Chapitre 17: Plutôt vivre, que Mourir !

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Chapitre 17 :

Lorsque Chopper l'avait enfin libéré de ces chaines qui l'avait maintenu captif pendant près de trois jours, Zoro n'eut qu'une envie sur le moment. Éliminer la source même de cette torture. Et lorsque Luffy lui avait lancé ses sabres, avec rapidité -malgré son état- ils les avaient calé à sa ceinture, et s'était emparé de son précieux sabre blanc, le Wadô Ichimonji, hérité de Kuina. Son regard était sans pitié et son attention était très net, il voulait tuer cette femme, cette folle qui l'avait torturé jours et nuit, et qui avait presque failli décapiter Sanji. Le regard mauvais il avait placé la pointe de la lame sûr la gorge de Thalia qui s'était évanouie de trouille, face aux multiple mains de Robin. Un sourire presque mauvais s'était dessiné sur ses lèvres, il n'avait qu'à appuyer transpercer la gorge et tourner son sabre afin de briser en un coup net la nuque de cette folle furieuse. Il était près à le faire, se fichant de commettre un meurtre sous les yeux de ses compagnons. Mais une main s'était posé sur son bras à demi ankylosé et abimé par le froid.

" Ne fait pas ça, marimo."

Comment ça, ne fait pas ça ? Pourquoi le Cook lui demandait-il une choses pareil ? A cause de sa foutu galanterie ? Sur l'instant Zoro avait reniflé de mépris, avant de rappeler au cuistot qu'il n'était pas un gentil petit gars, ni un gentleman, et qu'elle soit une femme était le cadet de ses soucis. Et s'était bien vrai, femme où homme, face à lui il faut s'attendre à avoir une réponses des plus sévères. A partir du moment, où quelqu'un décide de se battre contre lui, qu'importe son genre, il devient son ennemi à ses risques et périlles et ceux qu'importe les arguments que pourrait lui déblatérer Sanji.

Pourtant le blondinet semblait peu enclin à le laisser la tuer, non pas parce que s'était une femme, mais juste parce qu'ils avaient perdu assez de temps avec elle. C'était assez vrai ! Toutes ses précieuses minutes qu'elle lui avait volé et qu'il aurait pu passer au près de ce bel homme don il était tombé follement amoureux, elle lui avait volé. Avec lassitude, et aussi parce qu'il se sentait vraiment pas au mieux de sa forme, Zoro avait fini par accepter d'épargner la vie de Thalia. Et avait plutôt recentré son attention sur le cuisiner.

" Je t'aime, Sanji." Lui avait-il dis non sans le taquiner un peu avant.

Dans son cou, il avait senti se dernier se nicher, contre sa peau bleui par le froid, avait senti la respiration chaude du Cook, s'était agréable mais pas suffisant pour lui faire du bien. Alors il avait fini par sortir de cette maudite grotte, sa démarche était douloureuse, son visage tuméfié fit faire un bon d'horreur aux membres de l'équipage, lorsqu'il fut exposé à la lumière naturel.

- Mon dieu, avait soufflé Nami avec horreur en portant les mains à sa bouche. Qu'est-ce qu'ils t-on fait ?

- Est-ce que tu te sens capable de rentrer à l'hôtel à pied, où tu as besoin d'aide ? Demanda Chopper très inquiet par l'état du sabreur.

- Je peux t'aider à marcher, proposa Ussop.

- Je peux y aller tous seul ! Avait affirmé le vert dans une petite pointe d'orgueil, mais à peine avait-il fait deux pas qu'il s'effondra au sols.

Les sévices de Thalia l'avait affaibli plus qu'il ne l'aurait cru, et Zoro sentit ça comme une profonde et honteuse humiliation. Choses qu'il ne supportait pas ! Sanji s'était alors proposé de le porter sur son dos, mais le petit médecin de bord l'en avait dissuadé à cause de la grave coupure qu'il avait au cou, ainsi que le blessure dû au coup de poignard.

- Tu as déjà perdu assez de sang comme ça !

Finalement s'est avec le soutient de Luffy et Ussop que l'équipage parvient à ramener le sabreur à l'hôtel. Par la suite ils durent attendre plus d'une heure que Chopper finissent les soins des deux hommes. Pour Sanji se fût surtout des points de suture dont il eut besoin, ainsi qu'un bandage un peu serrer pour ses deux côte cassées, et quelques pansement. Pour Zoro se fût un peu plus long, il dût d'abord le mettre sous perfusion à cause de sa sévère déshydratation. Ensuite le petit médecin dut l'examiner des pieds à la tête....le jeune homme était affamé, il avait plusieurs cotes cassé lui aussi, l'arcade sourcilière explosé, un œil fermé par les coup de poings que lui avait donné Thalia dans une de ses crises de folie, et il avait aussi une température dangereusement basse.

A cause de lui. [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant