Chapitre VIII : Les voies de la Liberté

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Gellert Grindelwald s'étira, son dos émettant un craquement. Voilà qui était fait pour ce côté-là... Désormais... Il lui fallait s'atteler à d'autres points : rassembler de nouveaux frères et sœurs à sa cause évidemment et contrecarrer le sorcier médiéval dont le regard n'allait pas plus loin que son Augurey de prophétie et la souffrance de son ancien ami. Ils n'étaient pas si différents sur certains points sauf que lui, l'ancien prisonnier, était plus universel dans ses buts. Parler à Dumbledore était aussi quelque chose à envisager, par curiosité et par respect en quelque chose. Il n'était pas sorcier à oublier les bonnes manières, ils avaient été plus qu'amis par le passé.

« Et partir de cette ville surtout ! » déclara-t-il. « Je déteste encore plus ce Paris ci que ce Paris d'autrefois. »

On ne faisait pas toujours ce que l'on voulait. Il était certain que des sorciers conservaient quelques nostalgies de certaines pratiques ou idées... et son évasion n'avait surement pas manqué de réveiller des instincts, des souvenirs endormis. Il les enrôlerait, son « associé » croirait qu'il rallierait des troupes pour sa cause mais nenni !

« Tu ne m'as jamais raconté pour ton œil » lâcha Lys, la putain du Procope.

Il l'avait embauché et voilà qu'elle prenait ces aises avec lui , comme s'ils avaient toujours été ensemble ! Elle l'avait aidé à mettre un pied a l'étrier dans cette époque plus modernes mais tout de même ! Elle aurait pu penser que la prise d'un meilleur logement lui aurait suffit sachant dans quel taudis elle vivait !

« Cet œil vois-tu, me sers à voir avec plus d'acuité, les désirs de chacun, les craintes de chacuns, bref tous ce que l'on cherche à cacher parce qu'on le juge révélateur de faiblesse. » mentit-il. En réalité, à force d'expérience, il était devenu comme un fantôme. Mais il y avait pire, d'après ce qu'il avait pu entendre et voir en prison dans ses vision, son successeur n'avait plus de nez et des yeux sanglant. « Fin de l'histoire, très chère. »

Lys ne valait pas, loin de là, Queenie Goldstein. Mais les putains dans son genre avaient des relations et des moyens de pressions indiscutable.

« Alors ? Tu as des nouvelles intéressantes ? »

« J'ai plutôt quelqu'un. »

« Amène-le donc. »

Tenez un Homme par la queue... et le reste suivra. A tout les coups l'invité était de la même trempe que le clien de Lys. Enfin... Il s'en contenterait. Il l'accueillit donc de manière tout à à fait affable, avec une élégance à la française parfaite et vin pour appuyer sa courtoisie, avec une pointe de vigilance nécessaire. Il pouvait en effet s'agir de quelqu'un qui envisageait de l'arrêter. A ses risques et périls.

« Bienvenue, Monsieur.. . ? »

« Cartier. Monsieur Grindelwald. »

« Du vin peut être ? Asseyez-vous. »

Harry Potter et la vengeance de l'AugureyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant