Chapitre XIV : L'augurey s'envole

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« Qui vais-je punir en premier ? Que l'un de vous deux se sacrifie et rapidement. » siffla Voldemort menaçant.

Les Rowle avait finit par retourner au Royaume-Unis, suite à la disparition de la petite. Ils en avait discuté et fuir n'aurait servit à rien. Surtout qu'il était déjà au courant ! D'un côté cela leur enlevait une épine du pieds, de l'autre... Le job n'était pas bien sorcier, même si Euphémia n'aimait pas les enfants, c'était de l'argent assez facile à prendre et pas mal en plus. Mais même au courant avant leur retour, la lettre provocante qu'ils avaient ramené ( et qu'ils auraient pu détruire ou dû détruire ...) avait énervé encore plus le Seigneur des Ténèbres. Il n'y avait plus de retour possible.

« Comment peut on laisser un enfant sans surveillance, dites moi ? A la portée du premiers sorcier venu et en l'occurrence d'un sorcier voisin ! Comment peut on choisir aussi un habitat près de ... »

« Nous ne savions pas qui... »

« LA FERME ! Je parle ! Je ne suis servi que par des imbéciles et a part Severus... aucun d'entre vous ne m'a réellement apporte quelque chose dans mes entreprises. Vous vous servez de moi pour me tirer tout ce que vous pouvez en vautour que vous êtes ! Vous me craignez à juste titre mais les intérêts des uns et des autres priment. Lord Voldemort voit clair en vous comme si vous étiez du verre. Je devrais laisser Nagini et ce basilic qui vous entoure de se nourrir de vous. »

Cela sembla plaire aux deux créatures car elles sifflèrent en chœur.

« Je devrais vous tuer, tout simplement. S'il arrive malheur à mon sang... DEGAGEZ DE LA ! Plus vite que ça ! »

Ils partirent comme s'ils avaient le feu de l'enfer aux fesses.

« Tu vois, nous aurions du la garder près de nous. » siffla Isis.

« Pour que tu ramollisse femme ? Je te l'ai dis : j'ai agis pour le mieux. Pour toi comme pour elle. Cette enfant est trop précieuse. » répondit il en fourchelang. « Pas la peine de taper le sol avec ta queue ! Tu ne me feras jamais changer d'avis. Maintenant passons à ta résurrection car il faut bien que tu reprennes ton corps. »

N'était ce que pour ses besoins personnels à lui d'abord.

« Ce sera la même formule que celle que tu as utilisée ? »

« Tu en connais une autre ? Les donneurs seront différents. »

« Tu me garantis que j'aurai tout à sa place ? »

« Il te manquera ton nez tu es contente ? » répliqua-t-il avec une lueur de folie dans les yeux.

Le basilic se recroquevilla, penaud.

« Nous irons dans ta ville natale, prendrons un des os de ton père ou ta mère n'importe. Pour le serviteur, nous utiliserons Rabastan. »

« La chair.... Tu vas lui couper la mains ? »

« Tu veux que je lui coupe autre chose ? Queudver n'en est pas mort lui ! »

« Il n'avait pas trop son mot à dire. »

« Certainement . A l'époque si j'avais su que tu étais prête à m'être servie sur un plateau , c'est toi-même que j'aurai utilisé ! Tu avais cette volonté là de me plaire à l'époque. »

Il y avait de l'ironie mordante dans ce derniers propos.

« Je le veux toujours » protesta-t-elle.

« Vraiment ? On ne dirait pas. Pour le sang de l'ennemi... c' est trouvé tout naturellement. »

« Je n'ai pas vraiment d'ennemi personnel. »

Harry Potter et la vengeance de l'AugureyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant