Poupées russes

CHAPITRE 6 : Enquêtes approfondies

Bonjour à tous ! Je tiens à m'excuser d'emblée de mon retard, mais mon ordinateur, pour me prouver qu'il m'aimait a trouver judicieux de supprimer mon histoire. Je ne sais pas vraiment ce qu'il s'est passé mais lorsque j'ai voulu publier mercredi, la publication ne s'est pas faite et impossible de retrouver mon dossier partis je ne sais où. C'est certain, c'est le karma puisqu'il me restait tout au plus de chapitre avant de boucler cette histoire. Autrement dit, j'ai perdu 48 chapitres ! C'est ce que j'appelle le seum ! J'ai refait ce chapitre le plus vite possible, inutile de dire que du coup il n'est pas génial, mais je me rattraperai la prochaine fois, promis. Je ne me suis pas relu 10 000 fois par conséquent, alors je m'excuse pour les probables fautes et coquilles qui me seront passés inaperçues. De plus, n'ayant pas beaucoup de tant pour moi jusque fin mai je ne sais pas si je pourrais assumer la publication toute les deux semaines, mais je tâcherais de faire tout mon possible.

Bref, sur ce, je vous souhaite une BoNNe leCtuRe à TOus :D

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-... on a qu'à faire comme ça. Je dépose Henry là et ensuite on se rejoint au square, on verra bien ce qu'on trouvera. Bye ! Raccrocha Emma tout en se garant dans le parking sous – terrain.

Emma et Henry sortir rapidement puis montèrent dans l'ascenseur. Pour une fois, ils n'étaient presque pas en retard. L'ascenseur s'arrête et Emma retrace le chemin pris un mois plutôt. Un mois que les Swan n'avaient pas revu leur fameux docteur et inutile de dire à quel point cela leur avait manqué. Toutefois, si l'un le reconnaissait avec plaisir l'autre ne l'aurait reconnu pour rien au monde, même pas à sois même. En effet, la belle blonde n'avait pas arrêté de penser à la belle brune comme à cet instant.

Le lendemain de leur soirée, la policière avait eu beaucoup de mal à sortir de sa bulle encore. Elle se sentait légère et n'avait qu'une envie en réalité, retomber dans cette ambiance féerique.

Après réflexion d'ailleurs, la brune lui plaisait. Elle était magnifique et élégante, peut être un peu brute mais également douce. Et si Emma n'avait pas remarqué d'emblée, ne serait ce que la beauté de la femme de ses pensées, c'était parce qu'elle en avait perdu l'habitude. A trop avoir été déçu par tous, Emma était résignée à n'avoir, dans sa vie, que son fils et ses amis. Jamais elle ne pourrait partager sa vie avec qui que ce soit et pour rien au monde elle ne le souhaiterait.

L'amour, pour Swan, n'était qu'un doux rêve inventé par les humains pour se sentir moins seul. Mais ce qu'ils n'avaient pas anticipé, c'est lorsque cet amour fini par tomber en désuétude et qu'il nous laisse, agonisant, suffoquant et plus seul que jamais. Emma Swan avait essayé et s'était juré que l'on ne l'y reprendrait plus.

Mais, comme l'exception qui confirme la règle, la jeune mère n'avait pas pu s'empêcher de rêver du médecin. De ses formes parfaitement disposées, du son visage rayonnant et symétrique, de ses yeux sans cesse pétillants et émerveillés par tout, de ses cheveux aussi noir que la nuit, de son intelligence ... Oui, Emma Swan adorait, mais cette adoration serait également un secret aussi choyé que son fils.

Enfin, ils arrivèrent au planétarium. Emma poussa la porte et découvrit la brune de ses pensées, assise sur une chaise.

-Bonjour, Regina ! S'exclama Henry, enthousiaste.

-Bonjour, Henry. Mademoiselle Swan.