« Les étoiles dans nos bras et nos âmes entremêlées.» dis-je.
« C'est beau. »
« Et faux. »
« La définition parfaite de notre amour. »
« Et ça, ça fait mal. »
L'histoire passionnée de Kaylin et Ken !
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Kaylin
Je regagnais mon appartement. Aujourd'hui j'avais délaisser tout ma haine contre Ken pour laisser place à de la compréhension.
Il m'a tout de même payer mon loyer même si ça me gêne extrêmement. Mais n'empêche niveau sentiments j'ai toujours la rage enfin j'essaye de passé à autre chose. Mais niveau amitié il reste indétronable.
Je regardais mes résultats des précédents mois par rapport à mes petits boulots :
500€
Mon loyer était de 698 €.
Sachant que ma mère a besoin de ses économies également.
Cette histoire d'argent me prend tellement la tête, je n'ai pas l'habitude de devoir tout recompter... Mais je dois désormais m'habituer à travailler dur pour pouvoir avancer dans la vie.
*** Des jours passèrent sans rien de spécial. Nous étions avec ma mère, dans mon appartement. Cette nouvelle était vraiment bouleversante.
Mes grands-parents paternels qui nous avait complètement délaissés et oublier à cause de certains désagréments qu'ils ont eu avec mon père. Depuis sa mort et même bien avant, aucune nouvelle.
Ils nous avait envoyer une lettre pour mon frère et moi qui vient de notre second pays natals après la France.
L'Israël.
Cela faisait tellement longtemps que nous n'y sommes pas retourné.. Ce pays m'a toujours manqué, c'est là-bas que j'ai grandis.
L'enveloppe entre les mains de ma mère était toujours présente. On pouvait apercevoir qu'elle venait d'Israël et de mes grands-parents.
-Ouvre la maman.
Elle souffla puis l'ouvrir délicatement.
-C'est deux billets pour aller en Israël avec un mot.
-Deux billets ??
-Lis la lettre.
Je lui pris des mains avec précaution.
-« Pour nos deux petits enfants, Kaylin et Cameron. Malgré tout je refuse de ne pas vous voir grandir, alors sauter dans le prochain avion, on vous attends avec impatience. Bisous. »
-C'est gentil..., dit ma mère.
-Et toi ?
-Non non, nous avions des différents et je ne me sentirai pas à ma place. Vous vous êtes leur petits enfants, c'est différent. Je ne peux pas vous empêcher d'y aller et puis vous êtes grands maintenant.
Je lui souris difficilement.
-Tu vas me manquer lors de cette période... mais tu as raison, on doit les revoir.
