Épilogue

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Je cour dans la direction ou j'entend Wael crier, mais s'est comme si sa voix venait de partout a la fois. Je n'arriverai jamais a le trouver de cette façons. Je doit trouver un moyen d'attirer son attention. Contrairement a cette endroit, mon corp est comme un phare dans la nuit. Chaque port de ma peau s'illumine comme un soleil. 

-Suis toujours ton instinct.. entendis-je la voix d'Arianna dans ma tête.

Avec prudence, je repense au moment au j'ai rencontré Wael. À tout l'amour que je lui est donner, a l'amitier et la compliciter que j'avais avec lui. Mon coeur se remplit de toute ces émotion et ma lumière devient presque aveuglante. Je me souviens de la première fois qu'il a poser ses lèvre sur les miennes, je m'était senti en sécurité et déboussoller. C'est fou le nombre de souvenir qu'on peut se faire en si peu de temps.

-Je suis là mon prince...

Ma voix n'est qu'un murmure mais elle résonne comme un coup de tonnaire dans cette endroit. Les murs commence a se teinter de gris et je perçois enfin Wael. Il est assis a meme le sol, il a la tête entre les jambes et il hurle a plein poumons. Je me penche devant lui et pose mes main sur ses épaules. Il hoquette du stupeur et me saute dans les bras lorsqu'il me reconnait.

-J'ai cru qu'il t'avait tuer!! 

-Depuis le temps tu devrais savoir que c'est pas aussi facile d'avoir ma peau! Viens, il est temps pour toi de retrouver ta place.

Je suis expulser du corp de Wael et je tombe sur les fesses. Le corp de mon prince est parcouru de spasme incontrolâble alors que de la bille commence a lui sortir de la bouche. Ses yeux se révulse et une fumée noir se met a sortir par tous les trous de son visage. La fumées s'élève dans le ciel  et commence a prendre la forme d'un horrible démons. Le corp de prince est secouer d'un dernier spasme et rien ne le soutien si ce n'est ma cape qui le retien contre ma dragonne. Je le détache et vais le poser sur le dos de son dragons.

-Conduis-le a la grotte et ne sortez pas de là si je ne vien pas vous chercher!

Le dragon ne se fait pas prier et disparait de ma vue. Le ciel s'est couvert et l'orage est sur le point d'éclater. Abbadon se tien fièrement  a quelque mètre du sol. 6 mètre de haut, des dent jaunis, une peu écailleuse comme celle d'un dragon et les yeux orange comme la braise.

-Tu n'aurais jamais du me libéré, maintenant, plus personne ne peut m'arrêter.

D'un grand coup de pied, une énorme faille s'ouvre dans le sol libérant des centaines de démons des enfers. De toute sorte de grandeur et de couleur, tous plus dangereux les uns que les autre on ne pourra jamais pas tous les tuer. Il y en a beaucoup trop! Les paroles de Kiara me revint en tête.

-En faite une seule personne est responsable de la libération de cette ville. Elle montait un dragon aussi blanc que le tien, nous croyons qu'ils étaient les derniers mais nous avions tord. Son dragon était censé être le dernier dragon de lumière. Sa magie était la plus puissante qui n'est jamais exister. Mortel a coup sur pour les démons.

Si Arianna a réussi alors j'en suis capable aussi, quitte a y laisser la vie. Je dois seulement trouver comment elle y est parvenu. Quand j'était dans la tête de Wael, mon corp s'est illuminer comme le soleil. Je doit réussir a le faire une seconde fois, mais cette fois-ci se sera pour vrai.

-On ne tiendra plus longtemps! entendis-je Jack crier par dessu le brouhaha

-Je vous aime tous. soufflais-je les larmes dévalant mes joues.

-Ensemble jusque dans la mort. me souffla ma dragonne

Les souvenir afflue dans ma tête. Le jour ou j'ai rencontrer Tara, nos rire et nos pleurs, les soirées passer avec ma mère, ma rencontre avec ma dragonne, absolument tout me revient. Mon coeur est gonflé par toute les émotions que j'ai déjà pu ressentir. La joie, la peine, l'amour, le désespoir et la rage. Ma gorge est tellement nouer que je peine a respirer. La magie coule a flo dans mes veine et je ferme les yeux lorsque mon corps s'illumine aussi fort que le soleil. Je sens une décharge électrique parcourir mon corp, je sais que j'ai réussi. Coucher sur ma dragonne, je sens le vent fouetter ma peau a mesure que nous dégringolons du ciel. Je me sens bien, la peur a disparu. Je sens les battements de mon coeur ralentir et puis plus rien.

La dragonne BlancheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant