Le bureau d'Albus Dumbledore était en soi un vrai cabinet de curiosité : on ne savait jamais à quoi correspondait telle petite merveilles bien manufacturée, traces de multitude de souvenirs d'une vie bien remplie et bien riche. Et que dire des livres ? Il y en avait plein les étagères et de toute sortes dont ceux qui avaient retiré de la bibliothèque de Poudlard pour des raisons éthique et moral (cela avait été nécessaire, ne serait-ce que parce qu'il y avait un exemple malencontreux : Tom Jedusor, élève brillant , un peu trop même qui avait pu avoir accès a un certain livre obscur, à l'époque libre d'accès pour les dernière années). Mais il y en avait un, qui sortait du lot car il n'était pas un livre ordinaire. Dumbledore n'y avait plus trop eu recours depuis ... un certains temps ( du moins pas aussi sérieusement qu'autrefois). De temps à autres, il lui arrivait de le sortir et de le poser sur son bureau, le contemplant pensivement sans l'ouvrir. De tous les trésors de ce bureau, avec la Pensine, ce livre doté d'un magnifique phénix en couverture, était sans nul doute le plus intéressant. Il avait jeté la première pierre à un mouvement qui serait plus tard connu sous le nom d'Ordre du Phénix. Depuis il avait varié les moyens de communication pour le combat du Bien contre le Mal. Avec le recul, Dumbledore se disait que ce livre là était sans nul doute le moyen de communication le plus fiable qu'il avait utilisé dans sa longue vie, surtout lorsqu'il s'agissait de contacter des personnes éloignées. Son doigt suivit distraitement le contour du phénix. C'était plus rapide que la poudre de cheminette ( inefficace pour l'international. Les problèmes étaient les mêmes que pour le transplanage sans compter les question plus juridique : c'était une forme d'entrée dans un pays et ensuite chaque pays avaient sa manière de gérer leur réseaux de cheminée.) et que les courriers par hibou. Il finit par l'ouvrir, tournant les pages. Bon nombre de personne qui s'y trouvaient, étaient mortes mais il n'avait aucunement modifié les pages les concernant. Il n'estimait pas utile de les faire disparaitre, ne serait ce que pour la mémoire. Combien de fois n'avait il pas contacté et discuté, en direct et comme s'ils étaient face à face, avec son ami Nicolas Flamel ? Ils ne les avait pas compté. D'autre pages aux cadres vide défilèrent. Certains de personnes encore vivantes ( dont un ou deux professeur d'Ilvermony, y compris le directeur, de Durmstrange, dont le directeur actuel, des personnes dont la discussion lui était agréable ), mais ce n'était pas ces dernières, qu'il voulait contacter. Il avait renouvelé ce livre magique avec de nouvelles tête plutôt de remplacer celle qui y était déjà, ce qui, au vu de la situation actuelle, avait été une idée judicieuse et c'était l'une d'entre elles qu'il cherchait. En outre, voir un livre s'épaissir procurait, un bonheur singulier. Ce n'était pas en effaçant et en remplaçant une chose qui fut, que l'on pouvait oublier le passé. L'on vivait toujours avec même en effaçant les traces, Dumbledore était bien placé pour le savoir et cela aurait été insulter la mémoire de ces personnes qui avaient tant donné.
« Un livre qui ne se finit pas. Qui ne cesse de se construire, sans l'aide de mot ou presque. » marmonna-t-il. Une belle idée qu'ils avaient eu. C'était une histoire vivante, un répertoire aussi dont on ne pouvait pas déchiffrer les secrets. Dumbledore connaissait bien la force et la faiblesse de l'écrit . Si les paroles trahissait, l'écrit l'était tout autant si ce n'était plus. C'était un peu sur ce principe désillusionné que ce livre avait en parti, été fabriqué. Avec un tel livre ou l'on pouvait se contacter , peu importe l'endroit, et se parler en toute confiance, les secret restaient gardés dans les personne et l'on pouvait réagir à la minute même, même avec le décalage horaire. Le plan qui avait visé à faire chuter Grindelwald, s'était fait à travers ce livre : chacune des personnes s'étant vue attribuée un rôle en quelque sorte. Les déboire de Dumbledore avec le ministère, un peu trop étriqué d'esprits, qui aurait pu l'handicaper... avait été surpassé par ce livre sans même que le Ministère le sache , un pied de nez brillant il fallait le dire.
VOUS LISEZ
Harry Potter et la vengeance de l'Augurey
FanfictionAlors qu'une nouvelle année s'amorce, le monde des sorciers vit ses heures les plus sombres. Le temps passé se mêle au temps présent et futur. Personne n'est à l'abri pas même le mage noir le plus terrible de son temps : Lord Voldemort en p...