Au-delà du réel (Scp Foundation)[TERMINER]

Scarlet

En rentrant dans le site 17, Iris et Caïn sont venus me voir. 

"ça va? dit le garçon.

- Ouais, juste une cheville d'enflé mais rien d'autre.

- Qu'elle chance."

Caïn était soulagé de ma raiponce. 

"Tu veux que je t'emmène dans ta chambre? dit-il.

- Non merci mais merci de ta proposition."

Je marchais avec mes béquilles jusqu'à ma chambre. En m'asseyant sur mon lit, je vis une pille de papiers sur mon bureau. Je me levais et m'avançai. En regardant juste le premier papier, je savais déjà de quoi il s'agissait. Les dossiers SCP. En regardant chaque SCP, je vis celui de Darkblade. 

" Son effet sur le personnel féminin (qui pourrait même ne pas être un effet surnaturel) est très puissant. C'est un beau gosse, et toutes les filles sont à ses pieds. Il a choisi comme épouse Iris et se mariera quand sa mission sera terminée. Il est sérieux? me dis-je. Iris le sait au moins?"

Je tournais les pages, je voyais Caïn, Iris, SCP-076-2 ou Abel et je tombais sur celui que je n'aurais jamais vu. Celui de SCP-231? enfin, celui de SCP-231-7. Je lisais sa procédure de confinement spécial. J'avais envie de vomir, j'ai mainte fois entendu parler de cette fameuse procédure 110-Montauk. En plus c'est... une femme enceinte. J'espère juste ne jamais y assister, même si ils nous donne des amnésiques, je pourrais jamais voir une femme se faire voiler. J'ai lu le sort de ses sœurs, s'était horrible. Même si on va croire que je mens, je promet sur ma vie qu'elle doit souffrir. Je me souviens d'un secret dans le site, j'allumais mon ordi et regardais dans mes fichier.

"Ici."

J'ouvris le fichier et lu le poème.

"sept sceaux, sept anneaux. sept épouses pour le roi écarlate

ils se rassemblent autour du lit de naissance, les insensés et les sages.ils craignent l'enfant à naître, dont la voix déchirera les cieux.les fidèles surveillent la forêt pour la venue du roi.leurs lanternes lumineuses, ils attendent la nuit pour le nouveau monde qu'il apportera.le dragon attend dans les ombres, son souffle va brûler la terre.le héros dans le château tire son épée et prend position.la princesse dans la tour est cachée au loin.mais rien sous le ciel ne peut tenir Le Jeune marié aux abois.ils se rassemblent avec des sourires, sans âme et des morts.bien que son âme se détende, les esprits les plus cruels la garderont dans son lit.le potier a dit à son cabinet de lui préparer sept jarres.il en fit six avec grâce et habileté, le dernier que ses mains marquèrent.la lune de crétin ne hurle plus, son noir de deuil est parti.dans leurs rêves son visage est en train de rôder, venez les ramener.le roi est en tenue de parure, les épouses sont dans leurs lits.les princes à naître attendent dans leur sommeil pour lever la tête avec impatience.les poules étaient dans le poulailler et sept œufs ont pondu,jusqu'à ce que le renard s'introduise dans l'obscurité de la nuit et emporte les œufs.six ont été brisées par leurs liens six pas plus chanteront.vient le septième déroulement complet et toutes les cloches sonneront.quand le premier a mis bas, tous les oiseaux ont chanté.ses cris ont secoué le ciel, alors qu'elle a appelé son roi.par la lame du docteur, le second annonçait une vie dans le monde.tordu sous une lune silencieuse, le drapeau rouge du roi s'est déroulé.sa fiancée la troisième resta inouïe, ses appels au secours ignorés.elle a arrêté sa vie avec un couteau de chirurgien et l'a donné à Notre Seigneur.la quatrième prépare un poignard et le place à son coeur.le remède parfait ne peut purifier ce que le roi a mis à part.la couronne du cinquième portait sur le plateau du renard.la tanière était assombrie par le tonnerre puissant engendré par l'apocalypse.le sixième jour, les murs ont cédé et les océans se sont transformés en cendres.sa naissance a donné du travail, alors que la terre tremblait, sous le fouet tombé du roila septième mariée va briser les marées la lune ne brillera plus.il vient un jour pas très loin elle va naître la mort du temps.le médecin ne dit jamais à son dieu lequel il cherche vraiment.au lieu de cela, il se cache et pleure doucement.la voix de leur dieu, il fait le choix, déclarant avec leur mot."Dans la peur et la douleur laissez-la rester, de peur qu'elle soit comme la troisième."le pistolet du médecin mit fin à sa course, comme il le porta à son oreille.comme elle était souillée, l'enfant pitoyé, il l'a donnée à sa peur.sa mémoire est une chose instable, le plus fort endure.quand ses larmes commencent à vaciller, leurs médicaments la purifient."

Son poème m'a donné des sueur froide. Je regardai mon bras droit , j'avais un tatouage prenant bien mon bras(là où il y a le biceps).

 Mes parents mon dit qu'il y était quand j'étais petite. "parents" plutôt parents adoptif. Je ne sais même plus qui je suis réellement. Maintenant je suis sûr que la fondation pourrais fortement m'aider.

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fin du chapitre