L'empire de l'empereur (Castiel AS et Seijuro KNB) {en pause}

Une semaine de calvaire

(N.D.A : le décalage horaire entre les deux pays ne sera pas du tout respecté, dites vous que c'est la même journée à des heures différentes)

PDV : externe

Peu importe dans quel sens on le voit le 31 Octobre c'est Halloween pour tout le monde. Dans une semaine sans faute nous sommes le 31, bien que nos chers américains de Sweet City soit exceptionnellement en vacances depuis quatre jours exactement. 

Nos amis japonais eux sont encore en études et n'auront des vacances qu'à partir du 20 Décembre. Mais ça n'empêchera ni l'un ni l'autre de faire la fête et au Japon, ils sont dans cette atmosphère festive depuis Septembre, ce qui n'est pas pour déplaire à notre géant violet, aussi appelé Atsushi, qui n'arrête pas de manger toute sorte de nourriture à l'effigie de la fête. 

Quant au guitariste, il s'est bien gardé de dire tout ses petits problèmes, les flashs se font de plus en plus court, mais ça n'empêche pas, qu'ils prennent beaucoup de place, il a quand même pris une décision.

Kisharra l'a invité à fêté Halloween avec lui, et il compte bien faire en sorte que ces absences ne gâchent pas tout, s'il veut s'amuser il le fera. Il est allé au salon, ces parents l'ont salué, il les a salué en retour, il est beaucoup plus ouvert ces temps ci, de plus aujourd'hui il n'est pas sensé sortir, ses parents ne vont pas rater une occasion pareille de le faire parler.

Valérie : alors l'école, le groupe, est-ce tout ce passe bien ?

Sa mère préfère d'avance éviter un sujet épineux.

Castiel : oui.

Il n'a pas plus développé, voyant où elle veut en venir, mais sa mère est d'un naturel têtu.

Valérie : tu n'as pas besoin d'aide pour tes devoirs ? Pas de projet d'école ?

Castiel : en aucun cas.

Il a quand même été tenté de dire un simple "non" pour mettre fin à cet interrogatoire suspect à l'oreille de l'adolescent.

Valérie : j'aimerais bien participer un peu dans ta vie, tu sais ?

Castiel : oui.

Il le savait très bien même, il l'entend dans sa voix plaintive et désespéré, mais il n'en pas l'ombre d'une envie, il veut que que ses parents fassent attention à lui, mais il ne compte pas leur pardonner en un claquement doigt.

Valérie : alors pourquoi es-tu si obstiné ? Tu es chiant à la fin !

Castiel : tu sais très bien.

N'en pouvant plus de se ton arrogant et tout permis, son père s'est levé et lui a fait face, un aura autoritaire autour de lui et sa voix est en harmonie avec celle ci.

Jean-Louis : j'ai fermé les yeux sur ce que tu faisais pour ne pas perdre patience, mais maintenant laisse moi te dire que tout ce que tu as aujourd'hui c'est grâce à nous et que ça peut cesser d'un moment à l'autre, tu te dois de respecter les adultes.

L'aura meurtrière de l'adolescent est revenu sans qu'il le veuille, son père doit bien avouer qu'il en eu peur à un moment, malheureusement son aura autoritaire à lui n'a pas eu l'effet voulu sur le rouge.

Castiel : je donnerais tout en échange d'un peu d'amour.

Il avait chuchoté cette phrase, seule sa mère a pu l'entendre.

Castiel : si je peux me permettre, jouer l'autorité, ne te va pas du tout.

Sa voix glaça instantanément l'atmosphère, qui était déjà bien froide, et les personnes présentes, ses parents sont resté muets le temps qu'il se calme, ils sont autoritaires, pas suicidaire.