Roman érotique historique. (les 40 premiers chapitres)
Yunnan, fin du IXe siècle.
Liù est née au service de Taïzu, dernier roi du Nanzhao.
Son statut d'esclave l'empêchera-t-il de séduire le prince héritier ?
Je viens de recevoir ma couverture de chez l'éditeur, toute chaude toute belle, j'espère qu'elle vous plaira...
Pour fêter ça, voici une scène qui ne figure pas dans le roman et qui met en scène un personnage crucial : la terrible princesse Fang Yin.
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Cette femme à la beauté surnaturelle séduit les hommes, puis les tue. Liù se retrouve à sa merci après quelques épisodes que je ne vous dévoile pas ici... mais si vous lisez attentivement, vous trouverez dans ce texte une information importante à propos de Calaf.
Bonne lecture !
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Dès le lendemain de son entrée comme esclave sexuelle au service de Fang Yin, Liù reçut sa première initiation. La princesse résidait dans les anciens quartiers de Ping, le fils héritier, à l'Est de la cour intérieure.
Liù n'avait aucune confiance en cette femme, mais la princesse Fang Yin lui parlait calmement, son beau visage moins déformé par la colère que la veille. Elle n'avait plus besoin de montrer sa supériorité, Liù lui appartenait corps et âme, elle avait droit de vie et de mort sur son esclave.
Fang Yin commença par la flatter, lui disant que son mutisme, sa fierté sous le fouet de leur première rencontre, avait forcé son admiration. Aujourd'hui, elle serait moins sévère, mais Liù devrait tout de même supporter la punition, toutes les esclaves la subissaient.
— Venez donc, servante, et enlevez votre hanfu, de manière à ne pas le chiffonner.
Voyant que Liù tremblait encore après avoir quitté son vêtement, elle la prit dans ses bras et l'embrassa brutalement, puis tenta de la rassurer : elle la corrigerait moins cette fois.
— Penchez-vous, laissez-moi regarder s'il vous reste des marques de cravache.
Liù avait une petite croupe gracile qui, selon les goûts de la princesse, promettait bien des délices. Fang Yin se posta derrière elle et l'engloba à pleines mains, puis ses pouces s'insinuèrent pour écarter les fesses tendues. Elle louangea leur grâce et leur fermeté, déclarant qu'elles étaient superbes à voir, on aurait dit le cul d'une adolescente. Une adolescente zébrée de rouge, malgré tout.