Chapitre 20: Une lutte acharnée

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Bonsoir à tous, j'aimerais faire un disclaimer. Dans ce chapitre, y'a un peu de violence donc pour les âmes sensibles s'abstenir. 

Enjoy The Story

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Brandon POV


Tandis que je reprenais connaissance, la première chose que j'aperçus était ses deux billes d'ambre qui me regardais intensément alors que j'étais allongé sur la banquette arrière, c'était les yeux de cet étudiant qui me regardais comme si ils pouvaient m'engloutir et me faire n'importe quoi. Son sourire accentuait d'autant plus ce coté malsain. J'étais d'autant plus confus à la vue de cet étudiant lambda, il ne se distinguait pas forcément par son physique mais jamais je n'aurait cru qu'il pourrait faire des actes obscènes. Mes yeux parcourait alors son corps, il ne portait aucun vêtement et ses mains essayaient d'enlever le peu de vêtements que je portais dû à ma fuite imprévu. Je pouvais sentir son souffle chaud alors qu'il s'approchait de mon oreille. Mon corps était encore sous l'effet de sa drogue que j'avais déduis provenait de sa boisson plus tôt. Je sentais néanmoins que je pouvais reprendre de plus en plus possessions de mes membres. Le temps jouait contre moi, je ne voulais absolument pas finir violé par un détraqué, la peur m'empêchais de dire le moindre mot. Mes yeux ne versaient aucune larmes, n'exprimaient pas la peur mais l'indifférence. Est-ce que je valais vraiment que je me batte, personne n'est de mon côté...

- Ces yeux que tu me donnes, ils ne me procurent aucun plaisir, je veux voir la peur, la douleur... POURQUOI TU N'AS PAS PEUR !?, Peut-être que tu veux te faire violé ?


Je sentais sa main m'enlever mon pull aussi vite qu'il le pouvait. Je ne faisais rien pour l'en empêcher. Quand il eut fini de m'enlever mon pull il déchira mon tee-shirt en me mordant le cou me disant qu'il fallait que je sois marqué comme l'animal que j'étais. Mon corps tremblait à la douleur, je pouvais sentir qu'il me mordait jusqu'à pouvoir goûter à ce liquide écarlate avec son gout ferreux si particulier, Des larmes de douleurs commençaient donc à ruisseler le long de mes joues. Je l'entendais alors s'exclamer:


- " OUI C'EST CETTE EXPRESSION QUE JE VEUX VOIR !!! Tu ne sais pas à quel point tu es bon, tu sens si bon, ton gout est exquis- ... Tu... me... dégoûte- ENCORE !! tu es parfait, donnes en moi encore plus, je veux en voir d'avantage, quand j'en aurais fini avec toi, je t'emmènerai chez moi, ton goût.. est ...PARFAIT- ...- Tu ne dis plus rien ? Tu n'es pas bavard toi


Son expression me dégouttais de plus en plus, il m'embrassa de force, m'obligeant a goûter a mon propre sang. Non je ne peux pas me permettre de finir chez ce taré. Je n'en serais que plus misérable, mon coeur me faisait si mal rien que de repenser aux événements passés, Il fallait que je leurs parles afin de mettre les choses au clair. Mais alors que je pensais à un plan afin de m'échapper il avait déboutonner mon jean, je me trouvais en caleçon avec une morsure dans le cou. Je sentais alors ses mains se poser sur mon cou, à ce moment je craignais le pire, je sentais qu'elle se fermaient de plus en plus me coupant ma respiration. J'ai compris qu'il ne me ramènerais pas vivant chez lui mais bien dans un autre état.


Je suppliais mon corps de bouger alors que j'avais de plus en plus de mal à bouger mon corps. Je sentais alors que mes jambes me répondaient alors de toute mes forces. Je lui frappais dans l'entrejambe alors que j'essayais de récupérer le plus d'air possible. Ses mains se sont aussitôt décollés, je repris alors possession de mon corps alors que je toussais violemment alors que je voulais reprendre ma respiration, Je ne perdais pas une seconde et pris sa tête et la frappa à plusieurs reprise sur la fenêtre afin qu'il perde conscience. L'adrénaline allait bien jouer son rôle ici.


Après quelques coups, je vis du sang sur la fenêtre, son corps ne répondais plus, alors qu'il tombait a côté de moi, je vérifiais si il était en vie ce qu'il était heureusement pour moi. Sans plus tarder, je vis ses vêtements à l'avant de la voiture que je pris en même temps que je déverrouillais la porte arrière. Alors que je sortais, un vent glacé me prit de court, je décidais alors d'enfiler les vêtements de ce salaud et décida de m'enfuir le plus loin possible.Je reconnu le parc après quelques minute et tomba au sol, je sentais que je perdais de nouveau connaissance alors que je pensais ma blessure avec un pansement trouver dans les habits de ce taré, il devait déjà avoir prévu de me blesser et de me soigner pour pas que je me vide de mon sang si jamais il m'aurait encore plus blesser. Rien que d'y penser mon corps en tremblait. Quand ma blessure fut pansée, je m'étais assis sur le premier blanc qui venait afin de penser à ce que je devais faire.Mon corps ainsi que mon esprit était tout deux à leurs limites, il fallait que je rejoigne la fac peut-être que Alexandre y serait toujours. Je sentais ma conscience s'effacer lentement, il fallait absolument que je trouve Alexandre. Quand j'y repense ce salaud m'a pas raté, j'espérais que tout ça soit derrière moi après tout ça. Oui, je ne voulais plus en entendre parler ... Sur ces pensées, je fermais lentement les yeux jusqu'à ce que plus rien ne m'atteigne.. C'était sûrement la fin...

Les clichés d'une romance gay [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant