Chapitre 21: Retour à la réalité ?

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Brandon POV


Alors que j'ouvrais les yeux, je pouvais sentir mon corps congelé par le froid, je tremblais comme une feuille, je ne savais que je m'étais endormi sur un banc après m'être enfui de la fac, je regardais autour de moi et observais que personne n'étais présent dans le parc. Je tentais de me lever mais une douleur me pris l'épaule, je regardais l'endroit de ma douleur et remarquais qu'un bandage fait à la vite était posé. Que s'est-il passé pour que je puisse m'être blessé autant que mettre un bandage et surtout ou est-ce que que j'avais pu bien trouvé un bandage ? Je savais que la médecine m'était un peu monté à la tête mais j'étais sûr que je n'avais pas de matériel médical dans mes poches. Je vérifiais mes poches, C'est à moment que je rendis compte que je ne portais pas mon manteau, ni même mon pantalon, ce n'étaient tout simplement pas mes vêtements. Mais qu'est-ce qui a bien pu arriver pour que je termine dans un tel état, j'essayais de me souvenir mais un mal de tête m'en empêchais. Il fallait que je découvre ça. La seule chose dont je pu me souvenir c'est d'un froid glacial, et une peur qui faisait trembler tout mon corps. J'avais également ce gout indescriptible ferreux comme si j'avais bu du sang.. Est-ce que j'était devenu un vampire ou je ne sais quoi ? Mais cette peur à m'en glacer le sang était la seule chose qui me disais que quelque choses de mauvais était arrivé. La dernière chose dont je pu me souvenir, c'est de devoir me rendre à la fac et ... Alexandre et des larmes commencèrent à couler.


Je me dirigeais vers la fac toujours avec autant de question qui remplissait mon cerveau comme a qui appartenait ces vêtements ? Pourquoi j'étais blessé et d'ou me vient ce sentiment de malaise et de peur. J'avais toujours les yeux rouges puisque mes larmes tombaient sans mon accord cependant je tentais tant bien que mal de garder mon visage fier car je ne voulais pas que les personnes sache qu'ils ont eu le dessus sur moi. J'étais à présent devant le portail, une silhouette m'attendez avec mes affaire puis elle me dit à ce moment:


- Salut, je suis désolé si tu pensais que je t'avais fait du mal mais tu sais très bien que je ne peux m'empêcher de t'aimer alors te faire souffrir, tu t'imagines ? non tu ne peux pas car je t'aimerai toujours plus qu'un autre et en aucun cas je ne veux te voir blessé, c'est une de mes pires craintes une de mes plus grandes peurs. Le seul désir que j'ai est de te voir... pourquoi j'ai l'impression d'être l'homme le plus heureux à chaque fois que je te parle même si ça n'a pas été très joyeux, ce n'est vraiment pas dans ma nature de m'imposer et de forcer dans la vie d'une autre personne, c'est vraiment quelque chose que j'aurais pu éviter par exemple être seulement un con envers toi mais j'ai choisi la voie semée d'embûches pour espérer avoir une chance avec toi mais tu continue sans cesse de me repousser. Je te demande seulement d'avoir une chance et de te prouver que je ne suis pas le gars que tu pense que je suis, une mec qui ne pense qu'à lui, qui fait des paris sur les personnes qu'il aime sachant qu'il va lui faire du mal, je ne veux pas que tu pense que je suis ça, je veux te montrer que je peux te rendre heureux, je veux seulement que tu souris plus souvent, que tu rigoles plus avec moi ou les autres, je veux aussi être a tes côté pour vivre des choses merveilleuses, te prendre dans mes bras, te sentir près de moi, toute ces choses je rêve de les faire avec toi, je veux être digne de toi mais pour que je puisse faire cela il faut que tu me laisse une chance.


- Chris je... je sais vraiment pas quoi te répondre la, je crois pas que ce soit le moment je suis venu récupérer mes affaires, je vais rentrer chez moi


- Alors répond moi oui et laisse moi faire le reste


- Je ne te parle pas de ça, dans d'autre circonstances peut être que j'aurais dis oui mais maintenant tout change, je perds mes repères, ma vie est bousculée depuis ce baiser et je suis perdu, j'ai juste besoin de temps et puis tu à l'air d'être totalement gentil peut être pas sur tout les point maintenant mais je sais que tu peux devenir une meilleure personne mais tu dis ne pas être digne de moi je pense que c'est l'inverse, je suis quelque qui ne s'ouvre pas aux autre, qui reste isolé et ne compte que sur lui-même, une personne qui ne pense pas aux sentiment des autres, une personne qui est seul et n'est pas digne d'avoir une personne qui pourrais rendre la vie des autres meilleurs alors pour l'instant je ne peux pas te dire oui


- Tu as totalement faux, tu es une personne formidable, tu es la personne la plus brillante que j'ai jamais connu, tu as tenu bon pendant toute ces année seul, moi je ne pourrais pas mais toi tu as réussi à le faire mais maintenant tu n'a plus besoin d'être seul parce que je serais à tes cotés et même si tu me dis non tout de suite, je n'abandonnerai pas, si j'ai tenu toute ces années a t'aimer dans le secret, un petit peu plus longtemps ne va pas me tuer, j'ai pas raison me disait-il avec des larmes en souriant


- C'est d'accord, alors je te fait une promesse, on est actuellement en décembre alors pour le nouvel an je te donnerai ma réponse, la je n'ai pas la force d'argumenter plus, j'ai froid et j'ai besoin de rentrer chez moi. Est-ce que tu aurais vu Alexandre ?, il faut que je lui parle


- Heu je crois qu'il est parti un peu après l'événement de ce matin... je suis encore désolé pour ça


- Ne t'inquiète pas, j'ai dis des choses sous la colère, j'ai juste besoin de rester seul et réfléchir


Je savais que je m'en était seulement pris à lui parce que j'étais un lâche qui n'avait trouvé que lui comme bouc émissaire parce que j'avait seulement peur d'affronter la réalité des choses, le jugement des regards, ces yeux qui me méprisent, qui m'insultent dans le silence et me jugent, seulement d'y penser je suis encore angoisser.


Je me suis rapproché de Chris et ait essuyer ses larmes avec mon pouce, je lui avait faire un sourire sincère, qui montrai ma gratitude et je pris ses mains en les réchauffant tout en lui disant:


- C'est seulement parce que j'ai froid ne va pas t'imagine des scénarios compris dis-je suivi d'un rire moqueur


- Je sais, je sais mais ne viens pas te plaindre si je te serre trop fort ce n'est pas moi qui ai commencé. Comment tu a pu tenir avec des mains aussi gelé tu dois mourir de froid


Dans le même moment, il me tira et me pris dans ses bras. D'un coup mon corps trembla sans que je ne puis rien contrôler, ma tête me faisait mal, des images me venais comme des flash, je ne pouvais mes larme de couler. Alors que mon corps ne répondais plus, ma vision devenait flou, des bribe de souvenir me revenais, des yeux ambres, ce sourire, cette sensation de toucher mon corps, je ne pouvais ressentir que de la peur, du dégoût, de la douleur. Je ne pouvais plus me retenir, j'avais mal, la ou le bandage était placé la douleur devenais insoutenable comme si j'avais réprimé ces douleurs, ma tête me faisait si mal c'est comme si mon corps et mon cerveau m'empêchais d'accéder à ces souvenirs, la seule choses que je pouvais dire était un nom que je répétait sans cesse comme si le seul fait de prononcer ce mot allait me faire oublier tout ça. je ne sentais plus mon corps en me répétant sans Alexandre..Alexandre ...Alexandre. Je n'avais plus que ce nom en tête. Je sentais mon corps se faire porter, de plus en plus de souvenir envahissait ma tête, la douleur était tel que mon cerveau avait mis comme une barrière afin de ne plus avoir mal que je sentais mon corps de plus en plus léger, ma conscience partir, les mots me viennent de moins en moins. Je n'arrive plus a réfléchir, le temps ne passe plus, mon crane est saturé je n'arrive plus a prendre conscience de ce qui m'arrive. J'ai froid, si froid, quand soudain le monde s'arrêta. Je n'entendais plus rien...

Les clichés d'une romance gay [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant