Chapitre 20 ~ Mes pouvoirs font un miracle

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Je suis devant le corps de John avec mon deuxième Père, on pleurait. Tout çà... c'est de ma faute, Pan a disparu et... John est mort à cause de moi. Comment on va dire à sa mère ? Poséidon se lève et va vers son fils.

- John est mort en héro.
- C'est de ma faute...
- Non, ce n'est pas ta faute.
- Si, je dois le réanimer !
- Comment ?
- Je ne sais pas. Soit, je dois me...
- Non.
- Que dois-je faire ?
- Vas appeler tes autres Pères.

J'y vais, ils faisaient des câlins. Ils étaient heureux, Karol cherchait John et Ricardo aussi. Lilian me voit. Je vais vers Zeus et Hadès. Les Dieux me voient.

- Pères, Poséidon vous appelle.
- Pourquoi ? dit Hadès
- C'est à propos de... John.
- John ? dit Karol

Je me retourne, elle nous a entendu. Tout le monde s'est tu, je sentais que Karol allait m'attaquer.

- Où est-il ?
- Je...
- Karol ! l'appelle sa mère
- DIS-MOI OÙ EST JOHN !
- IL EST MORT ! cries-je

Tout le monde est choqué, je baisse ma tête.

- Il est mort ! Pères !
- On y va.
- Tu as fait quoi ?! POURQUOI TU L'AS PRIS AVEC TOI ! ESPÈCE DE...
- KAROL !

Elle prend son épée et essaie de me tuer mais je l'esquive, Lilian arrive. On commence à se battre, mais moi, c'est surtout pour me protéger.

- Karol ! dit Lilian
- TU AS TUÉ MON MEILLEUR AMI ! TU ES QU'UNE MEURTRIÈRE ! TU NE MÉRITES MÊME PAS QU'ON TE FÉLICITE !

Athéna arrive et lui gifle, Zeus me prend et on s'en va. Athéna engueulait sa fille, Hadès nous suivait. Je m'arrête de marcher, les deux me regardent.

- Arila ?
- Karol a raison.
- Ne l'écoute pas...
- C'est de ma faute...
- Non. dit Poséidon

On se retourne, il avait le corps de John. Zeus et Hadès vont vers eux.

- Zeus, mon Seigneur... je vous demande de sauver mon fils. Hadès, mon frère... je vous demande aussi de sauver mon fils.
- On va le sauver.

Ils me regardent, je n'avais plus de force d'avancer.

- Viens Arila.

J'essaie de les suivre, on va vers une salle que je ne connaissais pas. Poséidon pose John au sol, ils se tiennent la main. La salle est couverte de dessins, c'était magnifique.

- Arila, va vers John.

J'y vais, il était pâle.

- Tu vas nous aider, tu devras faire un massage cardiaque. Moi, je vais faire de électricité. dit Zeus
- Moi, je vais en Enfer pour chercher son âme. dit Hadès

Poséidon ne dit rien, ils commencent. Je commence à faire le massage cardiaque, les éclairs viennent vers lui. Hadès était là mais son esprit est en Enfer, je sentais ma force disparaître. Dix minutes plus tard, Hadès arrive.

- Il est ici. Entre dans ton corps mon garçon.

Rien ne fait, je vais bientôt lâcher. Zeus s'arrête, Hadès nous regarde puis Poséidon.

- C'est trop tard...

Je continuais, Zeus m'appelait. Mais je continuais, Poséidon pleure. Je fais des éclairs, ma force est entrain de partir.

- Arila... ça suffit !

Je donne un dernier coup et je m'écroule parterre, j'avais du mal à respirer.

- Arila !

Je voyais flou, Poséidon vient vers moi. Zeus regarde John, Hadès vient vers moi.

- Arila !
- Papa... dit John
- John ?
- Hadès, prend-la et va dans sa chambre ! Vite !

Il me prend, je me ferme mes yeux. Je suis dans le néant, il faisait froid. J'entendais mon nom, mais je suis où ? Je vois l'ombre, je le connaissais. Un mois plus tard, je me réveille. La lumière me faisait mal aux yeux, je suis dans une grande chambre. Des servantes étaient là, elles me font des révérences. Une part, j'essaie de me lever.

- Dame Arila, restez coucher.
- Où suis-je ?
- Dans votre chambre, Madame.

Je vois mon Père, Zeus qui arrive. Il me sourit.

- Arila, ça va ?
- Oui... mais je dois Vous parler...
- Poséidon veut te parler, mais ça sera plus tard.
- Il s'est passé quoi ?
- Tu as détruit Cronos et sauvé John.

Je me rappelle, mais pas de sauver John. Zeus sourit, et part. Je ferme mes yeux. Des heures plus tard, je suis dans la Salle des Trônes. J'étais seule, Zeus arrive.

- On y va ?
- Oui.

Je me lève et on va dehors, il y avait une fête à mon honneur. Mais, tous les Dieux me font des révérences. Mes trois Pères restèrent à côté, je saluai tout le monde. J'étais heureuse, Athéna me souriait. Je suis à la maison, c'est mon chez moi.









Fin.

La Déesse des Cieux, des Océans et de la Mort (tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant