ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ 𝟷𝟷 : ᴏɴᴢᴇ ᴊᴏᴜʀs

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Onze jours.
Onze jours ce sont écoulé et ce n'a pas été les plus simple, mes crises de colères, mes moments de joies étaient tellement variant, passer du sourire en larmes en quelques heures a été mon métier pendant c'est onze jours interminables.
Le premier jour a était le plus horrible, les cauchemars n'ont fait que s'entre choqué dans ma tête, des le matin je pleurais, Louna était désespéré ne savant pas quoi faire, je ne pleure que rarement mais ce jour là j'étais inconsolable voir même incontrôlable, mes sentiments n'étaient plus mettre de moi. Rien n'a été simple pour elle ce jour là, ma colère était d'une puissance indescriptible, ce jour là elle m'a retenu de ne pas aller le tuer lui, Jeremy, elle a dit une phrase seulement une et c'est la que je suis resté. « Si tu le tue, tu iras en prison et à ce moment c'est moi qui sera seule ». Cette phrase me hante mais l'envie de le tuer est trop présente le plaisir d'une balle dans la tête me ferait tellement de bien pour tout le mal qu'il m'a causé, mais il est hors de question que je laisse seule Louna face à mes histoires.
Le deuxième jour, la plaie c'est un peu plus ouverte quand le corps d'Hugo a été enterré comme il le devait. Les larmes encore une fois sortaient de mon corps, elles n'étaient pas contrôlé encore une fois. Mon cerveau ne fonctionner seulement pour mes besoins vitaux et mes mouvements, aucune réflexion était possible, j'étais comme un corps sans âmes. Je répondais dans un automatisme, mon corps tout entier était là et faisait acte de présence mais mon âme et mes pensées étaient loin, tellement loin que je ne savais où les récupérer.
Ce jour là, je suis resté seul devant sa tombe à penser, à faire le tri dans ma tête mais aussi penser à moi, j'ai fais une remise en question cependant a t'elle réellement marché ? Je ne penses pas parce que les idées sont beaucoup trop flouent et se percutent trop vite dans ma tête.
Ce jour là, sa tombe était mon seul ami, le soir même je suis rentré bourré à la maison. Louna toujours la pour moi ma apporté son aide. Ce soir là, je lui ai promis trop de chose comme je me suis excusé trop de fois. Encore des paroles en l'air, je suis le roi pour ce genre de chose.
Le troisième jour, mon espoir ces agrandi, je me sentais bien au réveille, pas de cauchemars ni d'angoisse des le matin. J'ai parlé et souris, ce qui a redonné le sourire à Louna mais son inquiétude envers moi était toujours là, mes humeurs sont tellement changeante que tout peut arriver. Cette journée a été calme et même agréable. Nous ne sommes pas sortie mais j'ai pris soin de moi en me rasant et en faisant gaffe aux vêtements que je portais, ce troisième jour je l'ai chouchouté et je lui ai dévoilé mes sentiments. Elle est toujours présente malgré tout alors il est important qu'elle sache à quel point je l'aime et que je la veux longtemps auprès de moi.
Cette phase a durée jusqu'au neuvième jours, notre train de vie était repartie, je suis sortie pendant ces jours et j'ai réussit à parler aux gens et même au gang. J'avais repris appétit et je me sentais mieux, un autre mur c'était forgé autour de mon cœur et seul Louna y avait la clé. Mais cela n'avait duré que jusqu'au neuvième jours, celui ci il m'a fallut une photo, une photo pour que je me remette à pleurer à chaude larmes et que le sentiment de dépression soit revenu en moi. J'avais peur qu'elle ne s'arrête plus jamais ce jour là. J'avais peur d'en mourir tellement que le vide était présent. Ce jour ci j'ai songé à arrêter ma vie pour abrégé mes douleurs mais je ne l'ai pas fais car ma seule raison de vivre actuellement est encore à mes côté. Mais l'acte a été commis bien avant la réflexion, mais son arrivé m'a sauvé.
Le dixième jour a été une phase de bipolarité, j'essayais de me battre contre mes démons mais ils me ratrapper a certain moment de la journée, mais j'ai réussit a sortir de la maison et le sentiment de dépression n'étais plus en moi, les larmes n'étaient plus présente, seul le vide qui s'y était trop installé commence à se remplir grâce à Louna qui elle perd tout ces moyens me voyant dans ces phases de perplexité.
Puis nous sommes le onzième jours et je me sens mieux, le vide et le manque sont deux sentiments qui ne me quitte pas mais jai accepté ces fait et j'ai réussit a passer à autre chose. Je suis sortie de ma bulle et avec Louna on a prit la décision d'aller manger un bout quelque part, étant contente par cette proposition elle me saute au cou, je ne peux à ce moment là, la serrer contre moi pour sentir son odeur. Je n'avais pas fait gaffe à elle pendant ces derniers temps et je me rends compte à quel point je l'aime et qu'elle est merveilleuse.

You and MeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant