DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

X

Et contre toute attente, Oliver ne réagissait pas. Lui qui pourtant ne laissait personne rentrer en corps à corps avec lui.

-- tu as oser souiller ma petite sainte et tu t'es barrer comme un lâche. Siffla t-il en colère.

Oliver se détachait violemment de sa prise puis se redressait les vêtements avant d'ajouter qu'il n'avait jamais eut l'intention de la briser. Il ajoutait même qu'au fond il l'avait aimer. À cette phrase, Samuel se jetait sur l'homme qui était sur le point de formuler une autre phrase puis le rouait de coup.

Oliver n'avait pu se défendre sur le champ car l'action avait été rapide et bien trop calculer. Il se relevait très vite puis avec la même colère , il ripostait.

Les deux hommes se saisit des colles de chacun en se laissant des regards foudroyant. D'aucun n'osait entamer la bagarre. Samuel était du genre sang froid et n'utilisait ses poings que pour une cause qui en valait la peine. Oliver quant a lui ne faisait que rendre les coups que lui donnait ses adversaires , il attendait donc le deuxième pour réagir.

Le coeur d'Oliver gonflait à mesure qu'il réfléchissait à l'identité de cet inconnu qui avait effectué le déplacement pour régler un conflits qui datait d'il y'a 5ans

Étais ce son nouvel homme. Celui avec qui elle avait refait sa vie ?

Une colère plus bouillante s'emparait de son être entier. D'un geste rapide, il  fit Valser Samuel qui se retrouvait sous lui. Prêt à l'étrangler, Oliver lui maintenait fermement la gorge du policier.

Samuel bien trop entraîné pour suffoqué sur le champ, se débattait jusqu'à inverser la situation. Oliver se trouvait à présent entre ses muscles ferme. Il serait la tête du PDG lorsqu'une petite pensée lui venait à l'esprit. Il le relâchait regrettant ainsi son attitude impulsive.

-- je t'aurai certainement arracher la tête si tu n'étais pas le père de mon petit ange.

Avait t-il bien entendu ou ce n'était que le fruit de son imagination ? Oliver était aussi raide que choqué. D'où es ce que sortait cet homme ?

-- qui êtes vous ?

-- je suis Samuel Suarès, le frère aîné de Monica abruti. Cracha t-il dégoûté.

Oliver vacilla sur le point de s'écraser, il posait la main sur le seul objet susceptible d'amortir sa chute. Ses trompe tambourinait comme s'il venait de recevoir la grosse décharge sonore de la planète. Son souffle saccadé exprimait à la foi tout pleine de joie et de tristesse.

-- le... Julia ? Votre nièce...? Je...

Il peinait tant à retrouver les mots car jamais il n'avait été autant toucher par une nouvelle. Depuis tout ce temps, il s'était poser des questions sur la paternité de cette petite fille qu'il avait vu au centre commercial et le voilà aujourd'hui plus que fixé. Julia était enceinte de lui et elle n'avait non pas avorter. C'était sa fille oui sa fille. Une lumière rejailli sur tout son être qui depuis des années s'était perdu dans les ténèbres.

-- ma fille...ma petite fille. Murmura t-il dans sa barbe.

Oliver voulu crier, sauter et même embrasser l'homme en face de lui, c'était pour ainsi dire la plus grande nouvelle de toute son existence, il aurait même été prêt à troquer toutes ses entreprises rien que pour l'entendre dire.

Soudain, la voix rude de Samuel le fit tomber de ses nuages.

-- je ne suis pas ici pour négocier. Déclara t-il d'un air farouche.

La peur reprenait son cour. Qu'allait t-il lui dire? De ne plus s'approcher de Julia? Oliver croisait les doigts anxieux.

-- vous avez été assez virile pour l'enceinter alors vous le serez pour assumer les retomber de vos actes.

-- comment je... Ne suis pas sûre de...

-- ne soyez pas bête monsieur Conrad. Coupa t-il.

-- pourquoi es ce que vous ne partez pas droit au but?

Samuel scrutait le grand bureau luxueux puis se tournait vers Oliver qui le fixait avec plus de conviction.

-- vous aller assumer vos responsabilité envers Sharon et sa mère. Ce n'est pas une demande mais un ordre. Vous êtes peut être milliardaire, à moi seul, j'ai le pouvoir de vous faire couler alors...

-- assumer cette responsabilité...

-- vous m'avez bien entendu crétin.

-- je ne demande que ça. Affrima t-il tout émut.

Sa réponse avait plutôt fait tiquer Samuel qui jusque là croyait que cet homme fuyait ses responsabilités envers Julia et sa fille.

-- il n'y aura plus grande fierté pour moi que de participer a l'éducation et au bien être de ma fille. Admit t-il.

Samuel reprenait place dans le fauteuil un peu assommé.

-- pourquoi donc avez vous quittée Julia ? S'enquit t-il perdu

Il voulait lui aussi avoir SZ version des faits car Julia aurait pu mal interprété les choses pour gagner du terrain. Sa n'aurai pas été nouveau dans une affaire de droit parental.

Oliver souffla un coup peiné, il ne savait comment raconter cette histoire qui le hantait ses dernières années.

-- j'ai tout mon temps. Conclut Samuel.

-- j'ai... Lorsque j'ai connu Julia, j'étais en instance de divorce. Je l'ai connu douce, attentionné, généreuse innocente. Julia était tellement différente, différentes des autres femmes que j'avais pu fréquenter qu'elle m'attirait comme un aimant. Je n'arrivait pas à resister à son charme et sa personnalité. Bien que toujours marié, je continuait de la voir presque tout les jours, elle m'aidait à oublier tout mes problèmes...

-- vous l'aimiez? S'enquit Samuel d'un air séreux.

Oliver resta silencieux quelques secondes avant de répondre aux sa douloureuse question.

-- pour être honnête NON. Je n'aimait pas Julia cependant, il était hors de question que je l'utilise.

-- et c'est pourtant ce que vous avez fait en sachant qu'elle s'attachait à vous.

-- je voulais faire les choses dans les normes. Écoutez, je sais que je ne suis pas un saint et que j'ai pu coucher avec des femmes rien que pour passer du temps cependant Julia révélait une innocence particulière. J'ai été comme lié a elle. Je ne pouvait plus m'en aller alors que je n'arrivait pas non plus à l'aimer.

-- pourquoi donc ne lui avez vous pas fit la vérité ? Interrogea Samuel

-- je ne pouvais pas, je savais que sa la briserai car bien que presque divorcé, j'aimais ma femme. Ce qu'il y avait, je voulais mettre de l'ordre dans ma vie avant d'entamer une quelconque relation, cependant je n'ai pas pu rompre avec Julia par ce que je m'étais attacher à elle à un point que je dépendait d'elle et de ses émotions.

Malgré la colère qu'il avait vis à vis de cet homme, Samuel pouvait grâce à son instinct de policier, lire de la sincérité dans ses dires.