Tome 2 de moi princesse grosse blague.
Elyes avait des secrets comme chaque être humain mais le sien pourrait gâcher l'image de sa famille. C'était le prince de Dallas, fils de Madyson et John Stewart, roi et reine de Dallas.
Comment réagirait ses...
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Point de vue Elyes :
Être réveillé par des caresses, c'est l'une des plus belles choses au monde. Tu sors d'un rêve où l'acteur principal est Arthur Stone et tu sens des baisers parcourir ton torse et arriver à ton cou. Réellement, je crois qu'il n'y a pas mieux.
J'ouvre les yeux et tombe sur la perfection. Je crois que je ne le dirais jamais assez. Un tendre sourire prend place sur mes lèvres tout de suite répondu par le sien. Je deviens niais mais ce n'est pas grave, être avec la personne que tu aimes depuis le premier regard, pouvoir la toucher, l'embrasser sans que cela créer un blanc ça rend les gens niais et je pense qu'ils assument.
- Boujour, toi !
- Salut !
- Je crois que je vais m'y faire à ta voix rauque dès le matin, cela te rend si sexy
Je rigole et le serre contre mon torse. Je tourne la tête vers ma table de chevet afin de regarder l'heure et souffle bruyamment en la voyant. Un rire retentit et des frisons me parcourent le corps quand ce son atterrit sur mon torse dénué de vêtement. Son doigt dessine des cercles sur ce dernier et je pense vraiment qu'il ne se rend pas compte de l'impact de ses gestes sur mon corps, ma tête va pas tenir à ce stade.
- Il est temps de se lever, El'
- Je sais, nous avons cours
- Oui, donc debout !
- Je n'y arriverai pas..
Il lève sa tête vers moi et pose son menton sur ma poitrine. Il m'interroge du regard mais je détourne le mien pour ne pas le croiser.
- De quoi est-ce que tu parles ?
- Comment je vais faire au lycée ? Je n'arrive même pas à m'empêcher de te toucher depuis hier alors ne pas pouvoir t'approcher sans que cela soit ambiguë, je crois que j'en n'aurais pas la force
- Oh, mon pauvre El' ! Pendant plusieurs mois, tu t'es tenu à mes côtés sans aucun geste déplacé qui aurait pu me donner la puce à l'oreille sur tes réelles sentiments à mon égard donc quelques semaines en plus cela ne changera rien
- Quelques semaines ?
- Je ne crois pas que je tiendrais plus, rit-il
Je lui sourie et embrasse sa joue. Il se lève en laissant ses lèvres traîner sur mon ventre puis se redresse en se plaçant au bord du lit.
- Aller, nous allons vraiment finir par être en retard
