Chapitre 2

423 23 8
                                    

Adrien

Brusquement, tout se mit à trembler et s'effondrer autour de nous.

_ Mais que se passe-t-il ? S'écria une voix paniquée et apeuré féminine à l'extérieur.

_ Adrien je... S'exclamait Marinette doucement à travers la brouha alors que je me relevais vivement en prenant sa main dans la mienne et courait avec elle jusqu'à la sortie.

Nous dévalions rapidement les escaliers, elle avait du mal à me suivre mais s'efforçait de courir derrière moi, malgré ma vitesse beaucoup plus forte qu'elle. Alors que nous arrivions à peine en dehors de la maison que la porte s'effondra brusquement. Je tombais avec Marinette dans les bras à quelque mètre plus loin.

Je fermais un instant les yeux en soupirant avant de regarder paniquer Marinette pour vérifier son état. Encore sous le choque elle avait les yeux fermés, crispé par une douleur. Je me relavais et la portait en demandant vivement, apeuré et ahurie qu'elle puisse souffrir sans que je ne puisse faire quelque chose.

_ Marinette, où as-tu mal ? Demandais-je doucement, cachant du mieux que je le pouvais ma colère, en l'amenant au portail de la résidence.

Je la déposais délicatement au sol et découvrait inquiet du sang sur son épaule, je retirai doucement le bout de tissu recouvrant son épaule pour découvrir une grosse égratignure, recouverte de sang.

_ Oh non, tu es blessé ! M'inquiétais-je subitement, en la regardant avec tristesse alors qu'elle me souriait doucement, affaiblie par la douleur qu'elle ne voulait pas me montrer.

_ Ça va... Ce n'est qu'une éraflure, ça passera. Rassura-t-elle en remontant sa manche sur son épaule, et se relavent aussitôt sous mes yeux surpris et observateur.

Je me relevais et l'aidait en passant mon bras sous le sien pour la prendre par la taille, faisant attention à tout mouvement brusque. Pile à ce même moment une grande créature apparut à l'arrière de ma grande maison, fixant le monde d'un regard machiavélique et hautain.

_ Cher citoyen parisien, je suis "Le voleur de rêve". Je ferais de vos cauchemars une réalité !S'exclama-t-il brusquement en rigolant méchamment, avant de lancer une longue fumée noire sur un passant et de le transformer en une âme en peine, le cauchemar de cette personne était représenté au-dessus de son âme volante.

_ Ahaha ! Rigola-t-il diaboliquement alors que la foule se mettait a crié en courant dans tous les sens paniqués.

Je retournais la tête vers Marinette, décidant qu'il était temps d'arrêter ce super vilain qui ne faisait que de semer la pagaille dans la ville.

_ Il faut te mettre en sécurité. Annonçais-je en la portant comme une princesse et courant vers une cabane déserte, au fond du grand jardin.

J'y entrais et la déposait délicatement sur la chaise en bois qui se tenait au milieu de la pièce, elle me regardait calmement, timidement et apeuré. Je la fixais quelque minutes avant de déposer tendrement un doux baiser sur son front, en posant délicatement ma main sur sa joue.

_ Je reviens vite. Tu ne sors en aucun cas d'ici. Ordonnais-je en me reculant pour la regarder sérieusement, avec autorité.

_ D'accord. Acquiesça-t-elle en hochant doucement la tête, me souriant alors d'un doux sourire.

Je lui rendis doucement son sourire, mais un autre tremblement fit irruption rompant ce petit moment. Je hochais vivement la tête en sortant rapidement de la cabane avant de commencer à courir vers des buissons.

J'entrouvrais légèrement ma chemise et laissait Plagg en sortir, il me survola rapidement pour finir face à moi.

_ Une attaque, la première attaque. Comment suis-je sensé le battre ?Demandais-je rapidement sérieusement à Plagg alors qu'il me regardait hautainement en flottant tranquillement dans les airs.

