DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

CHP 23

Oliver se décidait à la laisser faire lorsque toute seule, Julia se mit à lui caresser son pénis condamné dans son pantalon. Elle le renverser et prenait les reines du jeu. Désormais sous elle , Julia prenait son temps sur chaque geste, il lui enlevait la ceinture avec nonchalance puis se mit à faire des petits baiser sur la bosse déjà former.

Il lâchait par moments des gémissements qui trahissait son impatience . elle remontait pour capturer ses lèvres, telle une déesse , Julia maîtrisait tout le corps et même les sens de son homme. Sa température montait de plus en plus, ne pouvant plus supporter le temps qu'elle mettait, il l'a suppliait de mettre fin à ses souffrances.

-- ne soit pas impatient vilain garçon. Répond t-elle d'une voix sensuelle.

Elle s'aventurait plus bas avec des caresses qui ne pouvait que le rendre plus fou. Tout doucement, elle enlevait le bouton du pantalon puis le faisait glisser jusqu'en bas. Elle s'arrêtait au pieds du lit en lui ordonnant de rester bien coucher.

Elle faisait glisser sa robe lentement jusqu'à dévoiler totalement si corps avec ses formes qui avaient repris tout leur volumes. Puis elle s'attaquait aux sous vêtements.

-- tu veux me rendre fou c'est ça ?

-- tu l'ES déjà mon choux.

Elle degrafait son soutient sans dévoiler ses seins

-- Pourquoi tant de cruauté ? S'enquit t-il d'une voix rauque.

-- par ce que tu n'as pas été sage.

Elle enlevait son soutien dévoilant ainsi sa magnifique paire de seins. Oliver se croyais dans un rêve, devant cette merveille il se mit à baver en maudissant tout les hommes qui un jour avaient poser leur yeux sur sa Julia.

Elle s'approchait de lui en quatre pattes, lui désormais neutraliser par cette femme n'osait bouger même les cils, il fermait les yeux pour mieux sentir sa paume douce toucher son joyaux. Elle lui caressait le périnée en jouant avec le liquide visqueux.

-- tu aimes ça ?

Il ne pouvait répondre au risque de se mettre à pleurer. Lentement , elle le prit entre ses lèvres humides. Ce fut la plus sensation qu'Olivier avait pu ressentir. Elle commençait avec des baisers chaud et humides puis avec des vas et vient.

Pris d'excitation, Oliver enfonçait plus son engin dans sa gorge, elle ne laissait aucune partie en reste, même ses testicules étaient servit.

Après sa douloureuse torture, il lui redonnait la monnaie de sa pièce avec des coups de reins qui lui avait arracher des cris de plaisirs.

Allongée dans la baignoire, Oliver s'amusait dans la zone sensible de son amante.

-- Oliver , arrête.

-- avoue que tu aimes.

-- demain j'ai une séance de sport avec monsieur Stewart.

-- raison de plus pour te paralysé les jambes.

Il l'a retournait subitement pour la mettre à quatre pattes.

-- hey...

Sans qu'elle ne puisse terminé sa phrase, il l'a pénétrait d'un coup de rein sec. Elle émit un cris de douleur, puis il commençait avec les vas et vient qui lui redonnait le plaisir , il continuait plus fort.

-- tu es conscient que ...

-- oui... Pas de monsieur Stewart demain. Répond t-il avec un ton dur.

Il s'activait dans ses coups de reins en arrachant à la femmes des gémissements , Julia s'agrippait à la baignoire sous la demande de Oliver qui l'a fit atteindre son deuxième orgasmes de la soirée. Un orgasme tellement fort qu'elle lâchait quelques larmes.

∆∆∆∆

Ils avaient dîner et fait la vaisselle ensemble. À présent au lit, Oliver réfléchissait à toute ses fois où il avait fait l'amour à Julia. Jamais elle n'avait exigé de préservatifs. Prenait t-elle la pilule ? Voici la question qui lui brûlait les lèvres depuis plusieurs minutes.

-- Julia ?

-- humm?

-- dis moi.

-- je t'écoute Oliver.

-- tu prends la pilule ?

Quelle question, bien-sûr que non.

-- j'avoue que j'en n'ai pris le premier jour

-- mais ?

-- je n'en prends pas. Pourquoi cette question ?

-- juste pour savoir. Et ça ne te gène pas ?

-- de faire sans préservatif ? Non à moi non.

-- et si tu tombais enceinte ?

Elle fronçait les sourcils , et puis à quoi sa sert de se poser des questions ?

-- un enfant sa ne refuse pas, je serai la maman la plus heureuse et si tu n'en veux pas tan...

-- ne termine même ta phrase. Ordonna t-il sévèrement.

Elle se tut automatiquement, Oliver toute sa vie en avait rêver et si Julia MCFORD voulait être la femme qui voulait lui faire vivre ce rêve alors, oui , il fera d'elle sa femme.

-- dors maintenant.

Elle fermait les yeux sous les caresses de Oliver.

∆∆∆∆

La nuit de Julia avait été quelque peu agité, elle avait penser et repenser aux questions de Oliver, pourquoi lui avoir poser ses questions ? Elle se levait de bonheur ,enfilait une culotte puis ses gants de boxe.

Elle entrait dans la chambre d'à-côté là, ou était son punching-ball. Et se mit à frapper le sac sans retenue.

Oliver depuis la chambre entendit un bruits étrange, bruit qui se répétait depuis une vingtaine de minutes déjà. Il sortait du lit en remarquant que Julia n'y était pas. Il se concentrait sur les bruits qui le menait à la chambre au bout du couloir. Il s'arrêtait devant la porte fermer, curieux, il tournait le poignet qui s'ouvrait aussitôt.

Surpris de voir Julia boxer à cette heure du matin, il s'arrêtait au seuil pour l'observer un peu, il regardait aucun de ses gestes , fasciné par la rapidité et l'agilité avec laquelle elle administrait les coups, Oliver ouvrait la bouche.
Elle s'arrêtait à l'instant où elle constatait qu'elle n'était plus seule.

-- salut.

-- bonjour toi. Tu boxes de si bonheur. Fit t-il remarquer.

-- oui... J'en avait besoin. Répond t-elle en enlevant ses gants.

-- raconte moi ce qui ne va pas.

-- je vais bien.

-- tu me ments, je t'ai sentit bouger toute la nuit, ce n'est pas dans tes habitudes.

Elle boufouait quelques mèches rebelles de son visage en cherchant une issus.

-- Julia tu sais que tu peux me parler non?

-- oui.

-- très bien. Prends une douche et on en parlera calmement, sa marche ?

-- d'accord.

Sans un autre commentaire. Il l'à laissait seule dans la pièce.