Chapitre dix-septième

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Mirajane: Oui... Mais elle était énervée donc je ne voulais pas l'énerver encore plus.

Jellal: Si vous ne l'aviez pas énervée, rien de tout ça ne se serait passé.

Mirajane: On a fait quoi?

Jellal: Vous forciez, comme toujours. Quand quelqu'un ne veut pas dire quelque chose, on ne le force pas, il a ses raisons de refuser.

Mirajane: Oui, mais on s'inquiétait.

Jellal: Et bien vous avez été très maladroit. C'est de votre faute donc assumez. Maintenant on rentre.

Mira regarde ses mains, le tête baissée, qu'elle tripote dans tous les sens. Elle me fait un peu de peine car je sais qu'elle se sent coupable et qu'elle pense qu'elle a été injuste avec nous.

Mirajane: Ok...

Elle prend son téléphone et quelques temps après, Luxus vient ouvrir la porte. Jellal et moi entrons à l'intérieur par la suite.

Lucy: Merci Luxus!

Luxus: Je t'en pris.

Jellal monte directement dans sa chambre sans un bruit, tandis que Mira reste dehors.

Lucy: Elle ne veut pas rentrer Mira?

Luxus: Je ne sais pas, je vais la voir.

Je me dirige vers le salon, là où il y a que quelques personnes.

Lucy: Les autres dorment encore?

Levy: Oui.

Je me pose sur le canapé et regarde la télé.

PDV Jellal:

Je monte dans ma chambre un peu en colère et m'installe sur le lit. Erza me rejoint rapidement et s'assoit à côté de moi.

Erza: Tout va bien?

Jellal: Non.

Erza: Qu'est-ce qu'il y a?

Jellal: Certaines personnes s'introduisent trop dans la vie des autres alors qu'ils sont en tort.

Erza: Comment ça?

Jellal: Des personnes qui n'ont pas fait les choses bien et qui après s'énerve alors qu'ils sont fautifs. Le pire, c'est qu'ils ne savent pas qu'ils le sont.

Erza: Je comprends. Que c'est-il passé avec Mira tout à l'heure.

Je m'allonge sur le lit et pose ma tête sur les genoux de Erza et elle me caresse les cheveux.

Jellal: Elle parlait avec Lucy puis tout d'un coup elle débarque dans la chambre et m'emmène jusqu'à la terrasse tout en me tirant les cheveux sans aucunes raisons. Ah si! Lucy lui mentait donc elle n'était pas contente...

Erza: Elle t'as fait quoi? Si elle ose retoucher un de tes cheveux, elle est morte!

Jellal: Ne cris pas, c'est rien. C'était sur le coup de la colère. Tu l'as connait, lorsqu'elle est en colère, elle devient violente un peu.

Erza: C'est vrai, mais là elle t'as toucher toi, et personne n'a le droit de le faire à part moi, sauf cas à part.

Jellal: Ce discours était un poil possessif.

Amour d'un prisonnierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant