Quelques jours s'étaient écoulés depuis l'épisode neigeux qui a valu une belle chute à Alfgarde, non sans conséquences mais surtout à cause d'une personne.
Quelques jours auparavant...
La jeune fille était partit nourrir les animaux au petit matin, comme d'habitude elle s'était bien couverte et avait décidé de sortir pour s'occuper des animaux. De toute manière il était cinq heure du matin et elle n'arrivait plus à dormir donc autant servir a quelque chose. Erling lui, dormait encore, il s'était entrainé tout la journée la veille et il avait besoin de récupérer.
Le foin mis à disposition des chevaux et aux vaches, les graines jetées aux poules, et les cochons rassasiés, il ne lui restait plus qu'à ranger son matériel. Une fois tout cela fait elle se prit un petit moment pour passer du temps avec les chevaux, depuis quelques jours Alfgarde s'est prise d'admiration pour ces animaux somptueux qu'elle vient voir pratiquement chaque jours.
« Hé alors mon grand ! Tu es bien énervé ce matin! » dit-elle en caressant la tête de Mirage, un cheval blanc.
Celui-ci émit un bruit sourd et frappa contre la porte. La jeune femme n'avait pas peur de lui, au contraire elle avait tissé un lien particulier avec ce cheval qu'elle aimait particulièrement. Elle décidait sur un coup de tête de le promener dans la cour centrale afin de rester dans un endroit qu'elle connaît.
« Aller vient on va faire un petit tour! »
Mirage était vraiment énervé et même cette petite promenade ne parvient pas à le calmer, Alfgarde du s'arrêter mais elle fût dans la seconde même poussée au sol. Sa tête cogna contre le muret du puits et pendant un instant elle fût sonnée. Sur le coup elle ce demandait ce qu'il ce passer.
« Tu as réussi! Tu n'est vraiment qu'une peste. Tu as réussi à conquérir le cœur de mon roi, mon Erling, mon amour. Tu me l'as volé espèce de garce. » S'exclame une femme furieuse.
« Astrid.... que me veux-tu? Pourquoi? » demanda Alfgarde sous le choc.
« Je vais te tuer. Je vais te saigner et te faire du mal comme tu as pu m'en faire. » affirme t'elle rageusement.
« Mais je n'est rien fait! »
Astrid fit taire Alfgarde en lui écrasant la cheville avec son pied. La jeune femme poussa un cri strident, la douleur lui fait tourner la tête, elle essaya de se relever mais peine perdu, la douleur était bien trop présente. Astrid sortit de sa blouse un couteau et le fit glisser sur la joue Alfgarde qui était complètement paralysée par la peur.
« Arrête.... S'il te plaît... » La pauvre femme pleurait et était terrorisée par ce qu'il allait ce passer.
Le cheval ayant assisté à la scène prit La Défense d'Alfgarde et ce mis devant elle comme pour faire un bouclier puis il ce mît sur les deux pattes arrières et fit basculer Astrid en arrière, la jeune femme blessée en profita pour appeler le Jarl.
« Erling!! A l'aide!! » elle hurla si fort qu'elle est sûre d'avoir réveillé tout le village.
Point de vue d'Erling.
Le sang du Jarl ne fit qu'un tour quand il entendit le cri strident de sa bien aimée. Il enfila précipitamment son pantalon et ses chaussures et sortit torse nu dehors, sous la neige et dans le froid glacial, mais peu importe, il ne ressentait rien. Sauf la peur pour son amour.
Il vit au départ le cheval devant Alfgarde mais il compris très vite que ce n'était pas lui le problème mais bien Astrid qui essayait de faire du mal à sa femme. Erling entra aussitôt dans une colère noire, le visage de sa bien aimée est maculé de sang et à cette vue il sortit de ses gongs.
« Erling, au secours! » hurla t'elle de peur.
Il accouru vers elle et l'a prit dans ses bras tandis que son ami proche égarait Astrid de la jeune femme.
« Mon amour, oh seigneur, où as-tu mal? » demandé t'il inquiet. « Ton visage.... Allons te soigner. »
Erling portait son âme sœur tendrement dans ses bras et alla l'a déposer sur leur paillasse.
« J'ai mal... » Ce plaignait-elle.
« Dit moi où mon amour, où as tu mal? Demandait-il fermement.
Erling était en colère. Il avait peur pour Alfgarde, il était rongé par l'inquiétude et la souffrance de voir sa femme pleurer de douleur.
« Elle m'a écrasé la cheville! »
Le jarl retirait les bottes de la jeune femme et inspecta sa cheville enflée, celle-ci commençait à prendre une couleur bleutée signe qu'il y avait bien quelque chose. Il manipula son pied avec délicatesse mais Alfgarde ce crispa automatiquement. C'est pour cette raison qu'il ne chercha pas à comprendre plus longtemps et fit venir la soigneuse. Celle-ci préparait une pommade à base de plante tandis qu'Erling soignait la joue de sa précieuse.
« Oh mon amour je suis désolé! Elle va le payer, je te le promet. »
A l'instant même, Alfgarde savait que ce qu'il allait faire subir à Astrid allait être absolument affreux, voir pire.
Retour au présent.
La jeune femme ce redressait de sa chaise et pris ses béquilles de fortune qui l'aidaient à se déplacer sans l'aide de personne, bien que le Jarl n'était jamais très loin d'elle. Il avait pris soin d'elle jour et nuit, l'avait réconfortée et l'aidait à guérir, chaque jour il lui faisait même ses pansements. Erling était impliqué et minutieux, il voulait qu'elle ne ressente aucunes douleurs, et il voulait juste qu'elle se sente mieux.
Quant à Astrid, cette folle furieuse avait eu son lot de punitions, d'ailleurs elle peinait à s'en remettre, Alfgarde avait juste supplié Erling de ne pas l'a tuer, pourquoi? Parce que Alfgarde déteste la mort, elle est assez entière pour ne pas souhaiter la mort de quelqu'un même si cette personne lui a fait du mal.
Au soir, la jeune femme enfila sa robe de chambre et alla se coucher sur la paillasse et remonter la couverture sur son corps frêle, le froid était toujours présent bien que la neige ai fondue depuis un bon moment. Erling ne tardait pas à la rejoindre, il avait eu une réunion ce soir avec ses guerriers qui s'était terminée tard, et malgré la bonne volonté de la jeune femme pour l'attendre, elle n'a pas su se retenir d'aller ce coucher.
« Vient près de moi mon amour je vais te réchauffer, tu es gelée. » dit-il inquiet. « Dort bien, je suis prêt de toi si jamais ça ne va pas. » Il embrassa le haut de son crâne et elle finit par s'endormir dans les bras de l'homme qu'elle commence réellement à aimer.
⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️⚔️

VOUS LISEZ
VIKING.
عاطفيةLorsque le village d'Alfgarde fût attaqué par les viking, celle-ci en profita pour essayer de s'enfuir des griffes de ses maîtres. Esclave et bonne de nobles, elle était confrontée au sale boulot, sauf qu'en essayant de s'enfuir, Alfgarde fut captu...