Les clichés d'une romance gay [Terminé]

Chapitre 18: La goutte de trop

Brandon P.O.V

Pourquoi je me sens autant rougir quand il me regarde avec ses yeux, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il regarde au plus profond de mon être non je dois l'en empêcher personne ne m'a jamais regarder comme sa pourquoi lui le ferai-t-il ? J'avais beau me répéter cette question pour trouver une réponse qui contredirait ces paroles qu'il m'ait dites mais au plus profond de mon être je savais et je me cherchais seulement une excuse. Et puis d'ailleurs pourquoi je l'ai embrassé est-ce que je l'aime ? Je ne sais pas, tous est chambouler dans mon esprit, lui, moi pourquoi pas ? Il est gentil et attentionné mais je ne sais pas peut être que je devrait prendre du recul sur tout ça. Oui c'est peut être une bonne chose a faire. Mais peut être devrais-je lui en parler ? Ce ne serait pas une bonne idée, enfin j'espère qu'il ne s'énervera pas trop. IL a l'air de savoir ce qu'il veut quant à moi je suis perdu. Toute ma vie est un véritable désastre, Alex, Chris, Bradley, je les ais tous blessés je devrais m'excuser quand on se reverra. Je suis tellement ridicule, regarde toi Brandon tu n'es qu'un minable a qui la vie a offert des chance mais tu n'es pas foutu d'apprécier et de tout gâcher, ce sera la même chose avec lui comme ç'a l'a été avec Brad et Chris. Je repenserai à cela plus tard la je devrai peut être m'habiller et aller m'excuser auprès de Chris. Je décide donc de prévenir Alex que je vais à la fac et qu'il n'a pas besoin de me suivre qu'il peux aller se reposer, mais pas chez moi, je ne me sens pas encore prêt a lui dévoilé tout les secret de cette maison. Il me répondit d'un grand sourire et s'approche pour déposer ses lèvres rosies sur les miennes il ne reçu que ma main en guise de réponse ce qui me fit sourire. Je mets donc mes chaussure et sors.

Je me dirige donc vers la fac, en entrant dans l'enceinte du campus, je sens des regards sur moi, je ne comprend pas pourquoi autant de gens se retourne à mon passage jusqu'à maintenant et cela n'a pas changé, j'ai toujours été celui qui est invisible, qu'on ne remarque jamais mais la c'était différent, tout les yeux se sont braqué sur moi, je me précipite rapidement vers mon amphi et m'installe a une place isolé, ce fut très facile car l'amphi était vide, c'est n'est pas encore l'heure. A cette heure ci les étudiants sont en train de parler entre eux, avec surement une cigarette entre dans leurs bouches. Je sort mon carnet de dessin ainsi que mes notes parce que j'ai beau avoir une mémoire développé ce n'est pas pour autant que je dois me reposer dessus et puis j'aime apprendre, j'aime tout savoir c'est plus fort que moi mais quelque chose que je ne saurais peut être jamais faire c'est savoir comment l'être humain pense et son fonctionnement social et surtout son besoin de tout vouloir s'approprier, son désir de pouvoir. C'est quelque chose que je ne comprendrais peut être jamais, c'est une notion qui n'a pas besoin d'être comprise avec une logique rationnelle puisqu'elle n'en a pas.

Je me fais le plus discret possible mais au fur et a mesure que l'amphi se remplie de plus en plus de regard se pose sur moi, pourquoi vraiment me regardaient-t-ils comme une bête de foire ?. Quand le prof s'avance et commence par calmer la salle, il reprend et donc décide d'allumer le projecteur tandis que l'image s'affiche, mon visage commence a devenir rouge, le prof ne s'en ait toujours pas rendu compte mais toute la salle s'est tourné vers moi, évidemment qu'ils me regardais puisque j'étais la personne qui est sur la photo, quelqu'un m'avait pris en photo en train d'embrasser Chris. Comment avait-il pu faire ça ? Je regardais la salle se moquer de moi et me traiter de tous les noms " tapette", "pd", "sale monstre" etc.. 

J'avais les larmes qui montaient en moi, ma cœur commençais a s'accéléré, mes joues en feu, je sentais ma respiration se saccader mais je dois rester fort, je serrais de toute mes forces le crayon dans ma main, il était a deux doigts de se briser. Je scan la salle en cherchant Chris et le vois me regarder d'un œil coupable, autour de lui je voyais toute sa bande se marrer Brad n'étais pas la ,heureusement je n'aurais pas supporter le voir se moquer de moi. Je me lève et range mes affaires puis me dirige vers la sortie mais je sens qu'on m'attrape.Non, pas maintenant je fais déjà de mon mieux pour retenir mes larmes mais je suis au bord des larmes, on voit déjà mes yeux devenir rouges, je me retourne et voit Chris pourquoi est-ce qu'il me rattrape toujours de cette manière? je retire rapidement ma main mais il me maintient je me retourne donc et lui dis sèchement avec ma colère que je dissimule dans des paroles froides voire glaciales:

-  Je vois que ça ne t'a pas suffit, je veux bien que tu sois blessé après t'avoir repoussé mais de la a ce que tu me fasses ça, je te tire mon chapeau, maintenant lâche moi, je ne veux plus te voir, jamais 

- Je t'en pris, ce n'est pas qui ait pris la photo, et jamais je te ferais de mal, je tiens a toi... vraiment 

 - Si tu tenais tant que ça a moi, tu aurais pu les arrêter mais dis moi l'as-tu fait ou tu t'es juste contenter de rester passif ?...

- .........

- C'est bien ce que je pensais ...

- Ecoute ce que j'ai à te dire...

 - Arrête .. J'en ai assez laisse moi seul

Je sors alors sous les yeux de la salle tandis qu'une personne vient rajouter " Tu ferais mieux de disparaître les personnes comme toi ne devraient pas exister", ce fut la goutte de trop, je me retourne et lui répond de tout mon être et de ma voix " et les connards dans ton genre ne devraient même pas être considérer comme des humains". La salle s'étais tu, tous choqué de lui avoir répondu, j'étais moi-même choqué de mon initiative. C'est alors qu'en sortant de la salle, je bouscule un personne, je ne prend pas la peine de l'a regarder, tout ce que je veux maintenant c'est de haïr le monde entier, eux, lui, moi. Je ne sais pas où je me trouve, je sais juste que je ne connais pas cette endroit, j'ai couru de toutes mes forces, le plus longtemps possible sans me retourner, je erre alors entre les rues, les boutiques.