DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

TOME II page 1

De retour sur ses terres natales. Julia admirait Barcelone dans toute sa splendeur. Elle entrait dans l'hôtel dans lequel elle passera quelques jours histoire de se remettre un peu d'ordre dans sa vie.

La réceptionniste vérifiait les informations donner par Julia avant de lui remettre ses clés en lui souhaitant un bon séjour. L'un des hommes d'accueil l'aidait à faire monter ses valises.

Julia commandait un dîner très léger, elle n'avait pas très l'appétit cependant elle ne pouvait priver son enfant de nourriture. Elle caressait son ventre en chantonnant.

-- tu sais mon petit bébé, tu viendras au monde orphelin, mais maman te donnera tout l'amour du monde.

Elle entendit frapper à la porte. Julia avait sursauter , puis se rappelait qu'elle avait passée une commande, elle sortait du lit pour ouvrir la porte. Sans trop vouloir lui prendre du temps , Julia prit le plateau des mains de la jeune femme.

-- bonne dégustation madame.

-- merci.

Elle refermait la porte puis retournait à son lit. Elle partait se lavée les mains et se mit à manger sans aucune appétit.

Après son repas, le service de chambre venait débarrasser le reste puis lui demandait si elle n'avait besoin de rien, Julia l'a rassurait que tout allait bien.

-- passez une agréable nuit.

-- merci.

Elle refermait la porte puis venait se coucher sans même ôter se vêtements. La solitude commençait déjà à la gagner.

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Deux mois de dépression, sa mère l'a grondait par moment d'être autant attacher à ce passée qui lui brisait le coeur. Julia ne sortait casiment plus de sa chambre, elle terminait difficilement les repas qu'on lui apportait.

Ses vêtements devenait de plus en plus grand pour elle. Julia perdait du poids et son ventre ne cessait de s'arrondit. À cette allure, elle ne sera plus qu'un morceau de bois. Elle se regardait dans la glace et détestait son image. Prise d'un accès de colère, elle se saisit de la paire se ciseau puis d'une main tremblante, Julia se taillait les cheveux.

Elle voulait se débarrasser de tout ce qui un jour avait plu à cet homme répugnant. Elle coupait ses cheveux jusqu'à ce qu'elle soit compliment la tête rasé. Elle regardait ses long cheveux luisant sur le sol.

Sa mère entrait sans frapper puis découvrit la catastrophe que c'était fait sa fille. Elle lâcha un cri d'horreur.

-- Monica... Qu'es ce que tu as fait?

-- mon image me répugne, je ne veux plus de cette image.

Sa mère se dirigeait vers elle la main lever avant de lui administrer une gifle assez violente pour la faire revenir à la réalité. Julia attrapait sa joue brûlante .

-- Qu'es ce qui te prend ? Tu ne seras pas la seul femme qui donne vie à un enfant dans des conditions difficile. Es cette image que tu veux montrer à ton enfant ? Veux tu voir ta fille malheureuse par ce que tu ne l'ai pas toi ? Tu vas te ressaisi et te battre pouf ton enfant.

Elle baisait la tête honteuse et se mit à pleurer. Elle aussi voulait avoir une vie normale mais pas un seul jour elle ne dormait sans pensée à Oliver. Était t-il heureux avec sa femme? Pensait t-il parfois à elle? Jamais Julia n'arrivait à fermée l'oeil sans avoir une pensée pour cet homme.

-- c'est dur ma chérie. Sois forte pour ton enfant, ta seule priorité c'est ton enfant alors, arrête de courir après ce fantôme.

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   Oliver depuis son bureau n'arrivait plus à se concentrer, il repensait nuit et jour aux dernier propos de Julia. Elle avait dit nous". Cette phrase avait le don de lui couper l'appétit.

Il était repasser à l'appartement de Julia trois jours après son départ, il eut la grande déception d'apprendre qu'elle était partie. Le concierge lui avait filer le numéro d'une certaine Alyn.

Lorsqu'il avait appeler cette dernière, elle ne s'était pas gêner pour lui cracher toutes ses vérités ayant reçu la lettre ce son amie, Alyn était folle de rage. Elle avait espérer croisée un jour cet homme et pour lui en coller une.

Oliver l'avait supplier de lui dire où Julia s'était en aller mais Alyn était rester ferme sur sa décision de ne jamais trahi son amie. Elle lui raccrochait au nez chaque fois que ce dernier la contactait.

Son dernier espoir avait été Doris, elle en savait beaucoup puisqu'elle était la seule personne avoir été en contact avec Julia mais elle aussi semblait lui cacher quelque chose car chaque fois qu'il lui parlait de Julia , elle lui répétait qu'elle n'avait aucun droit de lui dire quoique ce soit.

Désormais seul dans sa quête, Oliver avait engager l'un des meilleurs détective pour la retrouver mais ce dernier revenait toujours avec de mauvaise nouvelles.

Suicider. S'était t-elle suicider ? Non c'est impossible. Le détective l'aurai retrouver si tel était le cas.
Nous... Pourquoi avait t-elle utilisé ce pronom?

Tant de questions auxquelles il n'avait eut de réponse. Oliver retrouvait sa femme chaque soir après le travail. Bien que heureux de voir Adriana porter son enfant, il n'était incomplet il avait la sensation qu'il lui manquait toujours quelque chose. Julia, ce nom sonnait toujours en lui. Il avait ainsi le malheur de le sortir pendant ses sommeil. Une raison de plus pour Adriana de piquer des crises.

-- tu penses toujours à cette femme ? Je m'en irai loin d'ici dès que j'aurai accoucher et tu pourras courir la retrouver.

-- Adriana ... Je suis déborder, s'il te plaît prends une douche et dors, ce n'est pas bon que tu te mette dans cet état.

-- vas au diable. Lui hurlait t-elle avant de s'enfermer dans la chambre.

Oliver n'insistait pas plus, il tournait les talons pour se dirigée dans la chambre voisine.