Accusée à tort

16.

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2 semaines étaient passés depuis cette première nuit où Lily et Ephrem avaient dormis ensemble et depuis une tension se faisait sentir dans la maison entres les filles.

Ephrem, lui, ne faisait qu'imposer les choses à Lyli.
"Ce soir on dîne au restaurant", "Tu m'accompagne à mon rendez-vous, met cette robe que je t'ai acheté" etc...

Elle ne disait rien, elle n'en avait pas la force.

Ephrem : Lily ? Qu'est ce que tu fais encore couché à cette heure ci ? Il est déjà 10h et je t'ai dis que je voulais qu'on sortent tout les deux ce matin

Lily : je suis fatiguée

Ephrem : tu crois être la seule ? Lève toi s'il te plaît

Lily : laisse moi dormir s'il te plaît, je me sent pas bien ce matin, on sortira demain

Ephrem : c'est aujourd'hui que je veux sortir, alors je te laisse 30 minutes pour te préparer.
J'ai tout organiser pour te faire plaisir alors ne gâche pas tout.

Il claqua la porte en sortant et elle, se leva avec difficulté pour allé se préparer. Elle ne voulait pas le vexer mais en même temps elle était à bout de force et elle craignent de faire un malaise une fois à l'extérieur.

Elle le rejoignit après avoir pris sa douche et essayer de camoufler les marques de fatigue à l'aide de maquillage.

Ephrem : on y va. Dit-il sans lui porté un seul regard alors qu'il était au téléphone

Elle le suivi sans rien dire, une fois de plus. Elle s'installa dans la voiture toute tremblante, il faisait extrêmement froid dehors et Ephrem, lui, ne semblait pas en souffrir, l'habitude se dit-elle

Voilà une dizaine de minutes qu'ils roulaient et il était toujours au téléphone.

Lily : tu peux allumer le chauffage s'il te plaît ?

Il detourna le regard vers elle et il la vis trembler, son regard changa et il raccrocha avant de se mettre sur le bas côté et allumer le chauffage au maximum.

Ephrem : tu tremble et tu es bouillante, constatat il en lui touchant le visage

Ephrem : qu'est ce que tu as ?

Lily : je suis fatiguée..

Ephrem : mais pourquoi tu ne m'a rien dis ?!

Lily : je t'ai dis que j'était fatiguée tout à l'heure mais tu ne m'a pas écouter, elle se mit à pleurer. Tu ne m'écoute jamais, tu ne prend jamais mon avis en compte, je-

Ephrem : pardonne moi maya lubof.. on va rentrer et je vais appelé le médecin.

Elle n'eu pas le temps de répondre que sa tête parti lourdement en arrière contre le siège

(...)

Ephrem : alors ?!

Médecin : c'est juste fièvre accompagné d'une petite baisse de tension, il lui faut du repos et d'ici ce soir ou demain elle se sentira déjà mieux.

Ephrem : merci docteur, j'y veillerai. Dit-il en l'accompagnant vers la sortie

Une fois de retour dans la chambre, il la trouva endormie.
Il vint alors s'assoir près d'elle en lui prenant sa main droite et de son autre mail il lui caressé les cheveux en se remémorant son comportement de ses derniers jours en se maudissant!
Il l'avait complètement ignoré et oublié mais c'était fini maintenant, il aller se reprendre et surtout se faire pardonner.

Lily cligna des yeux en sentant une main dans ses cheveux, et c'est avec surprise qu'elle découvrit Ephrem assis à son chevet.

Ephrem : comment vas tu ?

Lily : bien

Ephrem : qu'est-ce que tu veux déjeuner ce midi ? Cest toi qui choisi!

Elle esquissa un faible sourire

Lily : n'importe, je te laisse choisir mais pas de spécialité russe s'il te plaît. Dit-elle d'une petite voix

Il fit semblant d'être vexé par sa remarque en posant une main sur son coeur

Ephrem : moi qui pensé que tu aimais la cuisine de mon pays

Lily : certaines choses oui mais la majorité... Elle laissa volontairement sa phrase en suspend

Ephrem : t'es sûr que tu n'as envie de rien ?

Lily: puisque tu insistes, j'aimerais bien mangé un croque-monsieur, des lasagnes et une tarte aux fraises avec de la crème chantilly dessus s'il te plaît

Il darda sur elle un regard profond

Lily : tu trouve que c'est trop, c'est ca ? Mon Dieu, la honte! Dit-elle en se cachant le visage

Il lui retira les mains de son visage

Ephrem : ne te cache pas. Et au contraire, j'aime te savoir avec autant d'appétit, vraiment.

Elle le regarda seulement sans rien dire

Lorsque la commande était arrivée, ils avaient mangés au lit, devant un film et à cet instant il vit que ce simple moment à deux suffisait à la rendre heureuse.

Ephrem : je te promet de te rendre heureuse chaque jour que Dieu fait. Lui avait-il chuchoté avec qu'elle s'endormait et pour toute réponses elle lui serra la taille plus fort avant de s'endormir profondément.

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