_ Pour récupérer son akuma, un papillon violet, tu dois trouver l'objet dans lequel il est contenus. Mais celle qui purifie les akumas c'est ta partenaire, la porteuse de miraculous de la coccinelle. M'expliquait-il rapidement alors qu'un nouveau tremblement retentissait, me faisant manquer de tomber.

"D'accord, en attendant qu'elle arrive je peux ralentir ce super vilain. Plagg, transforme-moi !" M'écriais-je sur de moi en levant mon poing, aspirant Plagg dans ma bague.

Je me transformais rapidement dans une grande et éblouissante lumière verte puis me mettait à rapidement allongé mon bâton pour rattraper le super vilain en survolant les toits de Paris. Je voyais le vilain quelque mètre plus loin, mais soudainement je me baissais et éviter une ombre noire, je sautais sur un toit et détruisait l'ombre en donnant un violent coup de bâton dans celle-ci. Elle se brisait puis s'évaporait dans les airs, comme disparue. Je retournais la tête vivement la tête, décidant de ne pas plus m'attarde et courrait vers le vilain, en arrivant suffisamment proche de lui je lui assénais un violent coup de bâton sur la tête, ce qui le fit s'arrêter et hurler de douleur. J'atterris sur un toit face à lui et rétorqua un nouveau coup en lui plantant, cette fois-ci mon bâton dans l'œil.

_ AAAAH ! Hurla-t-il d'effroi, faisant trembler tout Paris et ses immeubles.

_ Vilain monstre ! On ne t'a jamais appris à politesse ? Alors déjà, on hurle pas dehors, c'est chatastrophique pour les bâtiments et surtout pour nous ! Lui expliquais-je malicieusement, un sourire aux lèvres en lui ressautant dessus pour courir et lui donner plusieurs coups un peu partout sur lui.

Il se mouvait dans tous les sens en hurlant de colère, j'allais atteindre une broche qu'il y avait sur son costard mais il se secouait violemment tout le corps et me faisait valser de l'autre côté. Je volais pendant plusieurs minutes avant d'atterrir durement sur le sol en roulant. Je grognais, en me relavant, agacé, portant un regard coléreux sur le monstre. Il s'approchait, faisant trembler à chacun de ses pas le sol. Quand il finit, finalement par arrivé jusqu'à moi, avec un sourire sadique, après dix minutes à attendre qu'il arrive. Je soupirais, désespéré de ce super vilain, complément moche et bête.

Blanche était sa couleur de peau, rouge était ses yeux, et imposant était sa corpulence, habillé d'un pantalon bleu marine et d'un costard de la même couleur,  il était tout bonnement ridicule.

Franchement, il n'avait aucun goût !

_ Tu fais penser à un fantôme !Ironisais-je en retournant mon bâton vivement pour me mètre en position de défense.

_ Tu oses te moquer de moi vulgaire minet ! Hurla-t-il violemment en colère, surélevant son popotin dans les aie et s'abaissant légèrement, comme un poulet, pour lui donner une démarche de vilain qui allait attaquer.

Me fixant malicieusement d'un regard noir, je me retenais d'exploser de rire face à sa position si gênante et ridicule. Si c'était une manière de draguer il pouvait tout simplement changé de styliste. De toute façon je n'étais pas homosexuel, non... Sans façon.

Mon cœur est déjà prit, et franchement, le prix n'en vaut pas le produit.

Il ne fait par le poids face à ma douce et tendre Marinette, franchement c'est comme si une souris voulait battre un lion, majestueux : c'est impossible.

_ Ouais bah le minet griffe, mec. Soufflais-je lasser, le visage blasé par sa réplique qui n'était en aucun cas diabolique.

🔥☁️

Bonsoir ! Voici le deuxième chapitre, on rentre dans une bataille 😬 ! J'espère qu'il vous a plu. Désolé des fautes d'orthographe, bonne lecture et à bientôt 💖 ! Bisou 💋.

𝕄𝕚𝕣𝕒𝕔𝕦𝕝𝕠𝕦𝕤 𝕃𝕒𝕕𝕪𝕓𝕦𝕘 : Mienne Éternellement Où les histoires vivent. Découvrez maintenant