CHP 13

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Surprise de voir qu'il était sortir acheter des croissants pour elle de si bonheur lui fit une drôle de sensation.

-- vous... Ne rentrez pas chez vous ? Demande t-elle

-- vous voulez que je m'en aille?

Sa question résonnait comme une menace, elle ne répondit pas et se mettait à table.

-- votre téléphone à sonner toute la nuit!

-- euh... Ah bon?

Il répond que c'était une certaine Alyn , elle fut soulager qu'il n'ait décrocher aucun des appels, elle promis de la rappeler plus tard. Connaissant son amie, Julia savait bien que cette dernière cherchait à savoir avec qui elle passait ses soirées.

-- votre brûlure...

-- oh sa me fait moins mal. S'empresse t-elle de répondre.

-- voici pour vous. Il posait le verre de lait sur la table et retournait au balcon

Elle se demandait bien pourquoi es ce qu'il n'avalait rien , peut être qu'il n'aimait pas les croissants. Elle se levait avec son plateau pour le rejoindre au balcon.

-- vous me faîtes un peu de place?

Il lui cédait carrément le petit canapé pour s'installer dans la chaise d'à-côté.

-- qu'est-ce que vous faites?

-- je travaille. Et on ne parle pas la bouche pleine mademoiselle MCFORD.

Elle se mit à rougir en entendant son nom sortir de sa bouche, avec cette voix qui avait le pouvoir de la faire frissonner comme une poule. Elle avalait sa bouché de croissant pour avoir la gorge libre.

-- pourquoi es ce que vous ne mangez pas ? Vous allez devenir maigre.

Il eut un fou rire accompagné d'un petit regard moqueur qui ne l'a laissait pas indifférente, Julia senti ses poils se redresser .
Elle plongeait la tête dans son assiette ne voulant pas qu'il s'aperçoive de sa rougeur.

-- je mangerai lorsque vous serez rassasier. Avait t-il formuler.

Elle rougissait de plus belle.

-- je crois que je suis rassasier. Je vais plutôt prendre une douche.

Sans attendre qu'il ne lui dise mot. Julia se levait en courant presque vers sa chambre. Il avait trouver son attitude très étrange, l'avait t-il blesser ?
Il partait se servit du lait pour terminer le croissant qu'elle n'avait pu achevé.

Julia prit une douche chaude. Elle sortait de la salle de bain les cheveux mouiller et se contemplait dans le miroir.

<< es ce qu'il me trouve Jolie?>>
Sa question était plus que ridicule, Oliver l'a désirait , bien-sûr que son petit visage d'ange ne lui laissait pas trop de temps pour réfléchir, elle lui faisait des effets assez étrange. Elle touchait ses lèvres en repensant à leur baiser d'hier. C'était magique même s'il s'était terminé e' véritable fiasco. Elle voulu bien retenter le coup pour cette fois sentir plus de douceur.

Elle enfilait une tenue un peu provocante, une robe rouge bord qui voilait à peine ses cuisse bronzer. Pour la cause elle n'avait même mise de soutien gorge , laissant ainsi deux points dresser sous le tissus. Sa curiosité reprenait le dessus. Julia voulait à tout prix donner une réponse à sa question. Elle utilisait son meilleur atout pour cette expérience.

Après avoir mit un peu de parfum, elle sortait de la chambre d'un pas décidé et plein d'énergie elle le rejoignait au salon.

En la voyant , Oliver cru avaler sa langue, il restait bouche inerte. Dans cette robe, Julia dévoilait clairement ses formes et son désir remontait au point de lui infliger une douloureuse érection.

-- euh... Vous...

Il se raclait la gorge pour retrouver les mots qu'il venait de perdre. Julia comme si elle n'avait rien entendu débarrassait la table , il n'avait rater un tiers de seconde pour admirer cette merveilleuse paire de fesse. Oliver se passait la main dans les cheveux dans l'espoir de regagner ses esprits mais hélas ses nombreux désirs se mirent à le troubler sans qu'il ne puisse les chasser. Elle revenait quelques minutes avec un petit sourire aux lèvres , heureuse d'avoir pu vérifier son hypothèse. En effet Julia n'était pas dupe. Elle avait bien vu sa réaction

-- vous sentez l'alcool à plein nez . partez donc prendre une douche. Proposa t-elle d'une voix qu'elle voulait sensuelle.

Il ne pu refuser, sa proposition était bien alléchante. Il se levait sans un mot et se dirigeait vers la chambre. Lorsqu'elle fut seule, Julia se mit à rire comme une petite fille. Elle avait bien aimer voir sa tête. Monsieur responsable avait perdu le contrôle de ses pensées face à elle.

Elle se glissait doucement dans la chambre pour lui trouver des vêtements propre. Elle prendre un gros pull qui lui ira certainement bien.  Tout ses Jeans et shorts étaient bien trop petit pour lui. Elle cherchait dans les armoires. Trop concentrer, Julia ne l'entendit pas sortir de la salle de bain.
Oliver n'allait en aucun cas, ractacle. Adossé sur l'encadrement de la porte il observait avec appétit la jeune femme.

-- belle posture.

Elle sursautait en se retournant. Julia baissait les yeux honteuse de le voir presque nu. Elle bafouait quelques mèches de son visage.

-- euh ... Tenez... Je crois que ça va vous aller.

-- un pull de Gonzesse ?

-- il est grand et ... Je ... Enfin si vous n'en voulez pas je peux...

Elle remuait sans cesse la tête. Oliver profitait du moment pour prendre sa petite revenge , il aurait pu jurer qu'elle enfilait cette petite tenue exprès. Il laissait la serviette tomber , Julia lâcha un petit cri. Rouge comme une pastèque. L'image d'Oliver en simple boxer l'a fit frissonner. Elle s'empressait de sortir mais il lui ordonna de rester.

-- j'ai...

-- vous avez?

-- j'ai...

-- vous avez? Répétait t-il avec un ton moqueur.

-- vous croyez vraiment qu'on peut se moquer de moi sans être puni? Ajouta t-il.

-- je ... Lâchez la porte immédiatement.

-- non. Répond t-il Pénard.

Plus le corps d'Oliver se rapprochait plus ses jambes rétrécissaient. Julia priait le bon Dieu pour qu'il ne l'a touche. Il s'attardait près de son visage laissant son souffle brûler sa peau. Torture, c'était une pure torture de rester dans cette posture.

Aucune réaction venant  d'elle ne pouvait le faire replier, il était décider à lui donner la monnaie de sa pièce.

-- c'était pas très malin d'avoir enfiler cette tenue Monica...

-- vous n'êtes pas un violeur.

-- mais non. Avec votre permission bien-sûr. Murmurait t-il à son cou.

Il n'allait pas la toucher sans sa permission. Elle avait le choix, le repousser ou faire le premier pas. Mais comment faire quand on ne sait quoi faire?

DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant