Maîtresse de maison

Ch 23

Coucou! Je suis vraiment désolée pour le retard. J'avais examens et exposées qui se suivaient. Et j'en ai encore TT. Je déteste lorsque on a des examens après les vacances. Bon j'en ai que deux j'ai eu la plupart avant les vacances. Mais bon, ça soule quoi. 

-x-

Le soleil c'était couché, le couple Phantomhive apprécie en silence leur soupé, seul le bruit de l'argenterie contre la porcelaine pouvait être légèrement entendue.

Astre, l'esprit malmené entre les innombrables calculs et les lettres qu'il avait dû lire et relire toute la journée, ne fit pas attention à l'état angoissé de sa dame. 

Pour autant, la comtesse ne lui en tient rigueur. Après tout, elle était aussi perdue dans ses pensées et cela l'empêchait clairement de voir la migraine grandissante de son époux.

Mey-rin qui était autour d'eux avec le majordome et le valet, remarqua sans grande difficulté que ses maîtres n'étaient pas aux meilleurs de leurs formes. Mais intervenir sur ces questions la ferait sortir de sa place d'employée et lui vaudrait une sévère réprimande. 

Alors la servante se contente d'exécuter les ordres maladroitement. A ses côtés, les pupilles de Snake se déplace frénétiquement entre ses maîtres; et le démon profite du plaisir malsain de voir ce dégrader la mentalité de ceux qu'il sert. 

Sans surprise, les jeunes nobles terminèrent leur repas sans avoir émient ne serait-ce qu'un son de reconnaissance vers l'autre. Astre commença à se lever et Sebastian viens vite lui retirer sa chaise. 

Entendant du mouvement, Elizabeth releva la tête vers son époux. "Tu as déjà finis?" 

Il n'arrêta pas sa marche vers la porte pour lui parler, mais la regarda brièvement "Oui. Je n'avais pas très faim. Et il me reste quelque papier à terminer."

Inquiète pour la santé de celui qu'elle aimait, son esprit lui fit presque lui demander de se rasseoir et manger un peu plus. Cependant, elle savait que cela ne serait d'aucune utilité. Il dirait non, elle hausserait la voix en essayant de le convaincre, puis à force de s'évertuer à persuader l'autre que sa vision est la meilleur, ils finiraient tous deux mécontents. Alors la comtesse tenta une autre approche "Est-ce que je peux t'aider de quelque façon?"

Bien que la porte de la salle à manger fut déjà tenu ouverte par le valet, le jeune homme s'arrêta cette fois-ci. Avec un très léger sourire pouvant être aperçus aux coins de ses lèvres, il lui répondit  "Non, ne t'inquiète pas. Cela ne prendra pas longtemps." Puis s'en alla.

Avec un regard peiné, Elizabeth redirigea ses yeux vers son assiette. La viande avait été grignotée sur les bords et les légumes qui l'accompagnaient écrasés et émiettés autour de la porcelaine. Le tout était à présent tiède et peu ragoutant. 

Le nez de la jeune femme se retroussa de dégout. Elle reposa ses couvert, et après un soupir attrapa un morceau de pain à picorer. Elle le mangea sans trop d'entrain, essayant toujours de procéder sa rencontre avec James tantôt dans la journée. 

Pourquoi était-il là? Madame Eloie a dit qu'il l'aidait avec la santé des enfants. Seulement personne ne travail sans contrepartie. Surtout un homme dans la situation de Connor. Un immigré sans titre ni argent; il a beau avoir le soutien du Baron Rosemary, si il continue à jouer les bon samaritain il se retrouveras bientôt seul.

La comtesse continua de retourner la question dans son esprit. Cherchant désespérément à comprendre le mouvement de son ami. Sa conclusion la fit se sentir arrogante, mais elle ne pouvait s'empêcher de pensé que cela était lié à elle. Peut-être éssayait-il de se faire pardonner? Mais comment aurait-il su sa relation avec l'orphelina? Elizabeth trouva sa dernière interrogation bien stupide. James avait tout simplement à demander au jumelle Rosemary pour savoir ses passes temps.