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J'étais seule dans une chambre. On ne m'avait pas attaché non j'étais simplement assise sur le lit. Je regardais autour de moi me demandant ce que je fous ici. Serait-ce une affaire de Hambaly? J'espère pas. J'étais dans cette position quand il rentra celui qui m'a kidnappé. Mais comment j'étais choqué de voir qu'il se pointait devant moi avec une érection. J'étais tellement gênée, je ne savais où me mettre.

Lui: Ne sois pas gêné ma chérie. C'est toi qui a provoqué tout ceci.

Moi:  moi? Comment?

Lui: parce-que tu veux me dire que tu ne sais pas à quel point tu es bandante. J'ai très envie de toi tu sais.

Moi: non... Non...

*Dans la peau de Hambaly*
La première chose que j'ai faite c'est de me rendre chez elle. J'ai trouvé la police, sa mère qui pleurait et son père qui essayait de la consoler.

Moi: Qu'est-ce qui se passe?

Mohamed : Tu vois ce que tu as fait? Je suis sur que c'est toi et tes affaires louches qui avez entraîné ma fille....

Il cherchait à m'envoyer son poing dans la face mais j'ai su le stopper.

Moi: Ce n'est pas moi. Quand Rahim Labo allait venir chercher votre fille il a dit allons voir Agarya à ce qui paraît il a une jolie fille. Et il était dans l'affaire de Fati. Maintenant si votre fille est au mains de cette homme c'est de votre faute et je voudrai savoir ce que vous avez avoir avec ce qui s'est passé pour ma mère.

Mohamed : Rahim??

Azahra: C'est quoi cette histoire Mohamed.

Lui: Je... Je.

Azahra: Y'a pas de je qui tienne. Retrouve moi ma fille. *en se levant pour quitter*

Mohamed : Tu as un plan.

Moi: Toujours.

Je sors mon téléphone et essais de retracer Arfaah. Le collier qu'elle porte à son cou j'ai fait en sorte d'y placer un traceur.

Moi : Ils sont vers Route Oualam.

Une chance qu'ils habitent à la francophonie. Il a pris un pistolet dans son bureau et on est sorti presque en courant. Je ne vous dit comment je courais avec la voiture. Heureusement que cette partie de Niamey il n'y avait pas d'embouteillage. J'accelerais sans me souciait de quoi que ce soit. Les quelques motards qu'ils y'avaient sur le goudron me laissait le chemin. Heureusement pour eux parce-que même si j'avais cogné quelqu'un je ne me serai pas arrêté.

Mohamed : C'est comme ça que tu conduis quand ma fille est avec toi.

Moi: Parfois *en accélérant encore plus*

En moins de 5mn on était sur les lieux. Mohamed est descendu avec son arme alors que moi j'avais mon marteaux. Celui que je réservais pour cet homme que je m'apprête à tuer.

*Dans la peau de Arfaah*
Il était couché sur moi, le sexe à quelque centimètres du mien. Il allait s'enfoncer en moi quand la porte s'est soudainement ouverte. Il s'est levé automatiquement le sexe en l'air et moi j'en ai profiter pour protéger mon corps dénudé.

Rahim: QUOI?

Hambaly : Tu ne sais rien faire d'autre que ça apparemment.

Mon papa a couru vers moi et je m'étais plongé dans ses bras en laissant couler mes larmes.

Papa: c'est bon ma chérie. C'est fini..

Soudain je vis le complice de Rahim qui avançait derrière Hambaly pointant son arme sur lui. J'allais le prévenir quand il s'est lui même balancé derrière en donnant un coup de marteaux à la tête de l'autre. Automatiquement il s'est retrouver à terre et une marre de sang venait de se former. J'étais horrifié devant autant de barbarie.

Le Lion Et La PerleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant