CHP.11

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-- je veux que vous arrêtez de travailler rien que pour cette journée.

-- qu'es ce que je pourrai faire d'autre ?

-- on pourrai faire du vélo qu'es ce que vous en pensez?

-- je suis en smoking Julia en plus je ne sais pas faire du vélo.

Son prénom avait traverser ses lèvres avec une sensualité étrange.

-- euh...

Elle s'asseyait en face de lui pour lui poser quelques questions sur sa vie. Comme elle aimait bien le faire, poser des questions déplacer.

-- qu'es ce que vous aimez ?

Il réfléchi quelques secondes avant de répondre

-- mon travail.

-- seulement ? Les hommes ont beaucoup plus de passions que les femmes.

-- ah bon?

-- Votre nom ne colle pas .

Il était perdu, de quoi es ce qu'elle voulais parler .

-- Oliver Anderson. Américain , pourquoi porter un nom Latino?

-- À ma naissance, mes parents ont décider que je porterai un nom qui n'eveillerai aucun soupçons. Mon père avait été plusieurs fois ete hospitalier suite à des tentative d'assassinat alors à ma naissance mes parents m'ont donner le nom du meilleur ami de mon grand père. Carlos Anderson.

-- oh c'est très palpitant comme histoire. Ton vrai nom alors ?

-- OLIVER CONRAD.

il lui avait confier sa véritable identité sans l'ombre d'une méfiance.

-- vous non plus n'êtes pas Américaine.

-- non... Je suis Latino. Espagnole d'origine de père et de mère.

-- je le sais, je trouve que vous vous êtes bien battu, c'est pas facile de s'en sortir lorsqu'on est un clandestin au États-Unis.

-- hummm... J'aurai aimer que mes parents soient la.

-- ils sont mort?

-- non, ils sont retourner au pays. Avec l'argent de leur labeur ici , ils ont acheter un grand terrain pour cultivé. Moi je suis rester ici pour étudier .

Ils avaient bien bavarder , elle lui avait dit qu'elle était fille unique. Oliver était presque fasciné par elle. Sa voix dégageait une douceur particulière et il avait vite prit goût à l'entendre parler. Elle avait raconter ses mésaventures , il avait rit à ses blagues .

Son téléphone se mit à sonner en les interrompant. Il n'eut d'autre choix que de répondre. C'était sa secrétaire et elle n'appelait que pour des cas extrême.

-- allô , je vois écoute.

-- monsieur votre femme desire vous voir immédiatement.

Il se raidit dans sa chaise et priait pour que Julia ne l'ai pas entendu, il s'excusait de la tête avant de s'éloigner un peu.

-- dîtes lui que je ne pas joignable.

-- elle insiste monsieur.

-- très bien. Passez la moi.

-- Oliver, où es ce que tu es passé j'ai essayer de te joindre.

-- liste noire, tu ne peux plus me joindre.

-- j'aimerai qu'on discute , c'est faisable ?

-- non.

-- s'il te plait Oliver.

-- Adriana quand tu vas tu comprendre que je ne veux plus rien...

-- je j'attendrai ce soir à la maison. Chez nous. Coupa t-elle avant qu'il ne termine sa phrase.

Adriana ne lui laissait pas la tache facile, alors qu'il voulait recommencer une nouvelle vie, elle réapparaissait toujours. Il soufflait un long soupir avant de retourner vers Julia.

-- il faut que je vous laisse , je sois rentrer chez moi.

-- un soucis? Se précipita t-elle de demander.

-- non... Je... J'ai deux petites affaires en suspend . mentit t-il.

Elle était déçu qu'il s'en aille alors qu'elle c'était imaginer qu'il resterait près d'elle. Julia se levait en feignant d'être d'accord.

-- très bien. Rentrez bien. Formula t-elle comme chaque fois qu'il l'a quittait.

Elle se dirigeait vers la porte pour lui ouvrir. Oliver pouvait jurer avoir vu de la déception dans son regard mais il ne pouvait se permettre de rester ici, Adriana hantait encore ses pensées et la seule façon de la sortir était de l'affronter. Il sorti de l'appartement avec une pointe de tristesse pour cette jeune femme.

Une fois seule , Julia retournait à son balcon. Ses émotions reprenait le dessus , ne sachant pas quoi faire pour se reprendre en main elle se mise à pleurer. Elle ne savait même pas pourquoi cette envie lui traversait l'esprit.

∆∆

Seul dans son canapé , il attendait que le soleil se couche. Son cuisinier venait lui proposer à manger.

-- non . prenez votre soirée Erick. Ordonna Oliver.

-- vous allez bien monsieur ?

-- parfaitement...

Le regard plongé dans le vide, Oliver se dirigeait vers sa chambre. Il n'avait pas prit de douche depuis la veille , il savait que ce qu'il lui fallait pour calmer son anxiété était une douche froide.
Alors que l'eau froide coulait sur son corps , Oliver se rappelait des événements d'hier. Le visage de Julia lui venait en tête comme un flash, ses iris sombre et ce petit sourire malicieux, ses longs cheveux de jais et ses déhanchement digne d'une reine. Son côté sensible et à la fois rebelle. Il coupait brutalement l'eau et sorti de la salle de bain.

Nue devant la grande glace , il regardait son reflet. Pourquoi continuer à poursuivre ses souvenirs ? Adriana était parti avec un autre. Pourquoi ne pas essayer d'oublier ? C'était stupide de sa part. Peut être qu'elle ne l'avait jamais aimer, si non pourquoi refuser d'avoir des enfants ? Oliver était confus.

Il avait toujours eut le contrôle sur tout, sa vie , ses affaires , ses entreprises , ses émotions mais là il ne contrôlait plus rien. Tout semblait flou. Il enfilait des vêtements propres puis descendait prendre sa voiture. Il fallait mieux quitter cette maison au plus vite.

Il garait la voiture devant sa boite de nuit préféré. À cette heure elle devait vide, c'était parfait pour l'acte qu'il allait accomplir. Se soûler à mort. D'un pas rapide il entrait et se dirigeait au bar.

-- Monsieur Anderson! S'exclamait le barman.

-- quelque chose de fort.

-- tout de suite.

Il lui servait un whisky bien fort. À mesure que le temps passait Oliver buvait , deux verre , trois, quatre et bientôt la moitié de la bouteille. Les images commençaient à s'embrouiller. Il pouvait néanmoins tenir sur ses deux jambes.

Son téléphone sonnait mainte mais il ne décrochait pas. Il réglait la facture et sortit de la boite. Le barman avait insister pour qu'il reste un peu mais il se sentait capable de prendre le volant.

Feignant d'être dans son état normal, Oliver embarquait dans sa voiture bouteille d'alcool à la main. Il garait une demie heure plus tard sous l'immeuble de Julia. La lumière de son appartement était éteinte mais n'empêche qu'il prenait quand même les escaliers.

Il frappait quelques minutes avant que cette dernière ne lui ouvre. Elle portait un pyjama qui l'a rendait plus sexy avec ses cheveux un peu en pagaille.

-- Monsieur ? Qu'es ce vous faites là ?

-- salut Julia. Répond t-il entre deux hoquet.

Il entrait sans son invitation. L'odeur de l'alcool lui frappait aux narines .elle refermait la porte et venait le trouver affaler dans le canapé, il n'avait pas lâcher sa bouteille

-- mais votre état... Qu'es ce qui vous prend ? Hurlait t-elle.

DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant