Le Lion Et La Perle

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Et me voilà à l'hôpital avec ma belle famille. Tariq est dans un sal état et on nous permet même pas de le voir.

Ma belle sœur : regarde comment tu portes poisse à mon frère. Le jour même de votre mariage il se retrouve à l'hôpital entre la vie et la mort.

Moi: C'est fou comment tu peux être ignorante. Tout ce qui arrive c'est la volonté de Dieu et ce n'est pas moi qui ai provoqué cet accident. Même si on s'était pas marié il serait sur ce lit d'hôpital.

Elle :....

Moi: thuurrsss

Alors que j'étais assise dans la salle d'attente je vois que mon tel sonne. C'est Hambaly. Je sort pour lui répondre.

Moi: Allô

Hambaly : qu'est-ce que tu fais à l'hôpital.

Moi: Tariq a fait un accident hier nuit. Et qui t'a dit que je suis à l'hôpital ?

Hambaly : Je sais tout de toi. Quand tu auras fini viens voir ma mère. Elle veut te voir.

Moi: D'accord.

Hambaly : Et demande lui ta liberté

Je retourne auprès de ma belle famille et le médecin m'appelle de côté.

Docteur : Madame on va vous demander de faire le teste du Sida

Moi: Pourquoi ?

Docteur : Je crains que votre mari soit atteint du VIH

Moi: C'est pas possible *en portant ma main à ma bouche*

Docteur : Oui.

Moi: je vais le faire mais c'était hier notre nuit de noce et il ne m'avait pas encore touché quand il est sorti.

*Dans la peau de Hambaly*
Ma mère : Débrouilles toi pour l'épouser avant la fin de l'année sinon ils vont te faire un coup d'État

Moi: D'accord

Ma mère : Je ne blague pas Hambaly

Moi: Maman j'en ai marre de diriger ce pays. C'est pas pour moi ça. Je suis jeune je veux retourner dans les aéroport et travailler avec les avions.

Ma mère : Tu le feras mon fils. Mais d'abord fini ton mandat. Tu dois aider ce pays. Et il ne vont pas tarder à te descendre.

Moi: Pourquoi?

Ma mère : Parce-que le pays avance grâce à toi.

Moi: D'accord maman. Je vais l'épouser.

Alors ce soir j'étais dans mon bureau tranquillement entrain d'écouter ce que fais Arfaah. Vous savez ce collier que je lui ai offert j'y ai placé non seulement un traceur pour la retrouver en cas de problèmes mais aussi un micro pour écouter tout ce qui se passe autour d'elle. Et ce soir quand cet abruti a essayé d'abuser d'elle j'ai vu rouge. Si je pouvais elle téléporter je l'aurai fait et j'aurai fait bouffer la table à cet inconscient.

Moi: Allô.

Tariq : *vous savez déjà ce qu'il a dit*

Moi: Je veux te voir.

Tariq: Non je ne viens pas.

Moi : Si tu ne viens pas je te ferai perdre ton poste à la banque et crois moi même un rat vaudra mieux que toi dans ce pays.

Lui: NON TU NE PEUX PAS FAIRE ÇA ?

Moi: Tu cris sur qui toi.

Lui:.....

Moi: Je préfère. Salle mauviette je t'attends. *en raccrochant*

Des que j'ai raccrocher je me suis rendu au garage où je me suis caché dans un coin attendant que l'autre con gare sa voiture. Dès qu'il a garé je me suis empressé de prendre mes outils pour me placer sous sa voiture. Et comment dire j'ai franchement gâter ses freins exprès. Il n'aura même pas à la revoir. Parce-que Arfaah c'est ma femme. Je finis ce que j'avais à faire et le rejoint dans mon bureau.

Moi: j'espère que tu n'as rien volé parce que tu ne sais faire que ça.

Tariq: Qui est ce que j'ai volé ?

Moi: *sourire* Ecobank

Tariq : Tu...

Moi: Chut... Chut ferme là. Tu ne parles pas quand je parles. Je tenais juste à t'informer que tu vas devoir liberer ma femme.

Tariq: Sinon quoi?

Moi: Je sortirai les dossiers prouvant que tu es un escroc et tu as le choix entre la prison de Niamey et la prison de Kollo.

Tariq:....

Moi: alors?

Tariq : Je vais rentrer chez moi et je vais démonter ta Arfaah jusqu'au matin. Envoi moi en prison si tu veux et jamais je ne vais la libérer, elle restera marié à moi jusqu'à ce que je décide et toi mon cher jamais tu n'auras Arfaah. Jamais.

Moi : Ayiii tu es méchant hein

Tariq: Tu n'as rien vu.

Moi: Paix à ton âme Tariq. Je viendrai boir la boule à ton décès et dit à ta mère de nous faire weyna biri (galette) j'en raffole.

Il me regarde effrayé. Il sait de quoi je suis capable mais comme il est con il ne renonce pas. Je me lève et lui demande de quitter mon bureau.
2H de temps après qu'il soit parti je prends ma moto et me rends à l'hôpital national. Je portes un tenu d'infirmier et vais à la recherche d'un malade portant le VIH. Une fois trouvé je prélève son sang.

Moi: Ce n'est rien monsieur. C'est pour des tests.

Une fois ceci fait je vais chercher où se trouve Tariq. Je le trouve aux urgences entrain d'être transporter dans une chambre. Je les suis et une fois seul je rentre dans sa chambre et le trouve endormi. Sûrement les effets des sédatifs. Je lui injecte le sang du seropositif gentiment et sors de sa chambre en bon garçon que je suis.
Étant le fruit du viol de ma mère ne soyez pas choqué que je sois aussi mauvais. Ça ne me fait ni chaud ni froid d'enlever la vie. Même si je suis conscient que c'est un péché grave et je redoute encore le jour où elle prendra vraiment conscience de qui je suis.
Je sors de l'hôpital et prends la route pour me rendre chez moi.
Le matin je prenais tranquillement mon petit déjeuner avec ma femme et ma mère avec un écouteur dans l'oreille gauche toujours à écouter ce que fait Arfaah. Et ça m'a mis dans une colère noir la façon dont cette conne lui a parlé mais je suis bien regaler de la manière dont elle a répliqué. Je me met de côté et l'appelle pour lui demander de venir parce-que le seul fait qu'elle soit au chevet de cet imbécile m'énerve.