VIKING.

8.

⚔️⚠️ ATTENTION! Chapitre contenant des scènes sexuelles, toutes personnes ne se sentant pas prêtes à lire ce passage sont priées de le passer, sinon Bonne lecture ☺️ ⚠️⚔️

Le réveil fût brutal pour Alfgarde qui venait de sortir d'un profond cauchemar, mais elle fût immédiatement rassurée quand elle vit Erling près d'elle.

Cet homme avait prit beaucoup de place dans son cœur et elle ressentait désormais de l'attirance mais aussi des sentiments pour lui, bien qu'elle ai un peu de mal à ce libérer car elle n'a jamais connu cela mais elle fait des efforts et le Jarl en fait également. Cela fait presque deux mois qu'Alfgarde et Erling forme un couple et tout les jours ils apprennent à ce connaitre et à vivre ensemble, ce n'est pas toujours facile car lui est un homme têtu, sûr de lui, exigeant et elle, elle aime par dessus tout aider les autres et participer aux tâches, c'est d'ailleurs pour cela qu'il est la plupart du temps fâché contre elle. Pour lui, la jeune femme ne devrait pas effectuer des travaux de bonne, mais elle ne peu s'en empêcher, elle ne sait faire que ça, et heureusement qu'elle s'occupe car sinon elle périrait morte d'ennuis.

L'esprit en vrac, Alfgarde ce leva. Il est actuellement six heures du matin et ce cauchemar traumatisant l'empêche de refermer l'œil. Elle se dirigeait d'un pas lent vers la salle d'eau et fit couler l'eau chaude dans la baignoire après l'avoir fait chauffer dans la cheminée. Elle avait besoin de se détendre et de chaleur. Elle entra dans l'eau brûlante qui ne l'a dérangeait guère et émit un soupire d'extase avant de commencer à ce savonner. Sa cheville s'était totalement remise et la cicatrice sur sa joue est quasiment invisible, heureusement pour elle.

« Que fais-tu debout à cette heure si matinale ma chère femme. »

Alfgarde sursauta dans son bain et posa la main sur son cœur avant de cacher sa poitrine et de ramener ses jambes contre son corps.

« Tu m'as fais peur! » réplique t-elle vivement. « J'ai fais un cauchemar, j'avais besoin de me détendre. » avoue t-elle un peu honteuse. « Je t'ai réveillé ? »

« Ce n'est pas grave. Et cesse de te cacher! » maugréa t-il.

Erling s'approchait lentement d'elle tel un prédateur et s'installa dans son dos afin de le lui savonner. Il s'exécutait ensuite à lui faire un massage ce qu'il l'a détendit immédiatement.

« Retire tes mais de ta poitrine. Tout de suite. »

Le Jarl n'aimait pas quand Alfgarde ce cachait, sa femme est magnifique mais elle a tellement peu confiance en elle qu'elle ce sent obligée de ce couvrir le corps constamment, ce qui ne lui plait pas du tout. Jusqu'à présent Erling a était patient mais cela commence à devenir long, il ne veux pas brusquer sa bien aimée mais en tant qu'homme, il a de plus en plus de mal à tenir ses pulsions et l'envie de l'a prendre sauvagement.

Alfgarde s'exécutait donc honteusement, pour elle, elle n'avait pas une belle poitrine, un peu grosse pour son âge, lui causant même des maux de dos, en fait, elle ne se trouvait pas à son avantage tout court, de petites poignées d'amour ornaient ses hanches, un petit ventre visible et des cuisses un peu fournies. Elle savait qu'elle avait grossit depuis son arrivée parmi eux, elle mange plus régulièrement et sa faim, ceci explique cela, pour son plus grand malheur.

Erling n'hésita pas plus longtemps, il resta derrière elle en dehors de la baignoire et posa ses grandes mains rugueuses sur ses seins ferment, sa peau laiteuse s'harmonisait bien avec la peau hâlée du Jarl. Alfgarde devint rouge écarlate, elle n'avait jamais était touchée par un homme, ni par personne d'ailleurs et ce fût un sensation quelque peu agréable. Au début elle fût vraiment mal à l'aise puis quand Erling lui ordonna de ce détendre cela ce passa mieux.

Elle finit par apprécier ses caresses commises par ses mains rugueuses, son souffle était haletant, elle prenait du plaisir, réellement.

« Tu aimes mon amour? » demanda t-il d'une voix chaude.

Alfgarde ne fit que secouer la tête, impossible de prononcer un mot. Soudain les mains du Jarl quittaient sa poitrine, elle fût un peu surprise pendant un instant puis elle le vit ce déshabiller et entrer avec elle dans la baignoire assez grande pour contenir au moins quatre personnes.

Il s'avançait doucement vers elle, puis empoigna son visage et déposa sa bouche contre la sienne, leur premier vrai baiser se produisait enfin. Erling ne pouvait plus tenir, il avait cette créature absolument merveilleuse tout les jours devant lui et pourtant il se retenait de l'embrasser ou de l'a toucher afin qu'elle n'ait pas peur, cependant là il ne tenait plus en place. Sa virilité était prête, son corps entier était prêt, il attendait juste qu'Algarde soit prête à l'accueillir.

« Te sens-tu prête mon amour? » demande t-il.

« Je suis nerveuse. » avoua t-elle prudemment.

« Tout va bien ce passer je te le promet. »

Erling décidait avant tout de la détendre, il passa ses mains sur tout son corps jusqu'à arriver doucement à son entre-jambe. Un second soupir d'extase sortit de la bouche de sa bien aimée, il appréciait ce moment, il aimait la voir pantelante, rouge de désir, offerte à lui, et juste pour l'a remercier il prit son temps. C'est une première pour elle, hors de question de l'a brusquer.

Sa large main chatouillait son intimité, alfgarde se sentait bien, elle se sentait prête, elle voulait vivre ce moment, elle le voulait plus que tout.

« Je suis prête. » Affirma t-elle

Erling s'abaissait vers elle, il l'embrassait tendrement tendit qu'il se faufilait entre ses cuisses pour enfin pénétrer en elle avec une extrême douceur. Quelque peu crispée au début, Alfgarde lui demandait d'attendre afin qu'elle puisse s'habituer puis il reprit ses mouvements et entra cette fois-ci complètement en elle, la jeune femme émit un cri de douleur, surprise par cette entrée fracassante.

« Shhhh, détend toi. » Erling l'embrassa tendrement tout en lui massant les épaules.

Elle souffla un bon coup puis lui autorisa de nouveau à bouger, une vague de plaisir pris place, la jeune femme avait les joues rouge de désir, elle aimait ça, elle aimait vraiment ça. Des sons incontrôlables sortaient de sa gorge, et Erling devenait fou de cela, il accélérait progressivement la cadence jusqu'à faire grimper Alfgarde au septième ciel, ce qui ne tarda pas non plus à arriver pour lui. Il restait en elle, puis s'effondra sur son corps, la seule chose qui le maintenait était ses bras qui étaient posés sur le rebord de la baignoire derrière sa femme.

« Tu es merveilleuse mon amour. » dit-il haletant.

« Merci d'avoir était doux. Merci pour tout. »

Alfgarde passa ses petits bras autour de son cou tandis qu'il prenait soin de ce retirer doucement d'elle. Ils se lavèrent tout deux à nouveau puis ils se préparèrent à affronter une nouvelle journée, plus unis que jamais.

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