DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

Cinq

Elle tressailli surprise d'une telle réaction. Qu'avait t-elle fait de mal à part vouloir le protéger d'une nouvelle arriviste?  Elle n'avait faut que son devoir de mère en éloignant cette femme de lui. Car elle s'en voulait de ne pas avoir pu éviter à son fils cette souffrance qui le tuait depuis ses dernières années.

-- d'où es ce que tu connais cette femme ? S'enquit t-elle

-- il faut que je sorte d'ici.  Fit t-il en tirant sur les cordes.

-- mais non... Calme toi.

-- que je me calme? Tu as rejeter ma fille! Mais Maman qu'es ce qui t'a prit?

-- ta fille?  Cette femme est bien capable de te mentir, tu as oublier tes expériences passés? Tu as oublier...

-- Maman oubli , Julia n'est pas Adriana. Coupa t-il furieux.

-- on va se calmer. S'il te plaît chéri... Su tu refais une crise, on risque de te garder encore ici.

À cette annonce qui sonnait comme un chantage, Olivet prenait sur lui pour garder son dang froid. Il fixait le plafond blanc pour s'apaiser le cœur. Et secondes après secondes, sa respiration devint normal.

-- Julia à ma fille... Elle et Sharon sont tout ce qui me reste. Fit t-il dans un murmure perçant.

-- dans ce cas pourquoi es ce que tu ne m'a jamais rien dit? Ton père le sait?

-- oui. J'ai tout raconter à papa

-- quoi? Ton Père connait l'existence de ton enfant mais moi...

-- oh maman... Arrête de crier s'il te plaît. Je ne l'ai apprit qu'il y à peine un mois... Et papa était la seule personne à qui je pouvait me confier.

-- tu m'envoie choquer. Siflla t-elle comme trahi.

-- tu finis par tout gâcher. Et maintenant regarde  ce que tu as fait!

-- si tu avais daigner me dire...

-- quoi? Tu lui aurait proposer de l'argent pour disparaître ?

-- jamais je n'oserai faire une chose pareille.

-- et pourtant tu as bien tenter avec Adriana non? Toutes notre relation à été...

-- Adriana ne t'a jamais aimer... Je pouvais lire dans ses yeux, elle n'avait pas cette lumière dans les iris lorsqu'elle te regardait. Je l'ai toujours sut. Déclare t-elle attristé.

-- et dis moi donc... Maman puisque tu t'es découvert des dons divinatoires , dis moi qu'as tu vu dans les yeux de Julia ? Hum?

À cette question, la mère de Oliver se raidit, elle même ne saurait répondre. elle détournait les yeux puis se levait nerveusement de la chaise pour se servir d'eau car sa gorge s'était soudainement assécher.

               Deux jours plus tard.

Assis sur son balcon le regard plongé dans le vide, Oliver semblait songer à la tournure qu'avait prit sa vie. De playboy milliardaires, à marié désespéré, puis ensuite être homme cocus, amant d'une parfaite inconnu pour se retrouver avec un enfant inconsciemment rejeter. Sa vie n'avait pas finir de lui jouer des tours, la deuxième phase de son existence fut d'être un homme sans grande volonté, alcoolique sans avenir, encore alcoolique et pour enfin être un homme aux états suicidaire.
Voilà en quoi se résumait toute sa minable vie.

Fallait croire que tout le mal se payait sur terre et non aux enfers. Perdu dans ses songes, il n'entendit pas la porte de sa chambre s'ouvrir. Et et puis la voix de son père le sorti de sa torpeur.