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Point de vue Prune

Quand j'arrive à la maison abandonner, la pluie glacial est arrivé, je suis tremper, j'ai froid et ma tête me fait de nouveau mal. La maison est froide, l'air passe entre les vieilles fenêtres. Je m'éloigne le plus possible des ces endroits, je me met en boule dans un coin de la pièce. Je grelotte, cette nuit est vraiment froide. J'aurais peut être dû rester près de l'hôpital. Dans une des salles d'attente.

J'arrive a fermer les yeux quelques minutes, mais je suis morte de froid. Le jours commence à se lever, de la fumée sort de ma bouche quand je respire. Je suis gelée, mes membres son congelée, il faut que je bouge, que je me réchauffe avant de mourir de froid. Je n'ai pas survécu à temps de chose pour mourir de froid dans une maison abandonner. C'est décider, il faut que je quitte cette ville.

Je regroupe mes affaires et prends la direction des toilettes public. Brossage de dents, un coup d'eau sur le visage, j'ai profiter de prendre une douche à l'hôpital. Je prends ensuite la direction de la gare.

Quand j'y arrive, elle n'ai pas très grande, j'avance vers le tableau d'affichage qui indique les horaires de train. Je regarde ensuite autours de moi et vois que le Shérif me regarde. C'est quoi son problème. Les trains de marchandise ne son pas indiquer sur le tableau. Je quitte la gare et commence à marcher près des rails. La journée défile lentement, mon estomac crie famine. J'ai vraiment faim et la période où je mangeais des crêpes me paraît déjà loin. J'enfonce de nouveau mon bonnet sur ma tête, resserre mon manteau autours de moi. Je suis assise sous un arbres pour me reposer, je suis fatiguer. les étoiles commencent à apparaître dans le ciel, au loin j'entends un train arrivée, je pris pour que sa soit un train de marchandise. Je remet mon sac sur mon dos et avance près des rails, a cette endroit ils son obliger de ralentir, j'aurai le temps de monter à l'intérieur.

J'entends un bruit dans mon dos, je tant l'oreille. J'entends des pas dans mon dos. Je me retourne, je vois plusieurs ombres venir vers moi, je n'attends pas qu'ils soit à ma hauteur et prends la fuite, je me met à courir, mais met jambes son tellement froide que j'ai dû mal à courir, je vois le train passer a mes côté dans un bruit ahurissant. Putain les enfoirés! Je l'ai louper à cause d'eux et je pense que ça sera la dernier pour aujourd'hui.

Je l'ai entends dans mon dos, je saute par dessus le talus et me cache derrière un arbre. Je n'arrive pas à calmer ma respiration, je suis essouffler. Je m'appuie contre l'arbre. Le silence règne atours de moi, je n'entends plus rien, peut être qu'ils on décider d'abandonner. Je me redresse après quelques minutes à souffler, je n'ai plus qu'à retourner à la maison abandonner pour cette nuit, les température son bien en dessous de 0. Mes mains son froide, mes doigts gelés. Je descend de nouveau le talus et reprends la direction de la gare. Je la dépasse, je me retrouve en ville, la nuit est bien tomber, il fait nuit noir quand j'arrive dans la rue de ma demeure froide.

Mais je n'ai pas le temps d'y arrivée, qu'une voiture s'arrête à mes côté dans un crissement de pneus. Je n'ai pas le temps de me retourner que deux bras m'encercle, je suis soulever comme une poupée de chiffon et balancer dans la voiture, qui redémarre en trombe. Je ne vois pas leurs visages, les deux hommes ne se parlent pas. La main de celui qui m'à attraper est toujours sur ma bouche, je sais que ça ne sert à rien de me débattre, il est plus fort que moi. Et pour ne pas mentir, son corps est chaud et me réchauffe un peu. Il fait bon ici et la seule chose au monde que je voudrais c'est passé la nuit dedans, dans la chaleur de l'habitacle. La voiture ne roule pas vite et respect toute les indications de la circulations. Je suis épuiser et je sens que l'homme qui me tiens desserre son étreinte. Ils savent qu'ils non rien à perdre. La voiture rentre dans un endroit qui mes inconnu. Une maison se dresse devant moi, j'entends des grilles se refermer. Je suis prise au pièce dans cette endroit inconnu. La voiture s'arrête et nous sommes éclairer. L'homme me lâche et ces a ce moment là que j'en profite, j'ouvre la portière à la volée et entends un putain assez fort.

Ma portière à atterri dans quelqu'un bien fait pour lui. Je saute de la voiture, mon sac sur le dos je cour le plus loin possible de la voiture, j'entends courir derrière moi.

- Arrête toi! crie un homme.

Mais je ne l'écoute pas. Je commence à monter au grillage, on m'attrape un pied et je balance l'autre pour me libérer, mon coup de pieds fait lâcher l'homme.

- Putain elle m'a casser le nez! entendais-je crier.

Je monte encore un peu, et je sent un homme me sauter dessus, son poids me force à lâcher et nous tombons par terre, je me débat mais mes forces me manque.

- Arrête de bouger! dit-il.

Je balance mon poing qui le heurte à l'arcade.

- Putain reste tranquille.

Il attrape mes mains et les tiens assez fort, il me les accrochent avec un espèce de truc en plastique. Il se relève et hisse sur son épaule, je balance mes jambes dans tous les sens. L'homme se prends des coups mais ne dit rien. Il pose sa main fermement sur mes jambes et elle arrête de bouger. Bordel de merde mais dans quoi je me suis fourrer! Il avance vers la maison éclairer, je retrouve la voiture, plusieurs hommes sont devant celle-ci. La porte de la maison est grande ouverte, j'ai perdu mon sac dans la course poursuite et un homme le tiens entre ces mains.

- Lâcher moi! criais-je, Vous allez le regrettez!

J'entends l'homme qui me tiens rire. Je bouge de nouveau les jambes, il se prends de nouveau coup. Je crie, je hurle de toute mes forces, mais rien n'y fait. Nous entrons dans une pièce, je suis balancer sur un truc moue. Je n'ai pas le temps de me relever que l'homme à déjà fermer la porte. Je colle mon oreille contre celle-ci et la seule chose que j'entends est:

- Elle ta amocher aussi?

- Oui, elle est coriace, entendais-je dans un rire.

En plus ils osent se moquer de moi. Je suis éclairer par une petite lampe et découvre une chambre, mes poignets son toujours attacher.

Alors là Prune tu est dans la merde!

Very Bad GeekOù les histoires vivent. Découvrez maintenant