DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

OUVERTURE

Des hivers avaient passer. À présent mère célibataire, Julia se battait deux fois plus pour assurer un avenir meilleure à sa fille. Atteinte de la leucémie la petite Sharon vivait sa vie sans se douter qu'un jour, elle s'en ira subitement.

Julia regardait sa fille gazouiller dans tout les sens, une petite goutte de larme s'échappait de ses yeux. Depuis sa naissance, elle lui avait infliger une vie assez pathétique, sans Père , Sharon avait pour seule figure paternelle Samuel.

Julia se levait du canapé pour lui préparer son repas.
Ses parents avaient insister pour qu'elle reste encore en famille, cependant Julia étant déjà habituer à faire cavalier, seul décidait de prendre un petit appartement qu'elle payait de ses propres moyens, avec ce petit salaire qu'elle avait, elle continuait de suivre des cours tout en s'occupant de sa fille.

Julia par moment des difficultés à payer ses factures et la crèche pour Sharon mais jamais elle ne demandait de l'aide à quelqu'un. Elle pouvait se priver de 'nourriture, diminuer ses ration de repas mais jamais Sharon ne dormait sans manger, et quand les médicament de la petite n'en restait que pour quelques jours,  C'etait avec un grand courage que Julia faisait des heures supplémentaires au musée pour boucher le troués financiers.

Elle continuait cette routine jusqu'à qu'un jour en rentrant du travail, elle reçoive un mail de l'Université de Seattle. Elle ouvrait nerveusement l'enveloppe pour voir la réponse de postulation.

Elle lâcha un cri aigu jusqu'à effrayer la petite. Sharon se mit à pleurer , Julia rangeait son ordinateur pour prendre a fille dans ses bras.

-- chuttt mon choux... Maman à une grande nouvelle à t'annoncer.

Ne sachant pas encore pourquoi es ce qu'elle avait crier ainsi. Sa fille l'a regardait l'air mécontente.

-- maman à un nouveau travail , ce qui veut dire que maman aura suffisamment d'argent pour que tu manges à ta fin. Fit t-elle en lui caressant la joue.

La petite ne semblait pas trop comprendre néanmoins, on pouvait voir un sourire se dessiner sur ses lèvres, c'était sa façon de féliciter sa mère pour avoir tant lutter.

Les larmes de Julia se mirent à couler cette fois, c'était bien de joie qu'elle pleurait, toutes ses années de galères prendront fin dans quelques mois, sa fille aura des vêtements neufs, des jouets comme ceux de son âge et surtout, elle pourra suivre un vrai traitement pour sa maladie. Elle serrait Sharon fort contre sa poitrine. Elle pourra être fière de sa mère.

    Tôt ce matin, Julia faisait les valises. N'ayant pas beaucoup d'affaires, elle s'était d'abord occupé de ceux de Sharon. Julia rangeait les jouets avec beaucoup de précaution pour ne surtout pas réveiller la petite qui dormait encore.

Elle lançait des regard de temps en temps à son enfant puis souriait. Sharon à présent aura une vraie vie.