Poupées russes

CHAPITRE 8 : Samedi en jeu

Bonjour à tous ! Et oui, me revoilà après ce long moment d'absence qui ne tient pas vraiment en excuse : entre mes obligations, mes problèmes de santé et le fait d'avoir perdu toute mon histoire, et désormais, ne m'en souvenir que par bribe m'avait quelque peu découragé. Je m'en excuse dors et déjà.

Mais cette histoire finira, il n'y a pas de doute sur ça. Quand ? Telle est la question.

Je ne vous fais pas attendre plus, voici un nouveau chapitre, court certes. Et merci à tous ceux qui ont postés des reviews et qui me suivent encore. C'est grâce à vous que je continue ;)

Bref :

BOnnE leCtuRE à TOUs ! :D

() () () () ()

-Bien, tu n'auras plus qu'à faire réchauffer le plat à son arrivée, conseilla une petite dame brune à l'accent italien.

-Merci beaucoup Angela. Je n'aurais jamais réussi sans toi, remercia Emma.

-Sans problème ma belle. Je suis heureuse que tu te laisses enfin voir quelqu'un.

Il est vrai qu'Emma avait réfléchi toute la semaine à ce rapprochement qui avait eu lieu lors de leur dernière rencontre. Et après réflexion, elle s'était enfin décidée à se laisser une chance. Après tout, la jolie brune ne cessait d'occuper son esprit depuis leur première rencontre et elle semblait honnête. Toutefois, la jolie policière restait encore sur sa réserve, de peur de se faire trahir, à nouveau.

Quoiqu'il fût important de noter qu'Emma avait l'impression n'avoir jamais eu autant confiance en quelqu'un jusqu'à maintenant. Chose qui l'a terrifiait. Elle trouvait tout cela bien trop simple avec la brune, tout était d'une évidence implacable.

C'est d'ailleurs pour cela qu'Emma avait appelé à l'aide Angela. Elle souhaitait faire de ce repas à la fois un facteur pour la remercier et un facteur qui ferait avancer leur relation. Enfin, si elle ne se faisait pas de fausses idées ... Non, commence pas à faire machine arrière, se fustigea Emma.

Et Angela avait bien évidemment accepté. Angela Rizzoli. Emma considérait cette dernière comme sa mère. L'italienne l'avait accueilli alors qu'elle était enceinte d'Henry et à la rue. Elle l'avait alors soutenu et convaincu de ne pas abandonner le petit à sa naissance, lui promettant qu'elle ferait en sorte qu'ils ne manquent jamais de rien. Et depuis, ils ne s'étaient plus jamais lâché : Angela était devenu la mère et la grand - mère de substitution des Swan pour le plus grand bonheur de tous.

-On verra où ça mène, mais ça ne peux pas faire de mal, supposa Emma en haussant les épaules.

-C'est bien ce que je me tue à te dire depuis des années. Lance toi ! Qui sait : ça sera peut - être la femme de ta vie, rêva Angela faisant paniquait Emma, ce qu'elle remarqua aussitôt. Quoiqu'il en soit : ne te mets pas la pression. Soit à l'aise en toute circonstance, donne toi une chance et prend ton temps, rassura et conseilla Angela.

Emma se contenta d'un simple sourire, nerveuse à l'idée de se laisser croire à une potentielle histoire. Angela était restée encore une heure afin d'en savoir plus sur la brune, puis, à l'arrivée d'Henry, elle se fit mettre à la porte afin qu'ils se préparent.

Et c'est à dix - heures tapante que Regina arriva. Henry sauta de sa chaise pour aller ouvrir à la brune avant de l'enlacer, trop heureux de l'avoir chez lui. Il la fit entrer, extatique, et lui retira son long manteau bordeaux ainsi que son chapeau noir pour les poser sur un petit banc posé à côté de la porte. Puis, il la guida jusqu'à la cuisine.

Lorsqu'elle entra, elle eut une parfaite vision des fesses d'Emma penchées devant le four. La blonde se retourna et se figea à la vue de la jeune femme.