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Je monte dans la voiture le sourire aux lèvres. Je m'attache et attend que Paul monte à son tours.

- Tu va continuer longtemps à le rendre fou? me demande-t-il en fermant la porte.

- Oui, je trouve ça drôle.

Je le vois sourire.

- Où va t-on?

- Voir le médecin.

- Pourquoi? Je vais très bien?

- Juste une petite visite, rien de grave.

- Alors pourquoi?

- Tu pose toujours au temps de question?

- Je veux juste savoir où je vais atterrir c'est tout.

- Je ne te ferai prendre aucun risque Prune. Je te le promet.

Des promesses, des promesses... On a jamais respecter les promesses qu'on m'avait faîte. Surtout ma mère... Je regarde la route. La ville est calme et quelque flocons de neige tombe du ciel. Nous arrivons à l'hôpital, je n'aime pas cette endroit. Paul se gare et nous nous dirigeons vers le bâtiment. Une fois à l'intérieur Paul part vers l'accueil. Je reste en retrait. Quelques minutes plus tard, nous nous dirigeons vers une salle. Le médecin qui c'était occuper de moi, arrive en souriant.

- Je pensait ne plus vous voir? me demande-t-il.

- Moi aussi, dis-je en murmurant.

Je retire ma veste sous ces ordres. Paul quitte la pièce.

- Alors comment ça va? me demande-t-il.

- Oui, j'aimerais juste quitter le club.

Il me regarde en souriant.

- Tu ne quittera plus le club.

- Mais bien sûr, c'est ce qu'on verra. Vous connaissez depuis longtemps le club?

- J'ai grandi avec Paul. Alors oui je le connais par cœur.

- D'accord, alors pourquoi il se prends la tête pour moi?

- Peut être par ce que tu est importante pour lui.

- Ah bon? C'est nouveau? Et en quoi je suis importante pour lui?

- Tu n'aura cas lui demander.

Je ne lui réponds pas. Après qu'il est terminer de faire son boulot, Paul entre.

- Alors? demande-t-il.

- Tout va bien, juste qu'il faudrait qu'elle reprenne un peu de poids.

- Très bien, je vais la forcer à manger.

- Mais je mange! dis-je

- Tu veux bien m'attendre à l'extérieure Prune.

- De toute façon je n'ai pas le choix dis-je entre mes dents.

Une fois hors de la salle, je décide d'aller dehors. J'aurai l'opportunité de partir, de fuir, mais mon ordinateur est le plus important. Je m'installe sur un banc. Je regarde autours de moi quelques personnes entrain de fumer, vêtu de leurs robe de chambre. Je vois quelques famille arrivée, des femmes accompagner de leurs enfants, des maris avec leurs femmes enceinte. je ne me suis jamais imaginer une vie comme ça. Je suis plutôt du genre à errer d'Etat en Etat. Et c'est ce que je compte faire une fois libérée de ma prison doré.

- Ah tu est là.

- Tu voulais que je soit où?

- Parti.

Very Bad GeekOù les histoires vivent. Découvrez maintenant