Amour d'un prisonnier

Chapitre huitième

Lucy: *pleur* Alors pourquoi il m'a dit ça?

Jellal: Calme toi. Tu sais que Natsu a toujours vécu dans son cartier. Il a toujours connu la misère et la violence. Quand nous étions petits, nous nous imaginions coment c'était dans les autres villes, comment c'était dans les autres familles. Et puisqu'on ne savais pas on pensait que tout était parfais, tout le monde avait son père et sa mère qui les aimaient, tout le monde avait un logement, etc... Et Natsu n'a jamais su ce qu'il se passe en dehors du quartier, c'est pour ça qu'il a dit ça. Et puis, il ne peut pas deviner pour ta mère.

Lucy: C'est vrai. Mais je n'accepte pas ce qu'il m'a dit.

Jellal: Tu lui diras ça la prochaine fois que tu le vois.

Lucy: Je le vois demain.

Jellal: Et bah demain, comme ça tout sera réglé.

Lucy: Mouais.

Jellal: Aller, je te raccompagne chez toi après toutes ces émotions.

Lucy: Merci Jellal.

Jellal: Je t'en pris.

Je racconpagne Lucy jusqu'à chez elle puis rentre chez moi et je vais me coucher.

PDV Lucy:

Je rentre chez moi et vois que mon père n'est pas là. Je décide d'aller prendre une douche et d'aller manger même si je n'ai pas vraiment faim. Après mon repas, je me pose devant la télé et regarde le premier truc intéressant que je vois.
Qu'elle journée. Heureusement que Jellal était là car sinon, je ne sais pas comment j'aurais fait. Et puis il connait Natsu, c'est drôle quand on y pense, le monde est si petit et si grand en même temps. Il faut vraiment que j'aille dormir là car je commence à faire ma pseudo-phylosophe ça va mal se finir encore. J'éteins la télé et monte me coucher.
Je me réveille le lendemain, enfin c'est plutôt mon réveil qui me réveille, logique, thanks captain obvious! Bref, je suis réveillée mais pas plus apaisée que hier. Par contre j'espère que personne ne me posera de questions par rapport à hier, même si ça m'étonnerait qu'il n'y ait pas au moins une personne qui me demande quoi que ce soit à ce sujet. Après, on ne peut pas dire que j'ai été très discrète au café. Mais juste qu'ils ne forcent pas, si je dis que je ne veux pas leur en parler, qu'ils l'acceptent. Pourquoi je me soucis autant alors que je n'ai même pas commencé à me préparer? Mais je pense que pour éviter toute question dès le réveil je vais aller en cours pile à l'heure, même si Mira va me tuer pour ça mais je préfère quand même cette option là. Je me prépare donc et part en cours lorsqu'il est l'heure.

PDV Jellal:

Je me réveil le lendemain, me prépare et vais en cours. Je me dirige vers le groupe. Lorsque l'un d'entre eux me remarque, tout le monde se retourne vers moi et me fixe. Ça ne sent pas très bon tout ça.

Erza: Il s'est passé quoi hier?

Juvia: Pourquoi elle pleurait?

Mirajane: Qui c'est qui lui a fait du mal?

Sting: Dis nous tout.

Jellal: Ce n'est pas à moi de vous dire, c'est à Lucy. Elle vous le dira quand elle le voudra, ne forcez pas et ne lui posez pas de question.

Cana: Euh... Ok.

Mirajane: D'ailleurs, elle est en retard...