Prologue - 2

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Le son des cris des personnes remplissent la salle. Chacun d’entre eux attendent pour ce qu’ils veulent voir le plus. Tout le monde est déchaînés. Quelques une acclament, d’autres hurlent a d’autre de se la fermer. Il y en a aussi qui tiennent des affiches. Tout le monde dans cette grande salle est excité, mais personne ne sait ce qu’il se passe à l’arrière de cette grande salle. Il y a une salle où les boxeurs se reposent ou changent de vêtements. Ils sont tous aussi excités, les coachs criaient sur les boxeurs, leur disant d’être le meilleur et de gagner le match.

Mais au fond de la salle il y a un gars. Il ressemble à un adolescent. Il est assis sur une chaise, écoutant la musique qui sort de son casque. Personne n’ose lui parler ou même lui taper l’épaule pour lui dire de se préparer. L’adolescent regardait le sol, les yeux noirs de colère et les yeux marrons capté par ce côté sombre de l’adolescent qu’il comment à montrer. Aujourd’hui est un grand jour pour lui. Aujourd’hui est le jour où il doit montrer à tout le monde qu’il a eu le contrôle. Il peut gouverner cet endroit tout entier. Qu’il a le droit de faire ce qu’il veut.

Cet adolescent a évidemment un coach. Mais là maintenant, le coach sait que s’il essaye de parler avec lui, il pourrait l’envoyer à l’hôpital. Donc il le laisse comme ça. L’adolescent regarde son téléphone pour connaître l’heure. Quand il se rend compte que c’est pour lui l’heure d’y aller, sans que personne n’ai eu à le lui dire, il se lève de sa chaise et y pose son téléphone. Le t-shirt noir qu’il porte est aussi noir que son cœur, remplit de haine, d’horreur, désagréable et encore tellement de chose qu’une personne ne voudrait pas avoir dans son caractère. Mais il appréciait ça. Non, il aimait ça. Il enlève son t-shirt et enfile son short. La personne qui est supposée de lui porter le peignoir est trop effrayé pour le lui donné, donc il lui a juste laissé sur sa chaise et partit aussi vite qu’il pouvait.

L’adolescent sourit, satisfait, il sait l’effet qu’il a sur les autres personnes. Et ce n’est qu’un adolescent. Personne ne devrait avoir peur, parce qu’il est juste un adolescent, rien de plus, rien de moins. Bien  que, si vous connaissez son passé, vous devez savoir que dire quelque chose qu’il n’aime pas le fera vous détruire en une seconde. Le peignoir est totalement noir, comme le cœur de la personne qui le porte. Sur le dos de ce peignoir est écrit un nom en blanc que tout le monde connait, le nom écrit est «Styles». Tout le monde acclame la personne qu’il soutient, celle qu’ils pensent gagnante. Le présentateur commence par demander à la foule de se calmer pour qu’il puisse annoncer le nom des prochains boxeurs qui se confrontent.

La salle devient silence, écoutant le présentateur annoncer : «Mesdames et Messieurs, nous avons une soirée spéciale ce soir ! Deux des plus fort, les hommes les plus moyens vont se mettre ensemble pour nous montrer qui est le plus fort d’entre eux. Ce match sera le match de l’année. S’il vous plait, laissez-moi entendre vos cris. Laissez-moi entendre vos acclamations, laissez-moi savoir qui vous pensez le gagnant se soir ! Mesdames et Messieurs…Voici Mr. Jackson et Styles !» Tout le monde a commencé à crier les noms des deux hommes. En ce moment, personne n’as encore réussit à battre Jackson. Même l’adolescent que tout le monde craint. Personne ne sait que Jackson est allé dans la même école que Styles, et que Jackson avait l’habitude d’être le voyou qui mettait toujours Styles hurlé de douleur. Jackson ne sait pas que Styles est devenu une personne différente. Jackson pense que Styles veux juste une revanche. Oui, Styles veut une revanche, mais pas que. Il veut prendre Jackson comme exemple pour les personnes qui briseront ses règles. Ceux qui voudront dépasser la ligne. Pour lui Jackson sera juste un exemple. Maintenant les deux sont en face l’un de l’autre.

Les yeux noirs de Styles regardaient Jackson, fixant ses moindres mouvements quand il parle à son coach. Quand Jackson fait volte-face, il voit le regard noir que Styles lui donne. Durant une seconde il est incertain, parce qu’il n’avait jamais vu Styles avec ses yeux noirs. Mais quand il chasse ses pensées et vient parler à Styles. C’est le premier faux pas que Jackson fait ce soir. «Styles. Eh bien, tu as grandi très vite, bon garçon.» Les mots de Jackson arrivent aux oreilles de Styles. Il ne lui répond pas, ne faisant rien non plus, il se dit juste «Attend juste. Juste attend.» La cloche sonne, les deux boxeurs commencèrent leurs mouvements. La respiration de Styles était profonde comme il continuer à bloquer les gants rouges de Jackson. Il n’est pas apeuré ou fatigué, il essaye juste de fatiguer Jackson. Tout le match, Styles prétendait être le faible, le «bon garçon», mais il n’est pas un bon garçon. Il a quelque chose en tête. Le seul qui transpire et qui fait tous les mouvements est Jackson. S’il était intelligent, il saurait que Styles est juste en train de l’affaiblir. Quand Jackson devient plus fatigué, ses poings deviennent de plus en plus faibles. Quand les poings de Jackson tombèrent le long de son corps, il recule de quelques pas pour voir comment il a fragilisé Styles.

C’est à ce moment que les poings de Styles volèrent dans deux directions. Ses gants noirs entrèrent en contact avec la mâchoire de Jackson, et son estomac. Il n’arrête pas. Il continu à frapper, et frapper, et frapper Jackson avec ses gants noirs. Il ne prend pas en compte ses muscles devenant lourds, ou ses poings devenirs fatigués par tous ses coups. Juste quand Jackson allait toucher les cordes du ring, le gant de Styles entre en contact avec son épaule droite. Le corps de Jackson devient engourdi et Styles continu à le frapper de partout. Quand le corps de Jackson était sur le point de s’effondrer sur le sol, Styles lui tient les épaules avec ses gants noirs, apportant ses mains fermés jusqu’à sa bouche.

Les derniers mots que Jackson a entendus avant de tomber dans les pommes sont : «Quand je suis bon, je suis vraiment bon. Mais quand je suis mauvais, je suis MEILLEUR.» Juste après la cloche retentit, signalant la fin du match. Personne ne croyait au fait qu’un garçon de dix-huit ans puisse battre un homme de vingt ans. Mais il a gagné, il a prouvé au monde qu’il est au contrôle. Il a fait de Jackson un exemple, comme il l’avait planifié. Styles sourit de satisfaction en voyant Jackson allongé au sol avec le sang sortant de son nez et sa bouche.

Les yeux noirs de Styles passèrent sur les gradins avant de s’arrêter sur une fille habillée d’un débardeur avec un short noir. Il la regarde mieux, analysant toutes les parties de son corps. La fille, pour lui ressemblait à une putain. Mais pourquoi il s’en soucie ? Il la veut juste maintenant. Il lui fait un clin d’œil. Elle a alors commencée à jouer avec l’ourlet de son débardeur, lui dévoilant son soutien-gorge noir. Il s’humidifie ses lèvres. Ses yeux font le trajet vers la porte de sortie et reviennent à cette fille, lui disant de le rejoindre dehors. Elle hoche la tête et en une seconde, la fille était dehors. Styles s’en fiche, et ne le fera jamais.

Personne ne sait pourquoi il est comme ça, ou pourquoi il a changé. Personne ne connait la réelle raison, et ils s’en fichent. Les coachs le veulent seulement parce qu’il rapporte de l’argent. Les filles, il en baise beaucoup et est vraiment beau. Personne ne se soucie vraiment, et il ne se soucie pas des autres non plus. Styles marche jusqu’à la sortie de la salle tandis qu’il écoutait les cris des fans et la voix du présentateur «Mesdames et Messieurs, ce soir pour cette soirée spéciale, nous avons un gagnant ! Tout le monde, faites-moi entendre vos cris pour, HARRY EDWARD STYLES !»

Anger Issues. /v.f/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant