CHP 8

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On frappait à la porte. L'attraction se brisait. Elle s'echappait de son emprise et partait ouvrir la porte.  Oliver maudissait entre ses dents, l'auteur de cette interruption.
Le livreur de pizza avait tout gâcher. Elle réglait la facture et retournait avec le carton au salon .

-- une pizza ? S'enquit t-il surpris

-- oui. Vous n'aimez pas la pizza?

-- euh... Non.

-- vous pouvez toujours commencer. Sa ne tue pas. Vous êtes allergique à la farine ?

-- non. Répond t-il

-- très bien... Alors on va manger une pizza. Vous allez me faire ce plaisir n'es ce pas?

-- bien-sûr.

-- a moi on ne me refuse rien.

Il éclatait de rire. Un vrai, Julia fut bouleverser de le savoir aussi beau, elle avait presque cligner des yeux en le voyant rire.

-- à moi non plus. Reprit t-il sérieux.

-- vous pouvez m'aider s'il vous plaît?

Il se levait et de dirigeait vers la cuisine, il prenait des verres, et deux assiettes. Julia prenait une carafe de jus au réfrigérateur

-- euh je suis allergique à la fraise.

Elle prit une deuxième carafe , du jus d'orange cette fois.
Elle ouvrait le robinet pour se laver la main, elle sentit sa présence derrière elle. Il était si proche que tout ses sens étaient en alerte.

-- besoin d'aide?

-- non je peux me...

Sans attendre qu'il l'a repousse, il pompait le tube à savon. Elle tremblait lorsqu'il se saisit de sa main pour la mettre sous le robinet bien que robuste, ses mains étaient très douce. Oliver jurait qu'elle avait frissonner à son contact. Il rinçait sa main puis la sécha avec la serviette. Elle rougissait comme une tomate , à présent Julia n'osait plus relever la tête. C'était si troublant de le voir si proche.

-- voilà. Passons à table. Ordonna t-il.

Elle couru de la cuisine pour mettre à table. Il ouvrait le carton de pizza et servait sa partenaire. Affamé, Julia ne posait plus de question, elle s'emparait de sa part et se lit à la dévorer. Il l'observait quelque peu amusé. Elle en mettait partout, faut croire qu'elle ne savait pas utilisé sa main gauche même pour manger. Puis il se décidait à faire comme elle. La pizza ce n'était pas son point fort mais faisait l'effort d'avaler quelques bouché jusqu'à terminer sa part. Julia à seule en mangeait trois. Stupéfait il l'a regardait.

-- vous trouvez que je suis gloutonne ?

-- non, je m'étonne que vous ayez cette taille malgré tout ce que vous avalez.

Elle voulu en rire mais préférait se taire. À présent rassasier, elle débarrassait la table.

-- besoin d'aide?

Une fois de plus, sa voix la fit tressaillir. Il s'étonnait de lui faire cet effet.

-- je suis si terrifiant ?

-- non...mais non.

-- vous sursautez à tout ce sue je vous dit.

-- ce n'est pas pour ça, je suis juste dans les airs.

Il s'approchait d'elle et elle reculait a double vitesse. Il fit un pas et elle en faisait deux. À cette allure, Oliver l'a coinçait très vite au lavabo.

-- vous êtes dans les airs ? À quoi es ce que vous pensez ?

-- euh... Je...je...

Il s'approchait un peu plus en comblant ainsi le petit espace qui les maintenait éloigné. Julia ne pouvait tenir sur ses jambes. Si elle avait prévu cette situation, jamais elle ne l'aurait laissée entrer. Elle se sentait , faible et sans aucune défense.

-- vous... Vous ne devez pas faire ça. Ce n'est pas bon.

Il n'avait pourtant rien fait. Par sa réaction, Oliver pouvait facilement deviner qu'elle était sans expérience, où peut être timide.

-- on n'a pas pourtant rien fait.

-- vous vous apprêtez à faire ça...

-- ça ? Mais quoi?

-- enfin vous... Rentrez chez vous s'il vous plaît.

-- bien-sûr.

Il avait répondu que oui mais n'avait bouger d'aucun centimètre, Julia savait bien ce qu'il lui voulait. Peut être qu'elle aussi en voulait plus que lui. Il levait enfin le bras pour enlever une mèche rebelle sur le visage. Il n'avait pas rêver. Tout son corps avait réagi. Alors comme ça cette innocente créature ne pouvait résister à ses gestes? Sa question était bien tomber. Car Oliver avait l'a le meilleur moment de la vérifier.

Il s'approchait encore plus d'elle , s'autorisant ainsi à la toucher. Il glissait son doigts le long de son bras. Sa réponse fut flagrante, évidente et indéniable, elle avait frissonner, il avait senti chaque parcelle de sa peau réagir. Il sourit au coin de la lèvre. Et se décidait à la laisser tranquille. Elle était au bord de l'évanouissement, il ne fallait ozd qu'il provoque une deuxième catastrophe. Oliver se décollait de la jeune femme, faisant d'elle sa nouvelle proie. 

-- je... Je suis fatigué et demain sera encore épuisant. Fini t-elle par dire.

-- très bien.

Il tournait les talons , elle attendait qu'il soit bien distant afin de le suivre jusqu'à la porte. Il se tournait à ce moment pour lui souhaiter une bonne nuit.

-- rentrez bien monsieur.

Elle refermait la porte et courait fermer la porte du balcon . malgré le froid , une bouffée de chaleur remontait jusqu'à ses joues, il avait laisser sa marque sur le bras. Il lui avait brûler la main droite , et voilà qu'il paralysait la main gauche.

Elle se laissait tomber sur son lit comme une masse. Elle n'avait pas dormir. Jusqu'à 00 , les yeux de Julia étaient grand ouvert.

∆∆∆

Très tôt le mâtin, Oliver prit son bain et se rendait à l'appartement de Julia. Elle s'était réveiller mais avait passer une très mauvaise nuit. Après son bain, elle trainait encore en cullote et body sweater . elle était de trop mauvaise humeur mais ne pouvait boxer , sa main était endolorie.

Puis les coup à la porte l'a fit bondir. Elle partait ouvrir. Et constatait que c'était encore lui.
Il restait muet voir même mort en voyant son corps parfaitement sculpté. Pas étonnant qu'elle soit coach sportive, les femmes pouvaient bien envié ses courbes et se ventre. Il l'a regardait de la tête aux orteils en s'attardant sur ses parties préféré.

-- que faîtes vous là de si bonheur ? Demande t-elle énervé.

-- faut croire que vous oubliez toutes vos bonnes manières chaque fois que vous me voyez.

Elle tournait les talons en le laissant planter au seuil de la porte. Elle pouvait partir, tourner le dos tant qu'elle lui donnait cette vue, sa ne le gênait en aucun cas. Ses déhanchement toujours un véritable plaisir.

-- vous êtes prête pour l'hôpital ?

-- je n'irai nul part avec vous. Répond t-elle sèchement.

DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant