Chapitre 1

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Chapitre 1

Je suis assise sur le canapé légèrement fébrile à l'idée qu'il rentre. Je ne l'ai pas vu de la journée et ses changements d'humeur soudain me font peur je dois bien l'avouer. Dés qu'il passera la porte je connaîtrais le ton du reste de ma journée. Encore plongée dans ma série j'entends la porte d'entrée s'enclencher. Les battements de mon cœur s'intensifient. Je tourne ma tête en espérant voir ce sourire sur son visage, celui qui le rend encore plus beau qu'en temps habituel.
-Salut princesse, me dit il avec ce magnifique sourire.
Un clin d'œil accompagne sa phrase, dois-je comprendre la référence à son titre « princesse »?
-Tu étais où tout ce temps? Ma voix est douce, je suis heureuse de le voir.
-J'étais en studio, me lance t'il.
Je l'aime. J'aime absolument chaque millimètre de sa personne. J'aime sa voix grave, j'aime ses cheveux assez long pour que je puisse passer ma main dedans, j'aime son torse avec ses abdos légèrement dessinés et j'aime par dessus tout son regard posé sur moi comme il ne l'a jamais posé sur aucune autre femme.
-Tu as fais quoi pendant mon absence?
-Je t'ai attendue.
Un petit sourire suis ma réponse et juste après ses lèvres viennent le remplacer.
Son souffle sur mon visage me fais un bien fou.
-Tu sais que je t'aime Carla?
-Et tu sais que je t'aimes aussi Ken?
Un baisé intensifiée me sert de réponse et ce n'est pas pour me déplaire.
Ken se dégage lentement et lance une série sur netflix, comme à son habitude il pose sa tête sur mes genoux. C'est le meilleur moment de chaque journée.
Ma main viens se perdre dans ses cheveux. Je ne me lasserais jamais de les faire glisser dans sa tignasse. Je sais que des centaines de filles rêvent d'être à ma place, mais c'est moi.
Après trois quart d'heure de papouilles je sent sa tête s'effondrer doucement en faisant pression sur les jambes. Le Fennec s'est endormi sur mes genoux. Je sourie comme une fillette en le regardant dormir, ses beaux yeux noisettes fermés, il a l'air si paisible quand il dort, s'en ai presque inquiétant.
Je n'ose plus bouger, ce moment est si précieux et je ne veux pas prendre le risque de tout gâcher.
Je vais donc le regarder jusqu'à mon propre épuisement, une main dans ses cheveux et une autre sur son torse.

GalatéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant