L'idole et l'harcelée.

Chapitre 18

Une fois que Johanna est finis son récit la porte s'ouvre de nouveau. Roland est seul cette fois. Il regarde Johanna avant de s'accroupir devant elle.

- Tu as changé Jo'.

- .....

- Qu'est-ce qui t'es arrivée ?

- Les obstacles de la vie. Dit-elle en plongeant ses yeux dans les siens.

Il regarde derrière lui avant de reporter son attention sur l'ange.

- Vous avez une fenêtre de dix minutes, dans deux heures. Je ne peux rien faire de plus.

- C'est déjà bien merci, mais et toi ?

- Je suis dans la merde jusqu'au cou. Il n'y a plus rien à faire pour moi. Dit-il sincèrement désolée.

Il embrasse son front en passant une main dans la nuque de la yamakasie avant de sortir. Une fois la porte fermer elle gigote dans tous les sens jusqu'à ce qu'un bruit résonne. Ses amis se retournent vers elle et elle brandi une lime à ongle.

Elle commence à sectionner ses liens. Une heure, cinquante plus tard, elle réussis à se libérer et détache les autres, quand la porte s'ouvre.

**********

- Vous savez ce que vous avez à faire. Alors on se bouge ! Hurle le frère du don Juan.

Tous le monde part Marc est en groupe avec Jack. Ils ont réussis à assimilé assez d'informations pour savoir où ils se sont cachés.

Ils arrivent sur un toit et regardent l'entrer d'un vieux supermarché, qui à pris feu il y a plusieurs mois, qui est entourer de mecs armés déguisé en SDF. Yann à tout prévu, chaque yamakasis ont une caméra et un micro pour pouvoir les dénoncer au flics. Un gars sort du bâtiment et donne des directives aux SDF, qui partent patrouiller. 

Marc pousser part un élan d'héroïsme entre à l'intérieur sans écouter Jack qui lui dit de revenir. Il se balade à l'intérieur par les conduits d'aération, suivie par son ami qui ne cesse de se plaindre. 

- On aurait du attendre que ton frangin nous autorise à entrer. Marc ! Bordel, tu vas m'écouter oui ? 

- C'est bon j'ai entendue et puis si tu voulais autant suivre le plan pourquoi tu me suit ? 

- Mais parce que tu es incapable de te debrouil. 

Il fut couper par la main de Marc qui lui cache la bouche. Il lui fait signe de se taire avant de pointer du doigt une grille d'où sort quelque voix. Les adolescents se penchent pour voir ce qui se passe. Un gars et une fille parlent. 

- Rassure moi tu ne le pense pas ? 

- Bien sur que si ! J'ai remplis ma part du marché à eux de remplir la leur. 

- Mais ils ne vont jamais te lâché. Tu sais aussi bien que moi qu'il n'y a qu'une seul façon de leur échapper. 

- ..... L'homme ne dit rien perdu dans ses pensés, le regards dans le vide.

- Roland..... C'est à cause de cet fille ? Dit la jeune femme d'une voix douce. 

- Elle souffre depuis longtemps depuis la mort de son père dont elle se sent coupable. Et moi je l'ai abandonné, j'avais trop peur et j'ai fait la gaffe de les rejoindre. 

- Je t'en pris réfléchis avant de prendre une telle décision. 

- Mais je l'ai déjà prise Emma et je me casse. 

L'homme prends son sac sous le regard de la fille qui semble désespérer. 

- Dommage pour toi je t'aimais bien. 

Le gars relève la tête incrédule alors que la fille pointe un flingue sur la tempe de Roland et tire. Bam ! Le bruit raisonne, puis, le silence. La fille essuie le sang qui lui à éclabousser au visage comme si de rien était alors que les garçons restent là abasourdi et terroriser par la scène qui vient de se dérouler devant leur yeux. 

La fille sort de la salle. Les garçons se regardent, un moment qui semble durée une éternité, sans oser dire quoi que se soit. Ce fut Marc qui brise le silence. 

- On ..... on doit avancer. 

Ils avancent donc dans le silence le plus totale, alors que tous deux se remémore l'horrible scène qui les traumatise. 

Ils finissent par passer par dessus une porte qui est garder par un seul garde. Soudain la fille de tout à l'heure apparaît et se poste devant le garde. 

- Ce n'est pas la peine de garder les otages, tues les. 

- Mais, Roland veut les garder en vie. 

- Roland est mort, je l'ai tué et je dit qu'on tue ces merdeux ! 

- Bien..... 

L'homme est réticent quand Emma reçois un coup de file, elle s'éclipse. Le garde vas pour ouvrir la porte mais Marc casse la grille et atterrie avec fracas au sol. Le garde se retourne brusquement et fixe l'idole avant de sortir une arme en se rapprochant de lui.

Quand le garde s'écroule subitement devant le Don Juan. Jack se tient devant lui les pieds d'une chaise dans les mains. Il vient d'assommer le garde avec la chaise sur laquelle il était assis. 

- Je t'avais bien dit que tu étais incapable de te débrouiller seul sans moi. Dit-il avec un air triomphant avant de tendre sa main pour aider son ami à se relever. 

Marc lui fait un doigt d'honneur avant d'attraper la main de son ami. Ils ouvrent finalement la porte pour voir Johanna qui défait les liens des autres. Elle se redresse alors que Marc se jette sur elle et l'enlace. Ils restent là dans les bras l'un de l'autre à s'embrasser un moment avant que Jack ne se racle la gorge, en détournant le regard. 

- Il y a des hôtels pour ça. Rouspète Mike en se massant les poignets. 

- On ferait mieux de se dépêcher si on ne veut pas se faire chopper. Réplique Cassandra. 

Ils finissent part sortir tous les cinq, quand ils passent devant le garde à terre les insensibles dévisages leurs sauveurs incompréhensible. Jack montre les conduits d'aération et Marc leur propose de faire la courte échelle. Cassandra monte en premier suivie par Mike et Jack. 

- Vas-y c'est à ton tour, Jo'. 

Mais elle ne le regarde pas. Elle surveille le couloir comme si elle attendait quelqu'un. 

- Johanna ? Appel le chanteur. 

- Je .... je reviens vite. Puis elle cours à travers les couloirs. 

Marc la regarde partir abasourdi, il reprends contenance et demande à Jack de faire sortir les autres, avant de partir retrouver sa petite amie. 

Il la retrouve à regarder dans toute les salles. Quand il l'entend prononcer un nom. Le prénom " Roland ". Il la regarde horrifier en se rappelant la scène qui c'est déroulé devant ses yeux. Un haut le cœur le prit et il vomit. Mais se reprit vite quand il vit Johanna se rapprocher de la salle du meurtre. 

Il voulait l'en empêcher ! Mais .... trop tard. Elle le vit. Gisant. Dans une marre de sang. Son sang. 

Le visage de la jeune fille blêmi, elle tremble alors que son visage et inondé par les larmes. Elle se rapproche doucement près du corps. Ses chaussures s'imprègne de sang, mais elle continue. Une fois à la hauteur du corps elle se mets à genoux et le regarde. Elle essuie ses larmes, puis souris au corps inerte. 

- Merci. 

Elle lui fermer les yeux. 

- Tu diras bonjour à papa.

Et lui embrasse la joue avant de s'effondrer en larme sur le cadavre. Marc est rester sur le pas de la porte incapable de dire ou faire quoi que se soit, alors qu'il regarde celle qu'il aime pleurer sur un cadavre.