans des souvenirs sous formes de rêves.
Du côté de Iota, ses rêves sont relativement calme à l'exception de quelques'uns. L'un de ses premiers rêves fut une femme aux cheveux rose entrain de conduire le robot qu'elle souhaitait toute seule.
-Iota : Et mais c'est mon robot !
Le robot fonçait vers une armée de monstre qu'elle appelait ça des hurleurs. "Plus... il m'en faut plus pour devenir comme lui ! " Dit la femme dans le cockpit d'un air sadique. Iota était entrain d'observer la femme entrain de conduire. Elle faisait extrêmement peur à cause de ses yeux rouges très profond.
-Iota : Et mais on dirait que-...
La femme se retourna tentant de griffer Iota. Au moment où ses griffes étaient sur le point de la toucher, Iota changea d'atmosphère. Son deuxième rêve fut elle assise à coter de Hiro et de la fameuse femme qui conduisait le robot. Ses deux personnes eut une discussion que Iota écouta avec intention. ""Avec toi, j'accepterai n'importe quel destin", "On est ensemble pour toujours", "Et si on était séparés ?", "J'irai te chercher" ". Ses deux dernières personnes s'embrassa pendant un petit temps, ils étaient tellement attachés.
-Iota : J'aimerais faire ça avec Darling... Dit-elle en étant triste.
Le troisième rêve arriva une fois que la fille mit sa tête contre l'épaule de Hiro plus vieux. Son troisième rêve était la fille aux cheveux rose qui était entrain de dessiner les pages du livre que Hiro et Iota sont entrain de lire. Iota avait reconnu les dessins. Hiro était attentif a ce que faisait Zero Two. "Tu as un nouveau serre-tête ?", "Oui, c'est Miku qui me la fait pour le mariage de Kokoro et Mitsuru !" ". La fille , avec ses dessins partout dans la chambre, regardât le front de Hiro sous ses cheveux. ""Elles poussent !", "C'est quoi ? Des cornes ?", "Oui, c'est parce que tu as été en contact trop longtemps avec moi où que tu as ingéré mon sang" ". Les deux adolescents oublièrent et fermèrent leurs yeux pour s'embrasser. A la fin de leur bisous, Zero Two dit qu'elle avait peur d'oublier le livre et qu'elle l'avait manger ce dernier quand elle était petite. "C'était la seul chose qui me donnais envie de te voir". Un peu après, Zero Two voulait voir le dessin que Hiro avait fait. Ce dernier ne voulant pas, a cause de ses talents en dessins médiocre, montrer le dessin à Zero Two. Cette dernière fonça sur Hiro, tentant de lui voler le dessin. Quand elle vit le dessin, elle éclata de rire. "Voilà pourquoi je ne voulais pas te le montrer...", "Je vais le garder", "Ah bon ?", "Je le trouve beau". Dans cette dernière action, Zero Two ferma les yeux avec le dessin dans ses bras et transportât Iota dans un nouveau rêve
-Iota : C'est le dessin à la fin du livre ! Fit-elle comme réflexion.
Iota était dans un noir complet. Elle vit, sous une lumière, Hiro et Zero Two. "" Tu n'as pas peur de moi...? Je t'ai utilisé...", "Je m'en moque maintenant !", "J'ai dit que tu étais de la nourriture pour moi !", "Et moi, je t'ai traitée de monstre ! On est quittes..." ". La suite de la conversation fut très émouvante pour la femme qui était entrain de pleurer contre l'épaule de Hiro. ""Zero Two... toi et moi ne faisons qu'un" ". Hiro et Zero Two s'embrassèrent une fois de plus avant de décoller avec leur robot afin de détruire de nombreux hurleurs et la grande menace. Dans les multiples explosion entraînés par le robot, Iota fut plonger dans l'un de ses derniers rêves.
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Darling in the FranXX : Le défi de Iota
FanfictionAlors que le combat contre Virm viens d'être terminer, Zero Two et Hiro voyage dans l'espace afin de retourner sur Terre. Hiro est alors confronté à un nouveau soucis, le défi de Iota ! Ce défi plonge Hiro dans l'enfance, comme si rien ne s'était pa...