L'adolescence

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- Elle commence à me soûler cette enquête! On a aucun suspect et deux corps sur le dos comment c'est possible ça!
- On va trouvé Alice on trouve toujours de toute façon!
- Ouais mais j'en ai marre j'y comprend rien les deux victimes n'on aucun rapport c'est deux personnes qui n'on pas le même mode de vie, pas les même fréquentation, même pas un seul contact en commun je comprend pas
- On va comprendre aller détend toi chérie!
- Me détendre?! Mais je suis détendue!

Fred laissa tomber sachant qu'il n'aurait pas le dernier mot

- Bon aller la journée à été compliqué maintenant elle est terminé on rentre!

Alice fit son plus beau sourire à Fred

- Chérie ça te dit de regarder les préparatifs du mariage en rentrant
- Bah oui pourquoi pas mais tu as les magazines

Alice sortit de son sac un tas de magazines de mariage que lui avait donné Victor

- Ah oui il a pas fait les choses à moitié
- Oui il a mit tout plein de post-it pour qu'on s'y retrouve
- Super on regardera ça

Fred attrapa la veste d'Alice sur le porte manteau de son bureau et lui passa avant d'enfiler également sa veste.
Quand ils passèrent la porte comme chaque jours Paul vint leur sauter dans les bras

- Elle est où ta soeur mon amour?
- Ben elle est pas rentrée
- Elle finis bien à 15h30 le jeudi?
- attends je vais regarder ses horaires sur le frigo

En passant par la cuisine Fred embrassa sa mère et salua son beau père avant de regarder les horaires de sa fille.

- Alice elle finissait bien à 15h30 aujourd'hui
- Y'a un problème Fred elle a finit les cours depuis 1h30
- Je l'appelle chérie ne t'inquiète pas
- Comment ne pas m'inquiéter elle rentre toujours directement d'habitude ou alors elle nous préviens si elle reste avec ses copines dehors!
- Alice calme toi! ....... Putain messagerie!

Alice passa sa main sur son front

- Appel là encore!
- C'est ce que je fais Alice! Encore messagerie

La porte d'être se fit entendre dans la maison puis des pas dans Les escalier laissant apparaître Ada dans le salon

- Pas besoin de m'appeler 100fois je suis là!
- Comment ça! Ada on s'est inquiété tu étais où?
- Ça va maman j'étaie avec des copines
- Depuis quand tu ne nous préviens pas

Fred qui sentait qu'Alice allait monter sur ses grand chevaux là prit par la taille et lui coupa la parole.

- Chérie calme toi
- Me calmer alors qu'ont s'est inquiété de peur qu'il te soit arrivé quelque chose Ada pendant que toi tu t'amusait tranquillement avec tes copines!
- Ada rend toi compte s'il te plaît préviens nous à chaque fois! On ne te demande pas grand chose on est pas des parents chiant sur ne te laisse rien faire
- Mais lâchez moi 5 minutes, j'ai des devoirs à faire je vais dans ma chambre

En entendant le ton qu'Ada avait employé la colère s'empara d'Alice.

- Sûrement pas jeune fille! Je ne te permets pas de parler comme ça à ton père ni à moi d'ailleurs alors tu vas me donner ton téléphone et tu t'en passera quelque jours!
- Non vous n'avez pas le droit!
- Donne le moi tout de suite Ada!
- Mais tu ne comprend rien en fait! J'ai besoin de mon téléphone pour parler avec Amaury!
- Tu le vois toute la journée alors maintenant tu arrête ta petite crise d'ados tout de suite
- Mais Amaury n'est plus au collège maman!
- Mais pourquoi tu ne nous en a pas parlé Ada?
- Vous étiez trop occupé avec le père de Paul maintenant le bébé qui arrive bientôt je voulais pas vous ennuyer avec mes histoires
- Ada tu ne nous ennui pas avec des histoires si tu vas mal je veux être là pour te réconforter ma chérie mais ça n'empêche pas que tu n'a pas le droit de nous parler de cette manière! Donc ok je te laisses ton téléphone mais t'es punis de sortit, mais maintenant explique nous l'histoire avec Amaury.

Alice et Fred s'installèrent dans le canapé avec leur fille pendant que Paul faisait ses devoirs accompagné de son grand père qui l'aidait et aidait en même temps Joséphine a commencé de préparé le repas.

- La semaine dernière il est venu au collège avec sa mère et j'avais pas compris pour sa mère était là, quand elle est partie avec le principal il est venu me voir pour me dire qu'il partait à Lyon avec sa mère

Ada sécha rapidement une larme qui coulait sur sa joue pour ne pas pleurer devant ses parents, Alice caressa la joue de sa fille

- Tu peux pleurer mon ange tu as le droit, aller vient la!

Elle ouvrit ses bras pour prendre sa fille dans ses bras qui s'y réfugia instantanément avant de finir dans ceux de son père qui était touché par l'amour que portait sa fille pour Amaury.

Un retour inattendu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant