Tome 2 de moi princesse grosse blague.
Elyes avait des secrets comme chaque être humain mais le sien pourrait gâcher l'image de sa famille. C'était le prince de Dallas, fils de Madyson et John Stewart, roi et reine de Dallas.
Comment réagirait ses...
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Point de vue Elyes :
- Mon cœur, quelle date veux-tu programmer pour notre mariage ?
- Je ne sais pas. En te demandant en mariage, je n'y ai pas pensé
- Nous sommes en Juillet donc que dirais-tu du 20 Aout ?
- Si, j'ai une bonne mémoire, c'est la date du mariage de tes grands-parents
- Et de mes parents
- Tu veux perpétuer une tradition qui est arrivé par hasard
- D'après ma mère, c'est une sorte de salue en l'honneur de mon arrière-grand-mère
- D'accord et bien va pour le 20 août
- J'ai organisé un dîner avec nos parents pour leur annoncer
- Je sens que nous n'aurons aucun droit sur tous les choix prochains de notre mariage
- Je l'avais déjà envisagé depuis que j'ai pris la décision de te demander en mariage et puis si cela peut leur faire plaisir alors soit !
Je me lève de mon fauteuil et me place à califourchon sur ses genoux en plaquant mes lèvres contre les siennes. Les mains du métis quittèrent mes joues pour se retrouver sur mes hanches, caressant avec plaisir ma peau décorée de fine pellicule de sueur causé par la chaleur qui tapait Dallas. Nos lèvres se caressaient, se cherchaient, se dévoraient, tellement avide de se retrouver après plusieurs heures sans les goûter.
- Tu n'attends pas notre lune de miel pour me déshabiller ? dis-je en décollant nos lèvres
- Tu serais près à attendre notre mariage et te priver du plaisir que mon corps peut te donner ?
- Je suis près à tout pour que tu donnes tout ce que tu as lors de nos retrouvailles dans cette chambre d'hôtel
- Ah oui ?
- Oui mais avant une dernière fois. Nos ébats seront meilleurs par la suite tu verras !
- Je te prends aux mots
Je souris et le laisse prendre les rênes de notre monté au septième siècle après qu'importe la position, quand c'est avec lui, je vois sans cesse les étoiles. Ses mains parcourent mon torse nu, n'oubliant aucune partie de ma peau que je laisse la lumière éclairer. Sa bouche suit les mouvements de ses mains avant de me faire basculer dos au canapé. Je crois que nous allons baptiser le cuir de ce somptueux sofa choisit par mon grand-père. Mes vêtements terminent leur chemin à terre accompagné très rapidement par le haut de mon fiancé. Sa langue tourne autour de mes boutons de chairs durcit par l'excitation me faisant pousser de légers soupirs de bien-être. Mon sous-vêtement glisse lentement sur mes cuisses, me faisant frissonner de plaisir et de frustration savant son penchant pour me faire languir de désir.
