Ch1

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Attention! Très important lisez! Avant de lire ceci sachez que je préfère respecter l'histoire que d'être politiquement correcte. Donc dans cette histoire il y aura certain thème ou phrase pouvant être tabous et vus comme raciste, xénophobe, misogyne, pedophile, inceste, antithéisme, homophobe, maltraitance...ect
J'espère que ce qui liront mon histoire verront que ce qui sera dit ne sont pas mes réel pensées, mais des pensées dite normal et correcte à l'air victorienne.
Sachez que je ne juge pas non plus. Je ne cherche pas à faire la moral ou quoi que ce soit. Je veux seulement écrire une histoire d'amour de mon couple préféré historiquement correct. Je déteste lorsque dans nos film ou série moderne on change l'histoire pour nous rendre plus beau/gentille/tolérant/Mary-sue et que ça passe.
Les protagonistes ne seront pas exemptés de certaines idéologies/doctrine pouvant être dite inacceptables de nos jour. Je ferai bien sûr attentions à rester dans leurs personnages.
Voilà. Merci de lire. Désolée pour les fautes d'orthographe. Et j'espère que vous aimerez ce premier chapitre.

-x-

Dans cette Angleterre du XIXème siècle, le soleil venait tout juste de se lever. Une brume fraîche et légère surplombée les plaine. Le couple Phantomhive toujours dans leur robe de chambre, était attablé à la table du petit déjeuné. Leur majordome les servait, le valet et la servante n'étant pas loin pour aider. Un silence serein régnait. Puis doucement, comme à leur habitude, Elizabeth initia la conversation après une gorgée de thé "As-tu quelque chose de spécial prévus pour aujourd'hui?"

Astre lui jeta un coup d'œil par dessus son journal avant de reprendre sa lecture. "Rien qui ne sorte de l'ordinaire." Un temps "Pourquoi?"

"Rien. J'espérais que nous pourrions nous promener ensemble aujourd'hui... Ou prendre le thé de l'après midi tout les deux... Ou ne serait-ce que dîner en tête à tête." Plus elle parlait plus sa voix diminuait, comme si ce qu'elle demandait était interdit. Puis la comtesse abaissa de sa main délicate le journal de son mari, ainsi la jeune femme pouvait le regarder droit dans les yeux. "Astre, je t'en prie écoute moi." Le comte souffla, et poussa son journal sur le côté. Son attention maintenant seulement posé sur sa femme. Il lui fit signe de continuer. "À part pour le petit déjeuné, nous ne passons aucun moment ensemble. Et encore parfois tu es à peine levé que tu es déjà à ton bureau. Mais cela n'est pas le plus grave. Ce qui m'inquiète vraiment c'est-" Astre, voyant où la discussion allait, l'arrêta nette d'un signe de main. Puis pris une gorgé de son thé.

"Je te l'ai déjà répété mille fois, j'ai du travail." Il déclara d'un ton sévère, signifiant qu'il n'y avait pas de place pour la discutions. Seulement croire qu'Elizabeth ce tairait juste parce qu'il le veut serait trop mal la connaître.

"Et tu crois que je ne le sais pas? Je me suis tus assez longtemps, Monsieur le comte Phantomhive! Au début c'était juste de temps à autre que tu ne venais pas à notre table pour manger. Maintenant c'est tout le temps. Et cela fais à peine cinq mois que nous somme mariés." Astre se leva, fini son thé, puis partit en direction de leur chambre. Mais cela n'arrêta pas la jeune femme. " Cinq mois!" Ils montaient les escaliers. "Tes cernes te tombes déjà jusqu'aux joues, et tu as perdus encore du poids." Ils étaient arrivés dans leur chambre, Sébastian aidait le comte à s'habiller, et Mey-rin la comtesse, chacun le dos tourné vers l'autre. "Tu es très pâle!" Elle déclara la voix pleine d'inquiétude. "Penses-tu au Moins à prendre le soleil?". Pendant un moment le seule bruit qui puisse être entendu fut celui des vêtements. Puis elle reprit "La dernier fois j'ai croisés une de tes connaissance commerciale, il m'a demandé si tu n'étais pas malade. Tu imagine à quoi tu ressemble pour les gens de l'extérieur! Même eux vois que tu as besoins de repos." Elizabeth, sa jupe et sa chemise d'équitation étant enfilée, se permit de se retourner vers son mari. "Tu m'écoute?" Elle le questionna. La servante coiffait les cheveux de sa maîtresse dans un beau chignon romantique.

Maîtresse de maisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant