DERNIÈRE DANSE ( Tome I & II )

quatre

Julia se retournait lentement pour faire face à son interlocuteur. Elle fit surprise de voir en face d'elle une dame à la l'allure rajeunit malgré les quelques rudes qu'elle pouvait détecter sur son visage, son maquillage était classique , avec des lèvres délimité par un rouge à lèvre digne d'une femme fatale.
Elle présentait une beauté surprenante avec cet ère raffiné qu'elle projetait dans son regard. Julia pouvait supposait qu'elle était de la cinquantaine d'année, elle était surélever par d'escarpins à bout pointu rouge feu qu'elle même Julia n'aurait pas oser mettre.

Son chion bien tirée sur la nuque lui donnait un regard sévère et dans cette tenue de femme sombre qui lui rappelait tant son tyran de directrice du lycée, Julia pouvait qu'elle inspirait que la crainte.
Elle regardait cette femme qui après quelques réflexions conclu, qu'elle était la mère de Oliver. Alors honteuse et gêné à la fois Julia baissait la tête.

-- qui es êtes vous? Insista t-elle la voix dur.

-- je... Je suis... Je m'appelle Julia McFord.

-- et que voulez vous?

-- j'ai...

-- et si vous arrêtiez de bégayer comme un bug?

-- je... Suis...

Ne sachant même pas comment s'y prendre pour lui annoncer la prochaine nouvelle, car, elle aurait du tout de suite la reconnaître après s'être présenter et non, au lieu de ça , elle l'a regardait comme un vulgaire objet sale . elle ne l'a connaissait même pas. Ce qui signifiait que Oliver  jamais n'avait parler de leur existence à ses parents. Avait t-il honte d'elles? Peut être par ce que Sharon était un enfant hors mariage? Où peut être qu'elle n'était pas d'une honorable famille.  Pour Julia, cette interrogatoire sonnait comme une injure,, une offense non pire que ça comme une humiliation.

D'ailleurs, pourquoi devrait t-elle dire à cette femme qu'elle était la mère de sa petite fille? Ça aurait du venir d'Oliver ça.

-- vous n'allez pas répondre ? J'appel immédiatement la sécurité... Qui êtes vous ??

-- je suis la mère de son enfant. Déclara t-elle avec vivacité.

Choqué voir outré par une nouvelle aussi brusque qu'insultante, la dame au regard de fer s'approchait de la jeune professeur avant de la détaillée de la pointe des cheveux aux ongles. Elle ne voyait en rien de cette femme décoiffé, aux yeux rougis certainement par à la drogue et avec cette peau d'une couleur étrangère qui était camouflé par une tenue peu présentable quelque chose qui aurait plus à son fils. Il avait toujours du goût en matière de femme, il ne ramenait jamais à la maison des filles paumés comme celle en face d'elle.

-- quel enfant ?? C'est quoi cette histoire ? Siffla t-elle

-- Oliver est le père de ma fille. Répèta Julia sans se gêner.

-- et donc vous êtes là pour réclamer une quelconque part d'héritage ?

-- vous... Il ne vous à pas parler de sa fille ?

-- pitié... vous vous faites engrosser par des bon à rien, ensuite, dès que vous avez entretenue une relation d'une nuit avec un homme friquets, vous lui attribuée la paternité de vos bâtards pour en tirer profit. Cracha la vieille dame avec beaucoup de mépris.

Offusqué, Julia relevait la tête car elle n'avait pas pour habitude de se faire humilier sans réagir. Ce n'était pas dans ses habitudes de ne pas répondre aux provocations encore moins aux insultes et pour couronner le tour, cette femme s'emprenait également à son trésor Sharon.

Furieuse de ne pas lui administrer le coup de point qu'elle méritait en pleine figure, Julia avançait d'un pas avec tout le cran qu'elle devait surtout pas utilisé. Désormais face à elle, un peu trop face, la jeune professeur la regardait droit dans les yeux avant d'affirmer.