Me revoici avec un nouveau chapitre, un peu court. Je vous remercie grandement pour tous vos votes et commentaires, ça m'encourage à continuer.
En espérant que ce chapitre vous plaise, je vous souhaite une BoNNe leCtuRe à TOus :D
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-Non mais avance bon sang ! C'est pas vrai ça !! QUI A BIEN PU TE DONNER CE PUTAIN DE PERMIS !!!
Seulement cinq minutes qu'Emma Swan était coincée derrière un camion poubelle, mais cela lui suffisait pour avoir envie d'écraser tous les pauvres cyclistes qui avaient le malheur de passer devant elle et de foncer dans ce fichu camion qui bouchait cette ridicule petite rue, parce que bien – sûr il avait fallu, pour ne pas être en retard, prendre ce raccourci pourri. Bravo Swan, excellente idée !
À vrai dire, cette humeur massacrante semblait être la nouvelle humeur de la policière. Cela faisait quelques jours que la jeune femme était irascible et de mauvaise humeur, prenant la mouche pour un rien. Ce n'était pas un problème de fatigue et d'humeur à proprement dit parlé, mais simplement à cause du fait que la jeune n'arrivait pas à se décider à faire quelque chose. Des excuses. Des excuses ? En même temps, elle n'en savait rien. Bon sang, et puis cette fille, elle ne la connaît même pas ça n'a pas lieu de l'atteindre. La dernière fois qu'elle l'avait vu, elle l'avait simplement trouvé affreusement agaçante et immature.
-Bon en même temps, question comportement t'as pas fait mieux Swan. Elle voulait juste discuter.... Ah bah, c'est pas trop tôt.
Le camion à ordures redémarra et la route fut enfin dégagée, laissant enfin la blonde arriver à son bureau où elle se laissa tomber avec le peu d'élégance qui lui restait.
-Là, tu fais fort Swan. T'es censée être là pour 08:00 par 11:00, lui répliqua August.
-Pas le moment et puis je suis passée à l'entrepôt histoire de vérifier si personne n'était retourné.
-En même temps, en ce moment, c'est jamais le moment ! Et j'ai rien contre à jouer les cow – boys, j'adore ça et tu le sais, mais fais pas ça seule, il pourrait t'arriver un truc de nul.
-Soit pas rabat – joie veux tu ? Souffla Emma.
-Et Henry, comment vas – t – il ?
-Il me fait toujours la gueule, grogna – t – elle.
-Tu t'es excusé ?
-Je la connais même pas.
-Et alors ? Ça te ressemble assez peu ce genre de pensée : est – ce que tu veux que je te rappelle la Emma qui m'avait tiré les oreilles, littéralement, pour que j'aille m'excuser auprès d'une fille totalement inconnue et d'ailleurs qui l'est restée, juste parce que je m'étais moqué de ses collants ?
-August, on était des gamins.
-Bah, il semblerait que la Emma enfant eût plus de valeur que celle adulte.
L'agent clôtura la discussion en balançant son stylo sur son ami et repartit dans ses songes, se disant que peut être, avait – il raison et était – elle allée un peu trop loin. Mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'elle ne pouvait pas savoir et que cette femme l'insupportait... Pourquoi d'ailleurs ?
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Poupées russes
RomanceEmma et Henry sont heureux ensemble et pensent se suffire l'un à l'autre. Ils n'espèrent pas grand-chose de la vie jusqu'à leur rencontre avec Regina Mills, médecin malentendante, qui va leur montrer les légèretés de la vie.