You are made for me: Julian Et Isis

I miss you

Pdv extérieur
Julian arrive enfin à l'hôpital accompagné de la très enceinte Danae et d'Hermann. Il cri pour la voir, mais elle est en salle d'opération. Il s'assied alors par terre et se met à pleurer : le mec est piqué dis donc.
Les heures passent mais aucune nouvelle. Julian commence à perdre la tête et à ce rythme, ses cheveux aussi vont y passer. Danae a le regard vide tandis qu'Hermann  caresse  le dos de son ami et les mains de sa copine...
Isis est enfin transféré dans une chambre et seul Julian est autorisé à la voir.

Pdv Julian
Ma belle est toujours inconsciente. D'après les médecins son corps a vraiment été secoué. Même si les blessures n'ont causés aucun dégât interne, la cire chaude a traumatisé son corps et l'étouffement a eu raison d'elle. Mais, ils restent optimiste parce-qu'elle est toujours là et qu'elle se bât pour revenir : c'est ça ma lionne. Mon amazone.
Je me rapproche d'elle et lui prends la main droite délicatement pour ne pas bouger son épaule. <qu'écarter les tiges de bambous qu'elle a la place des cuisses, allait toucher ma belle je l'aurai repoussé. Si je savais. Tu sais ma belle, depuis un moment je me rends compte d'une chose: je suis amoureux, je suis fou amoureux de toi. S'il te plaît bats toi, ne m'abandonne pas s'il te plaît>>

Après une heure à pleurer contre sa main les infirmières m'invitent à sortir. En salle d'attente je remarque que Danae est parti.

-J'ai appelé Ella pour qu'elle la ramène. Elle est épuisé.
-Je comprends. Merci mec d'être resté.
-C'est la moindre des choses. Quand Danae n'allais pas bien, vous étiez présent alors je vous dois bien ça.
-Merci. Tu y crois toi? Si on m'avait dit que je serais tellement accro à une meuf j'aurais rigolé crois moi.
-Le destin mon pote, le destin. Regarde moi, je vais bientôt être papa et je suis en couple avec une tigresse.
-Hahaha.

Au réveil d'Isis, nous avons discuté et elle a voulu faire un break: j'étais dévasté. Mais elle en a besoin. Elle est rentrée en France le temps de se remettre et de terminer ses thérapies avec une psychologue. Moi, je l'attends; j'attends patiemment qu'elle me revienne.

Ça fait un mois qu'elle est parti, mais je souffre, je souffre dans ma chaire. Son absence me torture jours et nuits. Je ne sais plus vers qui me tourner. Danae et Hermann sont en pleins préparatifs et je ne peux pas les déranger. Je souffre énormément. J'ai Isis dans la peau : quand je vais mal elle est la, quand je suis heureux elle est la, quand j'ai peur elle est la et elle a de si bon conseil... Je l'aime putain. Je l'aime trop.
Hier, j'ai été convoqué par le FBI pour témoigner contre le réseau de Yann, mais je leur ai dit d'aller se faire foutre et maintenant je suis enfermé pour outrage à la justice. Mon père ne peut pas m'aider,il est dévasté: ma salope de belle-mère a failli faire couler sa boîte et s'est barrée avec son concurrent, tandis que  son abruti de fils le voilà en taule : pauvre papa.

Je viens de sortir de taule parce-que quelqu'un a payé ma caution: qui?... Dehors je la vois assise sur une pierre le regard ailleurs : ma belle, est là plus belle que jamais. Elle porte un jeans déchiré et une chemise translucide blanche qui laisse apparaître une brassière sans manches d'où déborde ses seins. Elle porte une de ses perruques et arbore un rouge à lèvres très sexy: elle est magnifique. Je marche avec hésitation vers elle. Elle me remarque et cours vers moi: elle me saute au cou et nous tombons par terre en riant.

-Tu m'as manqué Julian.
-Toi plus encore.
-Aller debout.
-Tu es si belle.
-Merci chéri. Toi par contre tu shlingue. Viens je t'amène prendre une douche.
-Tu es rentré quand ?
-Hier.
-Ok.

Après une bonne douche, je vais à la cuisine où une délicieuse odeur m'accueil: elle a fait des croques monsieurs, une salade césar revisité et est entrain de terminer son couscous à la crème fait maison.

-Tu as fini?
-Non je suis venu prendre l'air et y retourner. À plus.
-Tête de bébé.
-Cul de déesse.
-Awwwn merci... Va mettre un truc et viens manger.
-Ok.....
-Alors ?
-Chest délichieux.
-La bouche qui mange?
-Ne parle pas. Pardon maman. Je baisse alors la tête comme un enfant.
-Hahahihiqqqqq
-Tu encore changer ta façon de rire.
-Laisse moi inh.

Après avoir finis je mets de la musique et l'invite à danser : elle adore danser.

/!\ attention scène hot/!\
Au bout d'un moment, je mets en route ma playlist de kizomba et de kompa. Après trois minutes, je n'en peux plus mon service trois pièces commence à demander une attention particulière. Elle le sens et souris. Elle me pousse sur le canapé et se déshabille lentement et sensuellement. Quand son jeans tombe enfin, je peux admirer son corps sans retenu. Elle se raidit au moment où je promène mon regard sur elle.

-Je m'approche et l'enlace...ma belle qu'est-ce qui ne va pas ?
-Je viens de me rappeler que j'ai d'horribles cicatrices.
-Elles sont vilaines, très laides. Et cela à cause d'une personne encore plus laide. Oui je te l'accorde, c'est pas joli joli, mais elles n'enlèvent rien à ce que je ressens en te voyant : tu m'attire. Regarde même Conan ne tiens plus en place. Elle rigole
-Tu as surnommé ta queue ?
-Effectivement ma jolie. Alors n'en doute jamais, ton corps reste toujours aussi bandant à mes yeux.
-Merci.
-Je t'en prie ma belle.. je me détache et lui claque les fesses... Aller termine, je kiffais mon spectacle gratuit.
-Crétin.
-De ton cur.
-De mon cul.

Je me rasseois et elle recommence. Cette fois, elle enlève sa brassière et ses seins retombe lourdement sur sa poitrine : je ne m'en lasserai jamais. Elle enlève sa culotte en cotton /son intimité est irrité par les culottes en soie/ et libère son magnifique derrière. Elle me tourne le dos et se mets à twerker: Conan devient vraiment douloureux. Son derrière se balance sauvagement de haut en bas et quand elle se met à remuer les hanches... par tous les saints de l'enfer! Cette fille cherche ma mort.
Je me déshabille en vitesse et va la rejoindre. Nous nous remettons à danser plus sensuellement et la température monte vite. J'augmente la musique et l'entraîne dans ma chambre : je l'embrasse avec délicatesse et la couche sur le lit. J'embrasse chaque partie de son corps et quand je commence à descendre vers le bas elle me dit qu'elle n'est pas épilé : je m'en fou. Quand mes lèvres entre en contact avec son bouton de rose elle se cambre et halète. Je le suçote un peu avant de tourner autour de ses lèvres : l'odeur de son intimité est enivrant, c'est un appel au crime. Mais je veux prendre mon temps, lui faire l'amour, délicatement, doucement, sensuellement, pour que son corps en demande plus. Je veux lui faire goûter le paradis le plus délicatement possible, lui faire perdre la tête; bref je veux lui faire du bien. Elle en a besoin, elle le mérite.
Bref, je finis par insérer ma langue en elle : elle se mets à chuchoter mon nom et à agripper mes draps. Je fais des vas et viens lent pour pouvoir imprimer le goût mi-salé mi-sucré de son intimité dans ma tête. J'accélère un peu et d'une main caresse son clito : je viens de découvrir que cette une "femme fontaine". Elle est tellement gêné que je ne peux m'empêcher de sourire. Après avoir fini je glisse un doigt en elle...