Chapitre 5

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Point de vue Arthur :

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Point de vue Arthur :

Deux mois sont passés depuis ma rentrée en Terminal ainsi que ma rencontre avec Elyes et notre amitié n'a jamais été aussi fusionnelle même nos parents se demandent comment on a pu vivre sans l'autre tant on est sans cesse fourré ensemble.

Je me lève, le bras engourdi et sourit en voyant son visage. À tous les coups, je me suis encore endormi devant la télé et nos parents n'ont pas voulu nous réveiller puis mes vêtements encore sur moi me le prouvent.
Je secoue la marmotte à mes côtés mais il ne semble pas coopérer car il grogne et place son coussin au dessus de sa tête pour que je le laisse dormir.

- Lèves-toi, El' ! On va être en retard en cours, dis-je en le secouant dans tous les sens

Il grogne de nouveau mais n'ouvre tout de même pas les yeux.

Passons à la manière forte.

Je me lève, me dirige vers la salle de bain, attrape une bassine, la remplie d'eau gelée et retourne voir l'endormi.

- Tu ne veux toujours pas te lever, Elyes ?

Pas de réponse, feu vert.

Je m'avance vers son lit et verse l'eau gelée sur lui ce qui le fait vite réagir.

- Arthur, je vais te tuer !!

Il se lève d'un bond et me poursuit avec ses vêtements trempés. Je traverse les couloirs du château pendant que lui me crit des insultes qu'il essait de camoufler pour ne pas paraître grossié  devant les domestiques. Je rie tellement que ça m'en fait perdre de l'élan. Quand je pensais l'avoir semé, j'entends un gémissement derrière moi et m'autorise un regard par dessus mon épaule puis m'arrête en voyant Elyes à terre qui semble souffrir. Je me précipite vers lui, le regard emplit d'inquiétude espérant qu'il ne soit pas blessé.
Je me penche vers lui et pose une main sur son épaule.

- Elyes, ça va ? Tu as mal quelque part ?

Il se retourne un sourire malsain ornant ses lèvres et m'attrape par les épaules pour que je m'écroule contre lui mais surtout contre ses vêtements imbibés d'eau glacée. Flûte, l'arroseur-arrosé.

- Bien fait, va ! Réfléchis à deux fois avant de faire ce genre de chose avant que je ne sois complètement réveillé surtout un lundi matin

- Tu n'avais qu'à te réveiller quand je te secouais

- Plus de douceur !

- Très bien, la prochaine fois je te réveillerai par un tendre baiser sur la joue accompagné de douces paroles et d'un petit-déjeuner au lit parce-que la veille tu aurais eu une journée écrasante

HIM ! (Tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant