XV. Coup de frais

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(à 0:24! IMAGINEZ QUE C'EST EIJIRO QUI PARLE DE KATSUKI! J'AI PAS DE TROUVER DE VERSION GAY MERCI)

Sa chaleur enflamme mon corps. Je sue, je crève de chaud. J'essaie d'oublier cette sensation désagréable d'être en sueur, puant et poisseux surtout près de mon amour. Néanmoins, je préfère cette sensation plutôt que d'enlever mon hoodie et que le lendemain, je me retrouve torse nu et que Katsuki ai le temps de voir chacuns de mes défauts, toute la matinée.

Ce dernier soupire et me chuchote: "T'as pas chaud, toi? Tu sens la sueur, petit con", j'acquiesce sans hésitation avant de me dire qu'il va m'embêter pour que j'ote le vêtement.

Il me dit de venir en se dressant de toute sa hauteur, je le fais et le suis à l'énorme salle de bain non loin de la chambre. Une fois à l'intérieur, il s'approche de moi et soulève un peu mon sweat avant que je l'interrompe en le tenant:

Tu fais quoi?, je lui demande sans rien piger

-Laisse toi faire! Je vais mouiller ton putain de sweat pour te rafraîchir et pas que tu crève de chaud et aussi que tu finisses sécher comme un putain de pépé au soleil! Bois un coup aussi, bordel faut tout que je te dise, tu ferais quoi sans moi?!

-Je sais pas, je baisse les yeux

-Enfin bref, il soupire, laisse moi te l'enlever, je lâche ma prise sur mon hoodie mais quand je croise son regard, il me transperce le coeur c'est bizarre, hum tu sais tête de merde, ton torse est pas mal. J'aime bien surtout enlever le paquet cadeau., me fait-il remarquer, tout sourire enfin avec son sourire à lui》

JE...OH. IL A DIT QUE... IL A DIT QUE... mon torse était "pas mal", une drôle de sensation m'envahit comme...je sais pas trop: je me sens ému, flatté. Je le regarde dans les yeux et il semble être sincère car ses yeux n'ont pas l'air moqueurs.

Je ne sais pas quoi dire alors je bafouille comme un enfant puis je me décide de stopper le carnage en fondant mes lèvres sur les siennes précipitamment. Je sens ses mains qui paraissent tièdes sur ma peau. Celles-ci glissent dessous et remonte mon haut rouge adroitement, sans être brusque. Ses doigts frôlent mes poils bruns bien moches et effleurent mes boutons de chair roses. Il retire sa bouche de ma bouche puis ouvre doucement les yeux ce qui révèlent des pupilles dilatées enrobées par ses iris rouges sang.

Je comprends que je dois lever les bras afin de me libérer de cette prison de chaleur étouffante. Je suis déstabilisé par son compliment que mon cerveau tourne mille et mille fois dans ma tête cependant, la petite voix n'arrive pas à trouver LE défaut même après ce processus de torture, donc c'est obligatoirement un compliment qu'il pense vraiment. WAW.

Quand il me retire mon haut, il le laisse tomber par terre et reprend le bisou comme il était avec une passion maladroite et malassurée contrairement à l'apparence qu'elle pourrait donner mais elle reste agréable, même vraiment agréable. On pourrait croire que Katsuki est super confiant et tout, mais enfaite il est juste humain et ça le rend encore plus parfaitement virile. Des petits trucs me touchent le torse se permettant de me chatouiller, c'est tout petit et dur.

Je lance un doigt de chaque main à leur recherche sur son torse frais pour me rendre compte au final que c'est ses tétons. Enfin bon, il a touché les miens et en échange je touche les siens qui pointent leur bout ovale et dur. Il se recule d'un coup et je remarque que son visage s'enflamme.

Je regarde ailleurs un peu gêné d'avoir toucher peut être ce qu'il fallait pas ou peut être qu'il aime pas et il s'avance pour prendre le sweat qu'il met sous le robinet. Je ressens sa gène à 1 km car il évite mon regard.

Je serai là (Mha)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant