Obsession qui tourne mal... [TERMINÉE]

Pris au piège !

Ne vous fiez pas qu'au titre ! Ce sera un chapitre random pour passer le temps. Mais c'est un vrai chapitre quand même assez important ! Je voulais même abandonner l'histoire, quand soudain mes idées sont revenues ! Donc, voilà, bon chapitre ! Et aussi, désolée pour le retard ! Être régulière, c'est beaucoup trop demander... Enfin bref ! Commençons !

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PDV NAGISA !

Salut tout le monde !

Ces temps-ci, je suis vachement de bonne humeur ! Je dors mieux car l'observateur est parti ! Disons que j'ai réussi à l’arrêter définitivement. Devinez comment ? Grâce à des vitres peintes en noir ! Contre toutes attentes, ma mère n’avait rien contre !
Bref, maintenant tout va pour le mieux ! Je n'ai plus de problèmes de sommeil !

Là je suis couché dans ma chambre et je m'ennuie à mourir. Stupide weekend ! Il n’y avait jamais rien à faire dans ce quartier de Bourges à part organiser une réception. Mais je n’allais pas faire ça !

Quand soudain j'eus une idée, aller embêter mon voisin Karma ! On croirait entendre Bob l’éponge si on remplaçait le Karma par Carlos... Ah ah. L’embêter me semble être une bonne idée.

Il vit à côté, et je viens chez eux pour le voir tous les samedis à cette heure, alors... Je sors de mes draps, prends un pull, vais dire à ma mère que je sors, et j’arrive à la porte de l’Akabane où je sonne. Il ne vient pas ouvrir à trois sonneries alors je lui téléphone.

"_Allô Karma ? C’est Nagisa.
_Oui, j’avais vu, c’est pour ça que j’ai répondu si vite.
_Tu fais quoi, tu es où ? Ça fait dix minutes que je poirote devant chez toi.
_Chuis derrière toi, petit génie, répondit-il."

Karma me toucha l’épaule, effectivement derrière moi. Je raccrochais et me tournais vers lui. Je remarquais son sac de courses.

"_Je ne savais pas que tu venais, Nagi. J’aurai cuisiné le déjeuner pour deux.
_Tant qu’il y a deux mains et une cuisine, on peut déjeuner ensemble.
_Bien, tu es le bienvenu, entres je t’en prie."

Avant quand j’entrais chez lui, la modernité et la grandeur des lieux m’intimidaient toujours, mais maintenant sa maison ne me disait vraiment plus rien tellement j’étais habitué à y entrer.

"_Et madame Akabane ? 
_M'man ? En voyage d'affaires avec p'pa. Bon, fais comme chez toi, je retourne dormir.
_Mais et les courses, tu ne les ranges pas ?"

Et une porte s'était fermée. Super, il me laisse ranger ! Il ne changera donc jamais ce gars.

Je me servais un lait au chocolat dans son frigo et des cookies dans le sac de courses kaki. Il était allergique à l’un des conservateurs du lait au chocolat et détestait les cookies, mais à chaque fois qu’il allait au magasin il y pensait toujours en sachant pertinemment que j’allais en vouloir lorsque j’allais venir chez lui. C’est très prévenant d’un certain point de vue, il savait faire preuve de gentillesse parfois...

Je sortais bien vite ces pensées de mon esprit et me mettais à ranger les courses dans le frigo.
Une fois avoir fini le rangement, j’allumais la télévision et tombais sur Bob l’éponge. C’était un dessin animé que j’adorais, du fait de la simplicité des personnages. Je me moquais bien des commérages qui disaient que Bob était gay, peu importe tant que ça n’impactait pas le caractère infantile de la série. Je m’asseyais sur le grand divan avec mon goûter.

L’épisode s’acheva, et mon goûter par la même occasion.
Je songeais soudain à Karma qui allait avoir faim en se réveillant. Ce garçon était un vrai pied en cuisine, il allait sûrement commander, comme il le faisait toujours.
Je me mis aux fourneaux pour lui cuisiner un curry, comme j’étais doué pour en faire.

PDV KARMA

Je me levais aux environs de 14h et sortais de ma chambre, où le déjeuner m’attendait sur la table.

"_Nagisa... dis-je pour moi-même.
_Oui ? répondit-il en se levant du sofa."

Je le remarquais soudainement installé sur le grand sofa en train de regarder une émission.

Je lui fis signe de venir s’installer pour déjeuner.

"_Je t’attendais, Karma. Je viens à peine de finir de cuisiner mon curry.
_Merci, mon petit cordon bleu, répondis-je gentiment."

Il rougit sur le coup de la surprise. Il était si mignon à ce moment-là que je n’arrivais plus à réfléchir posément. Je l’aimais tellement...

PDV NAGISA

Il ne devait pas se rendre compte qu’il pensait à haute voix. La fin de sa phrase me fit frissonner.

《Tellement que j’étais prêt à le séquestrer pour qu’il m’aime un jour.》

À suivre !

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Fin du chapitre ! Je vous promets de l'action au chapitre suivant !
En tout cas merci d'avoir lu, et on se dit au chapitre suivant !

Réécrit.